Vive l’internat !

Nanou Redacteur 17 janvier 2022

Rodolphe arrive à l’internat et rencontre une fille, Wendy a l’appétit sexuelle insatiable ! Venu pour les études, il repartira avec plus d’un savoir !

J’ai souvent entendu mon père se plaindre des conditions dans lesquelles il avait été en pensionnat. En ce qui me concerne, c’était un choix. Je ne voulais pas passer mon temps dans les transports et perdre de vue mon but : devenir meilleur ouvrier de France, en ébénisterie.

Mes recherches m’avaient permis de très vite me rendre compte qu’être pensionnaire aujourd’hui n’a plus rien à voir avec ce qu’a connu mon paternel. Salle de repos avec télé, jeux vidéo, baby-foot, billard, possibilité d’organiser une soirée festive de temps en temps… Et surtout, surtout, ces établissements sont désormais, pour la plupart, mixtes ! Ma copine m’avait largué en prétextant que notre couple ne survivrait pas à l’éloignement. Je suis donc arrivé dans mon école caennaise, avec un appétit féroce de me plonger dans les études et entre les cuisses d’une fille si j’en trouvais une qui en ait envie.

Trois jours ! Il m’a fallu trois jours ! Wendy ! La nana la mieux gaulée du bahut et la plus populaire. J’avais un peu peur de me prendre un râteau, aussi j’ai regardé les autres gars (et même quelques filles) se casser les dents. J’ai vite appris de leurs erreurs et je n’ai rien fait. C’est elle qui est venue me chercher.

Je m’appelle Rodolphe et voici mon histoire de sexe !

Une rencontre rapide

Un soir, après le dîner, elle m’a proposé un baby. Elle joue trop bien ! Un vrai garçon manqué. Après nous sommes allés nous balader dans le parc. Elle m’a embrassé contre le tronc d’un marronnier bicentenaire avant de s’accroupir devant ma braguette. En moins de deux ma belle branche était à l’air !Elle a eu un sourire carnassier quand elle a vu mon engin. Je bandais déjà et j’ai su par la suite que la demoiselle aimait plutôt les grosses.

Pour officialiser le fait qu’on sorte ensemble, elle a donc commencé par une pipe à la belle étoile. Et une chose est sûre, elle n’en était pas à sa première. Une véritable M.O.F. de la fellation, du grand art ! D’abord des baisers, sur toute la hampe, le gland et les couilles puis de petits coups de langue qui se posaient ici et là. Mon gourdin en main, elle m’a astiqué doucement jusqu’à me décalotter entièrement, tirant fort sur mon prépuce avant d’avaler ma fraise comme une friandise.

Elle le faisait buter contre l’intérieur de ses joues. Elle me regardait par intermittence, griffant légèrement mes burnes de ses ongles aiguisés pour me faire enfin coulisser de toute ma longueur au fond de sa gorge. Je n’ai pas pu me retenir, j’ai attiré son attention et mes yeux ont vu dans les siens un grand « Vas-y ! ». J’ai tout lâché, abstinent involontaire depuis deux mois à part les séances de branlette… J’ai failli la noyer tant mon expulsion était importante. Ça lui a coulé sur le menton, ça a glissé dans son décolleté. Elle a non seulement tout avalé, mais elle a récupéré le reste avec ses doigts pour les lécher.

Une compagne de chambrée

Lors des nuits qui se sont succédé s’en est suivi un rituel immuable. Wendy s’était arrangée pour jeter mon compagnon de chambrée dans les bras de la fille qui dormait avec elle. Tandis qu’elle venait me rejoindre, mon colocataire prenait le chemin inverse.

J’ai passé les deux meilleures années de ma vie dans ce « cloître ». Wendy n’avait aucun sentiment amoureux, mais elle avait trouvé en moi un amant à la hauteur de ses attentes … nombreuses. Elle voulait tout tester, tout découvrir, tout explorer. Ma bite était devenue son hobby préféré.

Certaines nuits n’étaient dédiées qu’aux joutes de langue. Pas de doigts, pas de pénétration, rien que des variations mêlant succions, léchage et aspirations. D’autres étaient vouées, au contraire, à une exclusivité pénienne, les mains toujours proscrites. Je me devais de la faire jouir juste avec ma queue et, dans un esprit presque de revanche, elle devait m’amener à éjaculer simplement en me chevauchant, jouant de ses contractions vaginales.

Évidemment, suivant le même principe, elle m’a demandé de l’emmener au septième ciel grâce au tabou ultime, le sexe anal. J’ai mis une semaine à comprendre comment la faire atteindre l’orgasme par le trou du cul. Je n’avais pas anticipé qu’elle exigerait la réciproque.

Une grande première

J’ai été réticent au début, ce qui m’a valu sept jours de « cachot », c’est-à-dire de privation de la toucher. Nos soirées se limitaient à se masturber l’un devant l’autre sans aucun contact. Évidemment j’ai cédé et elle a pris possession de mon anus. J’ai découvert, après moult échecs, le plaisir prostatique ! Je n’ai jamais balancé mon foutre avec autant de vigueur que lorsque j’avais un de ses doigts fichés au plus profond de mon petit anneau et ma queue au fond de sa bouche.

Lors de l’ultime trimestre de la seconde et dernière année, ne sachant pas ce que nous réservait l’avenir, nous avons décidé de nous filmer pendant nos ébats. Wendy s’est donnée à corps perdu lors de ces trois mois, désirant graver à tout jamais notre passion érotique.

Cette blonde sulfureuse savait ce qu’elle voulait, exhibitionniste et libre, elle m’a offert des nuits de sexe inoubliables.

Un samedi torride

Je me souviens particulièrement d’un samedi où nous avons baisé durant plus de six heures. Je la revois ouvrir ses fesses, debout au-dessus de moi, pour être bien sûr que je ne raterais rien de sa chatte luisante de mouille ou de son petit orifice serré qu’elle me suppliait plus que tout de dilater avec mon gros chibre.

Indolente et soumise, à quatre pattes, attendant que je la défonce à la façon d’un forcené. Par devant ou par-derrière peu lui importait. Son plus grand plaisir ? Que je la traite de belle salope et que je finisse par exploser dans ses entrailles. Ensuite je devais prendre en photo mon sperme dégoulinant de son trou béant.

Sous la douche, alors que je n’en pouvais plus, ranimant la flamme de ma queue épuisée, me suçant comme jamais pour mieux me ramener sur le lit et me demander de la baiser une de fois de plus parce qu’elle « n’avait pas eu son compte ».

Je l’ai aspergée de ma semence, son ventre, ses fesses, son visage, ses pieds, elle n’en avait jamais assez.

Nous avons obtenu nos diplômes respectifs, je suis devenu meilleur ouvrier de France, elle a fait carrière dans l’hôtellerie de luxe. Quelle n’a pas été la surprise lorsque j’ai rencontré, il y a trois semaines, la responsable « décoration d’intérieur » du groupe pour lequel j’ai remporté un appel d’offres pour des bars sur mesures afin de relooker leurs cent vingt établissements de par le monde ? Il va me falloir … approfondir le dossier.

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