Eduardo, le plombier au bon tuyau

La rédaction 20 juin 2024

Maeva, 22 ans, Dammartin-sur-Tigeaux, séduit le plombier sous la douche et font une pause baise dans sa chambre.

Eduardo, le plombier au bon tuyau

Je m’appelle Maeva, j’ai 22 ans, un joli petit minois, un corps un peu frêle, mais des fesses bien appétissantes. Du moins, c’est ce que me disait mon ex-copain. Un peu plus âgé que moi, c’est lui qui m’a initiée au sexe. Il m’a appris pas mal de choses et m’a rendue accro au cul. Depuis que nous nous sommes séparés, j’ai l’impression d’être dans un état de manque permanent ! Pas étonnant que je me précipite sur le premier mec qui me fait un peu de rentre-dedans ! Voici mon histoire de sexe.

Le clin d’oeil de l’ouvrier

La semaine dernière, j’étais seule au bercail, mes parents étaient partis, et Eduardo, le jeune ouvrier portugais qui fait régulièrement des travaux à la maison, a sonné à la porte. Ma mère lui avait dit de passer pour réparer une fuite dans la salle de bain. J’étais en train de m’amuser avec mon nouvel appareil photo, seule dans ma chambre, quand j’ai entendu des bruits de tuyauterie dans toute la maison. Quand je dis que je m’amusais, cela signifie en fait que j’étais en train de tester le retardateur tout en me masturbant. Autant dire que j’étais chaude comme la braise ! Pour me changer les idées, j’ai décidé de jouer avec ma console de jeux de fitness. J’avais besoin de bouger un peu. Je me suis mise en culotte et j’ai commencé à faire du jogging, de la boxe et du hula-hoop. En vingt minutes, j’étais en sueur. Il n’était pas possible que je me rhabille sans avoir pris de douche.

J’ai attrapé une serviette, je me suis enroulée dedans, et j’ai frappé à la porte de la salle de bain, où Eduardo était en train de démonter le robinet. Je lui ai dit que je voulais prendre une douche. Il a eu l’air un peu surpris. Je suis entrée dans la cabine, j’ai tiré le rideau et j’ai lancé ma serviette à l’extérieur. En me savonnant, je respirais l’odeur de transpiration assez forte de l’ouvrier. Là, je me suis rendu compte que ma petite partie de fitness ne m’avait pas calmée. Je me suis placée sous le jet de la douche et j’ai commencé à me masturber. Pendant ce temps, j’entendais les bruits des outils de Eduardo, et j’imaginais ses mains sur mon corps. J’ai eu un orgasme très fort, et quand j’ai joui, j’ai empoigné le rideau de douche en poussant un petit cri. Eduardo m’a demandé si tout allait bien. J’ai répondu oui, que j’avais simplement failli glisser. Je l’ai prié de bien vouloir me passer la serviette. Il me l’a tendue. Quand je suis sortie de la douche, bien enroulée dans mon drap de bain, il m’a décoché un petit clin d’oeil. Il avait compris ce que je venais de faire. Je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête à ce moment-là, mais je lui ai proposé de me suivre dans ma chambre…

Pause baise dans le travail

Il m’a emboîté le pas sans hésiter, et je me suis jetée sur mon lit. Je l’ai interrogé : « Alors, Eduardo, ça te dirait de me prendre en photo ? » II a attrapé l’appareil qui était posé sur le bureau. Je me sentais salope, mais j’étais tellement chaude. Et puis la situation m’excitait. Après tout, c’était la seule bite qui traînait dans les paragesJ’ai écarté la serviette, j’ai levé mes jambes en l’air et il a pris une première photo. Puis, je lui ai dit: « Mets-toi à l’aise Eduardo, on va s’amuser un peu ! » Dans la foulée, il a retiré son bleu de travail, son T-shirt et son caleçon, sans oublier ses gosses pompes de chantier. C’est moi qui lui ai ôté son calbutte, libérant une énorme queue, noueuse et veinée. Je l’ai prise entre mes lèvres. Ce cochon bandait bien dur.

Je sentais son gland grossir dans ma bouche… Il avait toujours l’appareil en main. Je lui ai lancé: « Vas-y Eduardo, ne te gêne pas… Mitraille! » Il a encore pris quelques clichés pendant que je lui gobais la queue. Ses poils dégageaient une forte odeur de mâle en sueur qui me donnait des chatouillis dans le ventre. Je lui ai demandé de me baiser. Il m’a prise dans plusieurs postures, je le voulais loin en moi, au fond de ma petite chatte. Je l’ai vite senti au bord de la jouissance. Je me suis occupée de mon plaisir, en m’aidant avec les doigts… Je regardais son visage pendant qu’il me harponnait la foufoune.

J’ai compris qu’il n’allait pas tarder à balancer la purée… Je me suis fait jouir, j’ai eu un orgasme puissant, et j’ai supplié Eduardo de me gicler dans la gorge. Il a grimacé, est devenu tout rouge, j’ai ouvert la bouche en grand. J’ai crié: « Vas-y mon Eduardo, balance tout. » J’ai reçu une de ces décharges !

J’ai annoncé à Eduardo que, lorsqu’il reviendrait pour une prochaine réparation, il pourrait visiter mon petit tunnel obscur… J’espère qu’il n’en a pas saboté son travail pour autant…

(Image à la une : Getty Images)

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« À l’heure prévue le samedi, j’ai sonné chez elle. Elle m’a ouvert. Je ne m’attendais pas à un tel accueil : elle portait un petit déshabillé blanc presque transparent et juste un petit string en dessous. J’étais à la fois surpris et plus que satisfait. » Nicolas.

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« J’ai écarté les jambes et j’ai attrapé son gros membre par en dessous pour le braquer sur ma foufoune. Je ne portais pas de culotte. »


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