Je m’occupe beaucoup de ma voisine

La rédaction 12 janvier 2020

Quentin, 41 ans

J’habite un petit immeuble dans un quartier agréable. Mon travail m’offre quotidiennement une demi-journée de liberté que je mets à profit (femme au travail, enfants au collège) pour m’occuper de ma jeune voisine. Elle s’est installée avec son mari et son bébé, il y a quelques mois. Au début, je ne lui ai pas tellement prêté attention. Et puis un jour, je me suis aperçu, dans l’escalier, que si son visage était agréable sans plus, sa ligne se révélait particulièrement excitante.

Nous échangions jusqu’alors quelques mots, mais à partir de cette constatation, je lui fis volontiers une plus longue causette. J’appris qu’elle avait 23 ans, s’appelait Sylvie, que son mari travaillait sur les chantiers et rentrait assez tard le soir. Elle paraissait peu farouche, sans que je sache encore si elle désirait simplement échanger quelques mots avec un voisin sympathique. J’ai presque vingt ans de plus qu’elle, mais je m’estime tout à fait présentable. Nos balcons ne sont séparés que par un petit muret et, chacun d’un côté, il nous arrivait de deviser gentiment.

Un jour, je l’ai surprise allongée sur un transat, plongée dans la lecture d’un magazine. Elle était vêtue d’une courte blouse et faisait dorer ses belles cuisses rondes au soleil. Une jambe repliée avait écarté les pans de sa blouse et j’eus la vision de son slip blanc agréablement gonflé d’une toison rousse qui se laissait deviner de part et d’autre. J’ai contemplé un moment ce spectacle charmant et excitant, puis, pour tester sa réaction de femme surprise dans son intimité, je l’ai hélée gentiment. Elle me répondit tout aussi gentiment mais ne parut pas pressée d’interrompre l’exhibition de son intimité. Je me suis demandé si c’était de l’inconscience ou de la perversité.

Le soir, assez tard, m’étant rendu sur le balcon pour prendre le frais, j’ai entendu, venant de l’appartement voisin, des gémissements. Je me suis approché et j’ai clairement perçu les cris de plaisir de ma voisine, honorée par son mari. Qu’elle me laisse voir sa chatte et qu’ensuite je l’entende faire l’amour, il n’y avait pas de doute, c’était une femme chaude qui aimait le sexe. Cette certitude me remplit d’un trouble profond et je me résolus à tenter carrément ma chance. Elle allait se présenter rapidement.

Un jour, je la rencontrai dans l’escalier devant moi. J’étais sûr que le spectacle qu’elle offrait était voulu. Elle avait de longues jambes, la croupe assez rebondie. Elle portait une jupe courte ajustée. Elle montait lentement et mes yeux se trouvaient à hauteur de son postérieur. À€ chaque mouvement, ses fesses roulaient et j’entrevoyais un court instant, à travers l’étoffe de la jupe, la marque d’un slip qui devait être très mini. Elle me donnait l’impression de contrôler parfaitement l’exhibition qu’elle me faisait de son corps, en apparence innocent, mais si lascif et excitant dans sa lente montée chaloupée ! Je sais maintenant qu’elle a presque joui du regard qui enveloppait ses reins. À€ mon grand regret, nous sommes arrivés à notre étage. Je lui ai dit un peu bêtement, d’une voix blanche : « Vous êtes très belle ! » Elle a souri.

Le lendemain, je l’ai carrément guettée. Le même scénario s’est reproduit. La même lente montée, mais, à l’étage, je lui ai passé les mains autour de la taille, et voyant qu’elle ne réagissait qu’en fermant les yeux, j’ai caressé sa croupe d’abord légèrement puis plus hardiment. La porte de son appartement s’est ouverte. Elle est entrée rapidement et a disparu avec son bébé. Elle est revenue au bout d’un court instant et, immédiatement s’est offerte. J’ai embrassé doucement son cou et ses lèvres mais elle me paraissait si consentante que je n’ai pas tardé à fouiller sa bouche de ma langue. Mes mains ont saisi ses hanches puis, je me suis emparé de ses fesses.

Elle gémissait à la fois du baiser et de la caresse. Je sentais sous mes mains les beaux globes charnus et élastiques, là  où se niche la féminité la plus totale. Je l’ai poussée dans sa chambre, j’ai défait son corsage et sa jupe. J’ai arraché son soutien-gorge pour dégager des seins moyens en volume mais agréables de forme et de douceur. Elle se laissait faire, la bouche ouverte, suant de désir. J’ai mordu son sexe à travers le petit slip. Une agréable odeur de femme en chaleur m’emplissait la bouche.

Puis je l’ai prise. Le gémissement qu’elle poussa quand je m’enfonçai en elle trahissait le désir qu’elle avait d’être possédée. Son vagin était profond et doux, un délice où ma verge ne demandait qu’à s’abîmer de plaisir. Je l’ai baisée doucement au début pour qu’elle s’habitue à moi. Je lui faisais sentir toute la longueur de mon sexe et elle réagissait quand mon gland frappait au plus profond d’elle. Peu à peu, je l’ai prise plus durement et elle n’a pas tardé à jouir dans un grand cri. Je l’ai laissée un court instant récupérer puis j’ai recommencé jusqu’à ce qu’elle connaisse un nouvel orgasme tandis que j’éclatais en elle.

Après notre étreinte, elle paraissait assez tourneboulée. Je lui ai parlé, je lui ai dit mon bonheur de l’avoir possédée et de lui avoir donné du plaisir. Les jours suivants, elle parut m’éviter. Elle prétendait être fatiguée. J’ai surpris encore plusieurs fois, le soir, ses gémissements qui révélaient que son mari, lui, continuait à lui faire l’amour. Je mettais cela sur le compte du remords. Et puis un jour, elle a sonné chez moi. Elle souriait tout naturellement. Sans que je le lui demande, elle me dit qu’elle avait regretté… Elle aimait son mari mais, curieusement, elle avait envie de moi.

Dès lors nous nous sommes rencontrés régulièrement pour faire l’amour. Je ne lui ai pas fait de cadeaux et j’ai découvert, et lui ai fait découvrir, qu’elle aimait être soumise. C’est avec beaucoup de docilité qu’elle s’agenouille devant moi pour ouvrir mon pantalon, dégager mon sexe et le sucer avec délicatesse et onctuosité. Je m’amuse très souvent avec son joli cul. Je regarde ses belles fesses rondes et dures, le sillon mystérieux et profond garni d’un fin duvet roux qui rejoint le sexe renflé et si bien fendu que j’aperçois entre ses cuisses quand elle soulève sa croupe en creusant les reins. Je mords la belle chair fleurie d’une peau si douce, j’aime la ride légère qui sépare les fesses des cuisses, elles-mêmes si rondes et élastiques. Ma bouche s’enfonce au fond de la raie, lèche tout le sillon et quand elle a trouvé la petite crevasse intime, elle se vrille sur le bouton, le force à accepter la pression de la langue et peu à peu à s’habituer à la possession totale qu’elle sent venir sans que nous ayons parlé.

Je la baise beaucoup, elle à califourchon sur moi, en levrette, sur le côté, par derrière, debout. Elle aime tout. Je lui ai avoué avoir entendu ses ébats avec son mari. Elle a souri, pensive et m’a dit : «J’ai toujours envie de jouir». Je m’y emploie. Aujourd’hui, je suis décidé : je veux la sodomiser. Je la prépare donc comme d’habitude ; elle déguste le baiser sans se méfier, ronronnant de plaisir, écartant ses jambes pour mieux s’offrir. Quand je l’estime prête, l’anus humide et tendre, je me redresse, me couche sur elle et plante ma verge entre ses fesses. Elle dit: «Non», assez faiblement. Mon gland pèse sur son orifice délicat, le dilate et, tandis qu’elle pousse un petit cri, le force. Peu à peu mon gland trouve sa place et s’enfonce dans les entrailles de Sylvie… C’est beau comme un fantasme.
C’est un fantasme.

Ma voisine est comme je l’ai décrite. Je l’entends faire l’amour avec son mari, j’ai surpris son intimité sur le balcon mais je ne lui ai rien dit, je l’aide à monter paquets et poussette, mais c’est tout. Le reste, c’est un rêve, Je ne crois pas qu’un jour je lécherai la raie de son très beau cul tout juste deviné…

(Image à la une : Getty Images)

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La rédaction


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  • gilbert Messas

    une superbe histoire à partir d’un fantasme très naturel, car effectivement une belle voisine çà peut faire rêver, et j’aurai aimé le vivre

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