L’amour avec une vedette

La rédaction 13 mars 2019

Georges, retraité, Troyes.

J’ai eu parfois des aventures sans Marie, et, de son côté, elle en a fait de même. Nous ne nous sommes jamais rien caché. Cette aventure m’est arrivée entre 1995 et 2000. Je suis volontairement flou, car la dame était très connue à l’époque et elle est toujours en vie. Elle a environ 75 ans.

La société qui m’employait à l’époque assurait l’organisation et la logistique dans plusieurs domaines. Ce jour-là, il s’agissait d’une conférence dans un vignoble, près de Beaune. J’avais été chargé de récupérer cette dame à la gare de Dijon, puis de lui servir de chauffeur et d’assistant jusqu’au moment de son retour au train le lendemain. Tout s’est bien passé. Très sympathique. Hôtel, réunion, conférence et buffet à 20 heures. Retour à l’hôtel vers 23 heures.

Pendant le trajet, elle m’a demandé si elle pouvait s’asseoir plus près de moi dans la voiture. « Pas de problème. » Et tout à coup, elle a voulu poser sa tête sur mon épaule. Ses cheveux frôlaient ma joue. Son parfum était enivrant. Sa main gauche est venue se poser sur ma cuisse. Nous sommes allés jusqu’à l’hôtel comme ça. J’ai récupéré la clé de sa chambre à la réception et j’ai porté ses affaires. Dans la suite, elle a retiré son manteau et s’est dirigée vers la salle de bains pendant que j’accrochais la belle étoffe dans la penderie. Elle m’a appelé. Je suis venu. Elle était appuyée contre le lavabo face à la glace. « Georges, dégrafez ma robe, vous voulez bien ? – Je ne peux pas, madame, ce ne serait pas convenable. Vous êtes si belle et vous me troublez. »

Elle m’a regardé dans le miroir et d’un coup, elle a changé de ton : « Georges, je veux être ta salope, ta pute. Baise-moi comme une chienne. Insulte-moi ! » Je me suis approché, j’ai défait l’agrafe et baissé le zip jusqu’à la taille. J’ai mis les mains dans la robe et ai pris ses seins. Elle a un peu tourné la tête, et nos lèvres se sont jointes dans un baiser violent. J’ai caressé ses fesses.

Je l’ai prise par la main et conduite à la chambre. La robe est tombée à terre. Elle portait une combinaison en dessous. Je l’ai remontée pour la lui retirer par en haut. Elle était en collants et soutien-gorge. Magnifique. Elle a défait ma ceinture. Mon pantalon est tombé, et le slip a suivi. Elle s’est mise à genoux. Elle a englouti ma queue et m’a bien sucé. Au bout de quelques minutes, je l’ai relevée, j’ai enlevé son soutien-gorge, ses collants, sa culotte. Elle était nue à présent. Belle blonde au naturel. Je l’ai mise sur le lit pour la faire jouir en la suçant. Puis je l’ai pénétrée, pilonnée. Assez longtemps. J’ai joui en elle.

La suite de la nuit n’a été que caresses, léchages et positions non répertoriées par le Kâmasûtra ! Elle m’a dit qu’elle aimait son mari, mais que parfois, elle avait besoin de ça. Son grand fantasme aurait été de faire la pute au bois de Boulogne. Malheureusement, elle était trop connue, c’était impossible. Je l’ai reconduite à la gare le lendemain matin. Je me suis occupé de ses bagages, et on s’est longuement embrassés dans le couloir du train. Elle m’a demandé de rester discret et m’a remercié pour ce cadeau. Je lui ai répondu que c’était moi qui la remerciais, que c’était elle qui m’avait fait un beau cadeau. En rentrant, j’ai tout raconté à Marie. C’est la première fois aujourd’hui que j’en parle à quelqu’un d’autre et je ne révélerai jamais son nom.

(Photo à la une : Getty Images)

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La tête dans les étoiles

« Lorsqu’il m’a ouvert la porte, la chemise entrouverte sur son torse et le bouton de son pantalon défait, une vague de chaleur est venu secouer mes tripes. J’avais envie de lui, de son corps. Comme si coucher avec lui me permettrait de tout connaître des secrets de l’univers. » Lucie. 

Allo la réception !

« Je l’ai alors invité à me rejoindre derrière le comptoir, et j’ai relevé ma jupe noire, toujours juchée sur mon tabouret, afin de lui présenter mon sexe. Il s’est alors agenouillé et a enfoui sa langue dans ma chatte, qui était déjà humide d’excitation. » Mathilda. 

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Victoria, 20 ans, se fait prendre sur son lieu de travail par 5 beaux garçons. Un entretien d’embauche qui dégénère: le candidat démonte la DRH. Une vendeuse en prêt-à-porter adore l’amour à plusieurs.


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