Mon instrument de musique

La rédaction 20 février 2023

Bonjour, je m’appelle Pierre, j’ai 47 ans et j’aimerais vous raconter une histoire porno assez inédite (pour moi). Elle concerne ma prof de musique quand j’étais jeune et comment je l’ai dépucelée. J’avais 17 ans, mais je faisais plus, et j’étais plutôt de corpulence athlétique. Je ne l’ai jamais raconté depuis le temps, pour ne pas lui porter préjudice.

Exercice de musique

Je vivais en Moselle à cette époque, je suivais des cours de musique avec d’autres élèves, dans un deux pièces au-dessus d’un magasin, transformé pour l’occasion en salle d’étude, dans lequel étaient installés des instruments. Notre professeur, une femme d’environ 50 ans, veuve, taille moyenne, cheveux châtain clair, agréable à regarder, nous faisait jouer à tour de rôle et corrigeait nos erreurs.

Un mardi, donc, je me suis présenté vers 19  heures, je suis arrivé dans les premiers, mais la prof avait décidé de me faire passer en dernier, car j’habitais à quelques pas de là (sur le moment, je n’avais pas apprécié, mais je n’allais pas le regretter…). Elle était assez coquette, toujours bien habillée. Ce jour-là, elle portait un tailleur marron clair, avec une jupe ouverte de quelques centimètres, laissant apparaître par moments un de ses genoux, des collants de couleur chair, un foulard en soie autour du cou, noué sur le côté, chaussures avec petits talons, maquillée juste ce qu’il faut, un parfum légèrement épicé mais discret.

Avant de commencer la prestation, elle aimait bavarder de tout et de rien quelques minutes afin de nous décontracter. J’ai entamé l’exécution de mon morceau et, au bout de deux minutes, elle s’est levée, s’est dirigée dans l’autre pièce, et a ouvert la fenêtre. J’étais étonné, car elle ne revenait pas. Au bout d’un moment, j’ai décidé d’aller voir ce qu’il se passait.

Elle était assise, respirait profondément et semblait transpirer. Je me suis accroupi devant elle et je lui ai demandé si ça allait. Elle m’a pincé la joue et m’a dit : “Tu ne peux pas comprendre, tu es trop jeune, c’est mon corps qui me joue des tours !” Là-dessus, elle m’a embrassé tendrement, à la commissure des lèvres. J’ai été pris d’une subite érection. Je n’avais jamais ressenti une sensation aussi forte pour une fille, et je n’ai pu m’empêcher de lui voler moi aussi un baiser. Elle a été agréablement surprise sur le coup et m’a souri.

Ma bite durcissait de plus en plus. Je l’ai embrassée langoureusement, et j’en ai profité pour passer une main sous sa jupe afin de lui caresser une cuisse. De l’autre, j’ai déboutonné mon pantalon. Quelle sensation, je croyais rêver ! Je l’ai invitée à se lever et à se retourner, j’ai baissé ses collants et sa petite culotte, j’ai cherché du bout des doigts son vagin afin de diriger ma queue, qui avait du mal à se retenir de gicler.

Je l’ai pénétrée d’un coup, elle a poussé un petit cri, je lui ai peloté les seins, elle se tenait au portemanteau. Cela faisait à peine une minute que j’étais dedans et je n’ai pu me retenir d’éjaculer. Quel pied ! Mais je crois qu’à ce moment, elle a été déçue que cela n’ait pas duré plus longtemps. Je lui ai glissé à l’oreille que j’aimerais bien venir chez elle le lendemain, afin de prendre encore plus de plaisir, ce qu’elle a accepté.

Le jour suivant, j’ai donné comme prétexté à mes parents une subite envie de faire une grande virée en vélo. Rien que de penser à ce que nous allions faire ensemble, je pédalais avec une trique qui me faisait très mal (les garçons peuvent comprendre, si cela leur est déjà arrivé…) !

Nous avons fait plusieurs fois l’amour dans la matinée, mais le premier rapport n’a rien eu à voir avec celui de la veille. J’ai bien vu qu’elle était aux anges, elle m’a essuyé la bite juste après pour me sucer, elle ne voulait pas que j’éjacule dans sa bouche, mais elle trouvait un malin plaisir à voir ma queue molle et faire tout pour me la revigorer. À la longue, ça devenait presque un supplice, mais quelle expérience ! Nous avons renouvelé l’expérience plusieurs fois.

Malheureusement, à cause de l’emploi de mon père, mes parents et moi avons déménagé. Quel dommage, quand j’y repense, je n’ai jamais vécu avec une autre femme ce que j’ai ressenti avec ma prof… Un grand merci, Madame !

A lire aussi

Dépucelé par la voisine

Dépucelé par la mère d’une amie

Dépucelée par mon cousin

Dépucelage anal

Dépucelage libertin

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru