Canalisation toute neuve !
13 novembre 2021Je m’appelle Florence, j’ai 69 ans et j’aimerais partager mon histoire porno. Jeune veuve, je ne pratique plus les plaisirs de la chair depuis la mort de mon mari. Un ami, assez porté sur la chose, m’a glissée votre revue dans ma boîte aux lettres, pensant qu’elle pourrait m’intéresser.
Un scénario inspirant
Curieuse, j’ai voulu la lire, et je reconnais que cela m’a pas mal excitée. Les scénarios, les lieux insolites… mais comment arrive-t-il tout cela à vos lecteurs ? Ce fut comme un électrochoc. J’ai alors décidé d’être plus attentive aux regards des hommes, mais aussi de porter des tenues plus suggestives que mes éternels jeans.
Un matin, je suis partie seule, sans en parler à personne (et surtout pas à ma fille !), à la recherche de tenues plus sexy. J’ai craqué pour une jupe courte en daim avec une fermeture sur le devant, une paire de bottes et un haut assez transparent. La question restait de savoir quand j’allais bien pouvoir les porter, et en particulier sans que je sois vue par les miens… L’occasion s’est finalement présentée quelques jours plus tard, lorsque le plombier est arrivé pour s’occuper de ma cuisine. Je l’ai accueilli puis lui ai donné quelques consignes, avant de m’isoler dans ma chambre en le laissant à sa besogne.
J’ai décidé alors d’essayer les vêtements achetés quelques jours plus tôt, et de m’observer dans le miroir. C’est le moment qu’a choisi le plombier pour m’appeler depuis la cuisine et, sans réfléchir, je suis sortie pour voir de quoi il avait besoin. Il semblait scotché, mais n’en dit rien, me posant simplement deux ou trois questions sur son travail. Je suis alors retournée dans ma chambre en riant de l’effet produit sur ce jeune homme, qui semblait tétanisé. J’ai alors décidé de garder ces vêtements, tout en allant le voir de temps en temps pour lui demander s’il n’avait besoin de rien. Je voyais sa tenue de travail gonfler, il devait certainement avoir la trique. Toujours sans rien laisser paraître, il m’a indiqué que ma canalisation était bouchée et, voulant savoir s’il devait la déboucher, il m’a incité à m’accroupir pour mieux voir.
Une plomberie toute neuve
Au moment où je lui disais qu’effectivement, il devrait s’occuper des canalisations, je sentis sa main sur l’intérieur d’une de mes jambes. Qu’allait-il faire ? Je n’ai rien dit et l’ai laissé glisser doucement sa main. Jusqu’où irait-il ? Sa main arrivait au niveau de mon entrejambe, et j’ai senti ses doigts écarter lentement mon string avant de me pénétrer. « Tu aimes ? » me demanda-t-il. De la tête, je lui fis signe que oui.
Après un certain temps, j’ai pu constater qu’il avait sorti son membre et le tenait en main. Il m’a de nouveau incité à me mettre à genoux, et j’ai eu une vision parfaite de sa queue gonflée de désir. Il a guidé ma tête jusqu’à lui : « lèche-là ». Un peu maladroite au début, il m’a aidé et, tout doucement, je commençais à le sucer, tout en m’aidant de mes mains pour accroître ses sensations. Ses mots étaient doux, l’envie de sexe revenait et j’ai pris mon temps. Puis, il m’a fait me lever pour m’adosser à la table et me retourner. J’ai senti son engin sur mes cuisses tandis qu’il m’embrassait le cou.
Mes lèvres étaient trempées par l’excitation. N’y tenant plus, j’ai fait un mouvement du bassin dans sa direction, pour l’inciter à me pénétrer. Il ne s’est pas fait prier et, d’un coup, je l’ai senti en moi : c’était tellement bon ! Je perdais tout contrôle, l’incitant à me limer encore plus fort. « Vas-y, bouge, lâche-toi, tu ne risques rien : je suis trop vieille pour avoir un enfant. Fais-moi du bien ! ». Et le jeune homme s’est mis à bouger, d’abord lentement puis de plus en plus vite, tout en me tenant par les hanches. C’était extra.
Je le sentais se tendre avant de jouir en moi, me faisant venir avec lui. Après ce moment de volupté, je lui ai fait la bise, lui disant à demain. Et durant les 4 jours qui ont suivi, nous avons fait l’amour avec passion. Nous avons aussi pris le temps de parler durant ses pauses café et, tout en me complimentant, il me disait avoir des amis qui aimeraient me connaître.
Je vais y réfléchir, mais pourquoi pas, le soir, lorsque personne ne peut voir les allées et venues de mes invités ?
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