De patient à praticien
6 février 2023Je m’appelle Emma, j’ai 29 ans et j’ai une histoire porno à partager. Il est rare de voir arriver un patient de quarante ans aux urgences souffrant d’une… crise d’appendicite ! Il n’est pas moins rare de voir une infirmière rousse en salle de réveil alors qu’on est à Ajaccio. Voilà donc les personnages de cette petite pièce coquine qui s’est déroulée en pleine canicule du mois d’août 2020. Je suis infirmière et le patient, c’est Eric, très sportif, très beau, très plié en deux par la douleur et … très marié. C’est drôle comme une alliance m’excite plus que n’importe quoi d’autre chez un homme.
Un patient aux urgences
Toujours est-il qu’avec l’épidémie de Covid, j’étais au four et au moulin, assurant toutes les « pré-op » (les actes pré-opératoires) et la salle de réveil. Un beau matin j’ai été appelée pour m’occuper d’un patient qui devait descendre au bloc d’urgence pour une suspicion de péritonite. Effectivement, Eric paraissait mal en point. J’ai réajusté son dosage d’antalgiques, quelques minutes plus tard son regard était moins vitreux, je lui ai dit que je venais pour le raser avant l’intervention et lui demander d’ôter ses bijoux dont de magnifiques anneaux trois ors.
J’ai donc sorti la tondeuse de ma poche et j’ai baissé le drap. Sa verge était toute rabougrie mais j’ai pris un malin plaisir à manipuler sa bite bien plus que nécessaire, je voulais voir ce qu’il avait sous le capot. J’ai étiré doucement ses couilles, me penchant outrageusement afin qu’il plonge ses yeux dans mon décolleté sans soutif. Une belle érection n’a pas tardé à venir, Eric, tout rouge, s’est excusé. Je lui ai répondu d’un ton très pro que ce n’était rien, que c’était la nature, bla, bla bla… Mais j’en ai quand même profité pour le décalotter, d’abord pour passer du désinfectant partout et parce que j’ai un faible pour les beaux glands, le sien était splendide !
En sortant de la chambre, il était évident qu’il fallait que je l’accroche à mon tableau de chasse. J’étais là quand il a refait surface, j’ai vérifié ses constantes et je me suis penchée pour lui glisser un papier avec mon numéro tout en passant ma main sur sa queue. «Deux semaines de repos ne seront pas superflues avant de m’appeler.» lui ai-je murmuré à l’oreille et je suis partie.
Quinze jours après pile, il me téléphonait. Je ne sais pas comment il s’est « libéré » de madame mais je l’ai eu pour moi toute seule toute une nuit. Il est arrivé chez moi sans fleurs ni bouteille de vin, nous savions tous deux ce pour quoi il venait. Direction ma chambre. En tant que représentante du corps médical j’ai donné le ton. « Déshabille-toi et allonge-toi. »
Soins approfondis à domicile
Eric n’a pas bronché et s’est exécuté. Sa queue était flasque comme lorsque j’étais venu le raser mais ses poils avaient eu le temps de repousser. Je m’étais fait des couettes pour l’occasion, je ne voulais pas être gênée par ma crinière de feu. Je lui ai tendu mon portable et lui ai demandé de prendre quelques photos, histoire de garder un souvenir. J’ai cru qu’il allait jouir instantanément tant l’idée a semblé le surexcité mais il a finalement joué le jeu. Je me suis glissée entre ses cuisses en le regardant droit dans les yeux et j’ai entamé mon « grand-œuvre ». Je suis une reine de la fellation, autant que mon convalescent en profite. Il n’a pas été long à bander et j’ai vu grossir son chibre au fur et à mesure de mes succions. Il a même eu le droit à un anilungus tellement j’étais chaude.
Ça a été enfin mon tour de me déshabiller. J’avais envie qu’il s’occupe de moi. Je me suis mis en levrette, ma position fétiche et je lui ai tendu mon petit fessier bien charnu. De patient il est devenu praticien. Il m’a littéralement bouffé le cul et la chatte tout comme j’aime, me doigtant les deux orifices en alternance ou simultanément. Il a même pris le temps de photographier son index qu’il m’a donné à lécher avant de le planter dans mon anus ouvert. Le reste est passé tout seul. Je raffole de sodomie et Éric l’a bien senti juste en me titillant de la phalange. Il l’a habilement remplacée par son gros gland au prépuce gourmand. J’ai poussé sur mon sphincter, j’ai respiré à fond et j’ai gémi comme la belle salope que je suis lorsqu’il m’a enculé de toute sa hampe épaisse.
Pas le temps de souffler pour m’habituer à son calibre, il a craché sur mon œillet écartelé et il a lâché la cavalerie. Il m’a limé le petit trou comme s’il m’avait baisé par la chatte. La chaleur a commencé à envahir mon bas ventre et très vite mon clito a réclamé son lot de caresses. J’ai glissé une main pour me caresser, mon vagin était compressé tant la queue dans mon orifice anal le comprimait ! J’ai récolté ma mouille abondante et j’ai lubrifié mon bourgeon avec, quelques secondes plus tard j’étais emportée par des vagues sauvages et je gémissais en étouffant mes cris dans un oreiller. Éric s’est retiré de mon anus qui réclamait une pause, son membre était toujours aussi imposant et dur. Il m’a demandé de continuer à me caresser, je me suis branlée devant lui, me pénétrant profondément tout en écartant mes lèvres intimes au maximum.
« Viens ! » a-t-il presque crié. Message reçu cinq sur cinq, je me suis vite retournée sur le dos, juste à temps pour le sentir cracher son foutre dans ma bouche bien ouverte. J’en ai reçu partout et il n’a pu résister à garder un souvenir de mon minois tout plein de sperme luisant et collant. Après une petite collation on a remis ça, cette fois-ci il m’a prise par devant, mon anneau était hors service après son passage en force. J’ai eu trois orgasmes dont un super fort sous ses coups de langue et lui a éjaculé encore une fois, sur mes seins ce coup-ci et puis il est reparti un peu avant le petit matin.
Le lendemain j’ai été reprendre mon service, mon premier patient se prénommait Léo, un beau mec de vingt ans, opéré de ?… Gagné ! Une appendicectomie ! Lui aussi je me suis occupé de sa convalescence, c’était sa première opération, j’ai été sa première rousse et … sa première sodomie ! Je pense qu’il ne devrait pas avoir peur de l’hôpital dans les années à venir.
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