Pour l’amour de l’art !

La rédaction 7 juillet 2021

« Est-ce que Cézanne peint aussi des bananes ? Parce que j’aurai bien vu une forme phallique au milieu de toutes ces petites pommes rondes… » Mais quelle remarque idiote! J’en ai connu des touristes aux commentaires consternants mais je dois avouer que celui-là battait des records. Cela faisait près de deux ans maintenant que la mairie de Marseille m’avait habilitée à faire visiter le MuCEM, et je dois dire que je ne m’attendais pas à croiser autant de personnalités diverses. Des intelligents, des incultes, des jeunes, des âgés… et des idiots, manifestement. Je m’appelle Lucie, j’ai 32 ans et voici mon histoire porno.

De la théorie

J’ai continué la visite en faisant abstraction de ses remarques, et au bout de vingt minutes, j’ai enfin fini ma visite dans un soupir de soulagement. J’étais en train de prendre mes lunettes de soleil dans mon sac pour rentrer chez moi quand je sentis une main sur mon épaule. « Bonjour, je suis Marc. » C’était l’homme aux observations déplacées, quelle veine ! « Vous avez une culture générale impressionnante, mademoiselle. »

J’ai souri poliment et ai cherché rapidement à lui filer entre les doigts en lui faisant comprendre que j’étais pressée. « Attendez ! Ce n’est pas juste la culture qui m’impressionne chez vous, il y aussi votre patience. À aucun moment vous ne vous êtes indignée de mes propos. Vous avez eu une attitude tout à fait professionnelle et vous m’êtes restée très sympathique. Je travaille au Louvre et cherche des pointures en tant que guide touristique. Vous savez, ce n’est pas une chose facile… »

Il m’a invitée à boire un verre dans le bar de son hôtel pour poursuivre la conversation. Je l’ai suivi, intriguée. Je dois dire que je n’avais jamais été démarchée de la sorte. L’allure et l’élégance de cet homme tranchaient nettement avec les commentaires qu’il m’avait faits tout le long de la visite.

Une fois arrivée dans le bar de l’hôtel, un verre de vin blanc devant nous, il m’a invitée à lui raconter mon parcours. Je lui ai parlé de mes études aux Beaux-Arts, de ma passion pour la peinture, l’histoire et l’archéologie. Je lui ai dit qu’elle empiétait parfois sur ma vie privée, à tel point que mes histoires d’amour ne duraient rarement plus que quelques mois. « Nous fermons le bar », nous a interrompu le serveur.

À la pratique

Marc m’a invitée à monter dans sa chambre pour continuer notre discussion. Je me suis installée sur le lit, gênée. Il s’est placé à côté de moi et a posé une main sur ma cuisse frémissante. « Vous savez, la passion qui prend le pas sur la vie privée, je comprends, cela m’a coûté mon mariage.  » Il a défait mon chemisier et a regardé ma poitrine avec admiration. Mes seins avaient toujours eu beaucoup de succès auprès de la gent masculine, je le savais parfaitement.

II déboutonnait son pantalon pendant que je dégrafais mon soutien-gorge. Il fallait que je lui fasse subir quelque chose de mémorable, quelque chose qui lui reste en tête quand il reviendrait sur Paris. J’ai mis mes lunettes de soleil. « Pour me protéger des jets incontrôlés ! » me suis-je justifiée en rigolant. J’ai pris sa queue et l’ai serrée à la base. Je le branlais de toutes mes forces, de toute mon énergie. Langue, doigts, morsures, caresses, pressions…

Je variais l’intensité, les mouvements, le toucher. Il lorgnait toujours sur mes seins avec des yeux brillants. Je les ai pressés l’un contre l’autre, ils semblaient énormes. J’ai passé sa queue dedans pour lui faire une branlette espagnole. Son regard s’est illuminé, il se cramponnait aux bords du lit et matait mes deux tétons qui ballottaient de haut en bas. J’étais accroupie, je montais et descendais à la seule force de mes cuisses. Mes muscles ont mis un peu de temps à s’y habituer, mais mes flexions devinrent plus énergiques, plus rapides.

J’ai vu son visage se tordre et sa bouche se crisper. Entre mes deux seins, son foutre a jailli, arrosant mon cou, ma poitrine, ma gorge. Je sentais quelques gouttes glisser jusqu’à mon ventre. J’ai regardé sa bite encore dure, coincée entre mes deux nichons rebondis. On aurait dit une banane retenue entre deux belles grosses pommes.

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