Le goût du luxe

La rédaction 5 janvier 2023

Je m’appelle Mika, j’ai 31 ans et je suis un « créa » en digital marketing qui a hérité assez tôt d’un appartement familial complètement dingue, en plein cœur de Paris. J’ai 90 m2 que j’optimise à mon goût, hébergeant parfois quelques amis de passage, dans une de mes deux chambres réservées à cet usage. Voici, sans plus attendre, mon histoire porno.

Un appartement chaleureux

Vous imaginez bien que j’ai un nombre d’amis délirant, aussi bien parisiens et intéressés par mon jardin privatif – oui, un jardin dans le 6e, c’est quand même le comble du luxe –, que de provinciaux qui fantasment sur une nuit dans « l’appart du bonheur ». Nina fait partie de ces filles-là, une amie d’amie, rencontrée à un barbecue chez moi, qui habitait à Nantes car elle y faisait ses études (elle se destinait à être nutritionniste, ce que je trouvais, vu son superbe corps, une très bonne idée).

Elle avait tout juste 21 ans, une taille de guêpe, des yeux superbes et détestait son job de mannequin qu’elle était bien obligée de faire pour payer ses coûteuses études. En début d’année, c’était la Fashion week et elle avait plusieurs défilés qui étaient prévus à Paris. « Tu te rends compte Mika sweety, Georgio veut que je porte 80 tenues ce samedije vais être crevée, impossible de rentrer à ce soir à Nantes. ».

Bien sûr, elle savait qu’il existait des hôtels, mais mon appart était bien plus « chaleureux », comme elle disait. J’ai accepté, j’avais besoin de compagnie et j’angoissais de me retrouver seul alors que je devais passer le week-end à bosser sur une grosse campagne client. Elle est venue avec sa valise à la maison, une petite valise cabine rose sur roulette rigide, tout ce que je déteste, remplie à ras bord de produits cosmétiques. Même pas une bouteille pour me remercier de l’héberger !

Une invitée bien reçue

Mais j’ai bien vite compris que ce n’était pas avec de l’alcool qu’elle comptait me montrer sa gratitude mais avec un peu de chaleur humaine. J’aimerai préciser, à ce stade de l’histoire, que je ne l’ai évidemment forcée en rien à avoir ce type de comportement. Rien dans mes messages, ou dans ma façon avenante de l’accueillir, ne pouvait trahir que j’avais au fond de moi à quelconque désir pour elle. En même temps, elle devait bien savoir que très peu d’hommes étaient près à lui résister. Bref, elle est arrivée en me roulant une pelle, en m’appelant « Mika sweety », et en feignant un enthousiasme à me retrouver que je soupçonnais être de la pure hypocrisie « Tu m’as tellement manqué ! ». 

Bon, je dois avouer qu’elle me faisait également beaucoup rire avec sa théâtralisation permanente et ses petites mimiques d’enfant trop gâtée par la vie, alors je suis rentré dans son jeu. Le soir arrivait vite, et elle m’a dit qu’elle avait envie de baiser avant le défilé, elle était trop tendue, et qu’elle comptait sur moi pour la baiser comme une chienne ! Je crois que les deux petites coupes de champagne que je lui ai servies ont aidé à ce que ces confessions arrivent si vite… et si crûment ! « Mais avec plaisir, Nina sweety ! », me suis-je écrié.

Elle m’a pris par la main et nous sommes allés dans ma chambre. Elle s’est déshabillée tout doucement devant moi, et en effet, elle avait un corps parfait. Des seins superbes, fermes, ronds, un corps tonique, des cheveux longs qui caressaient sa cambrure comme une princesse. Je me suis déshabillé aussi, et elle a esquissé un sourire en voyant ma bite, déjà bien tendue. « Tu n’es pas mal pour un petit fils de bourge ! », m’a-t-elle balancé à la figure, comme une insulte déguisée en compliment.

« Le fils de bourge va te démonter, Nina », ai-je répliqué, le souffle rapide. Elle s’est mise à glousser comme une gamine, je l’ai retournée et l’ai embrochée en levrette. « Mmmh tu aimes ça ? Tu aimes la queue de bourge ? », l’ai-je forcé à répondre en la prenant sévèrement. Elle poussait des « oui, oh oui, oh oui » entre deux gémissements. Elle s’est ensuite allongée sur le dos pour pomper tout le jus de mes couilles. Elle suçait comme une reine, mais j’ai quand même tenu à me finir à la main. C’est de cette façon que je jouissais le mieux. J’ai giclé sur ses deux petits monts adorables, et elle a ri de façon merveilleuse ! 

« OK, je ne me lave pas, et je garde ça pour le défilé de demain. Georgio va être ravi que je baptise toutes ses robes ! ». J’ai gloussé nerveusement en m’effondrant de fatigue dans mon oreiller : tant qu’elle ne me le demande pas 80 fois.

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