Le petit frère de Sophie

La rédaction 6 juin 2021

Valeria, 23 ans, partagé tout avec sa coloc’, meme les mecs. Notre coquine du jour franchit cependant un interdit : elle se tape le frère de Sophie !

Ma meilleure amie, Sophie, et moi, on vit en colocation. On partage tout… Parfois même les garçons ! Mais il y en avait un auquel je n’avais pas le droit de toucher : son frère. Elle m’avait bien prévenue quand celui-ci est venu passer un week-end à la maison, avant un entretien d’embauche. Voici mon histoire de sexe. 

Vu la mise en garde de mon amie : « Pas touche à mon frère, ça serait trop bizarre ! », je me suis imaginé que Paul était un pur beau gosse, auquel j’aurais du mal à résister. Quelle déception quand j’ai vu débarquer un type pas vraiment attirant, un peu rond et qui commençait déjà à perdre ses cheveux. J’ai quand même accueilli le frangin avec un grand sourire. Il a posé sa valise dans le salon et a lancé « voilà donc la belle Valeria », J’ai alors compris : Paul n’était pas beau, mais c’était un vrai charmeur…

Le week-end s’est très bien passé : balade, musée, resto… En plus, Paul n’a pas arrêté de me complimenter. Le dimanche soir, après un bon repas bien arrosé, Sophie a installé le canapé-lit pour elle. « Je te laisse ma chambre, petit frère, comme ça tu seras en pleine forme pour ton entretien demain matin. » Une heure plus tard, tout le monde était au lit. Vers minuit, je tournais sous ma couette quand j’ai reçu un texto de Paul : « Ma soeur dort, tu viens discuter dans ma chambre ? » J’ai essayé d’ignorer le message, me rappelant de la mise en garde de Sophie. Mais au cinquième SMS, j’ai craqué et rejoint Paul en catimini…

À peine la porte ouverte, j’ai su que la situation allait très vite déraper. Nu comme un ver, Paul était allongé sur le lit de Sophie, un sourire canaille sur les lèvres. Il a lancé : « Tu me rejoins ? » Il avait l’air tellement sûr de son coup que j’ai ri et fait tomber ma chemise de nuit à mes pieds. Après tout, personne ne pouvait m’interdire de m’amuser !

Je me suis allongée près de Paul et j’ai fixé son sexe : un peu court mais assez épais, il m’avait l’air fort savoureux… J’ai donc demandé à mon amant d’un soir s’il voulait bien se mettre au-dessus de moi pour me faire goûter son engin. Amusé, il a répondu : « Ma sœur m’avait dit que tu aimais la bite, mais je ne savais pas à quel point. »

Une seconde plus tard, je voyais son corps lourd au-dessus de moi et son sexe à quelques millimètres de ma bouche. Quel pied ! Là, dans le lit de ma meilleure pote, j’étais en train de pomper le gland de son petit frère… Cette pensée malsaine m’a surexcitée, et j’ai glissé un doigt dans ma fente, pendant que Paul entrait son chibre plus loin dans ma bouche. De sa main libre, il a commencé à prendre des photos avec son portable : « Tu es encore meilleure que ce que je pensais ! »

J’ai ri et répondu : « Et attends de voir ce que je peux te faire avec ma chatte. » Paul a grogné et a sorti son sexe pour se branler au-dessus de ma bouche. J’en ai profité pour me dégager et m’installer à quatre pattes devant lui. De nouveau, j’ai entendu le bruit de la caméra du téléphone. J’ai pris la pose : le cul bien haut, un doigt dans la cramouille… Derrière, je sentais Paul qui s’excitait en me matant. J’ai pensé à Sophie, endormie à côté, et à ce qu’elle dirait si elle nous voyait comme ça…

Cette idée m’a fait décoller, et je me suis entendu supplier Paul : « Mets-la moi, s’il te plaît ! » Sans se faire prier, le cochon a d’abord entrepris de lécher les bords de mon frifri, histoire que tout rentre sans effort. « Mais tu es déjà au taquet, on dirait ! » J’ai poussé un soupir d’excitation… Paul est rentré d’un coup, et j’ai crié en me sentant écartée aussi brutalement. Sophie risquait bien de nous entendre… Inquiet, son frère m’a mis un gros coup de boutoir, et je suis venue m’effondrer dans les coussins. Il m’a plaqué la tête, tout en me soufflant à l’oreille : « Tais-toi, salope, tu vas nous faire repérer. »

Soumise, à moitié étouffée par les oreillers, je l’ai laissé me pilonner en essayant de couiner le moins possible. Difficile, surtout que le salaud a commencé à enfoncer doucement son pouce dans mon petit trou, tout en continuant à me bourrer la chatte. Lui aussi commençait à gémir. J’ai ondulé tout ce que j’ai pu, histoire de l’inciter à aller plus vite. Soudain, j’ai senti Paul se raidir, et j’ai pris dans la chatte un épais jet de foutre. J’ai bougé le cul, et mon amant a compris ce qu’il me fallait : il a enfoncé son doigt tout au fond de mon derche, déclenchant un bel orgasme de chaque côté de mon corps. Je me suis effondrée et me suis endormie aussitôt.

Le lendemain, au petit jour, j’ai filé discrètement dans ma chambre. Quand mon réveil a sonné un peu plus tard, j’ai trouvé un texto sur mon téléphone : « Après cette nuit, je ne peux pas rater mon entretien. Du coup, on va forcément se revoir à Paris. » Paul n’est plus le seul à attendre impatiemment la réponse de son futur employeur…

(Photo à la une : Getty Images)

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