Le vol de nuit
22 septembre 2020Annabelle, 32 ans, porte bien son nom : elle aime le sexe anal. Etant hôtesse de l’air, elle retrouve un des passagers qui lui avait plu lors de son dernier vol pour une nuit de sodomie.
Je m’appelle Annabelle et je porte bien mon prénom : belle et branchée plaisir anal. J’adore m’envoyer en l’air, dans tous les sens du terme – je suis hôtesse pour une grande compagnie d’aviation. C’est comme ça que je rencontre la plupart de mes amants. Laissez-moi vous raconter ma dernière histoire de sexe avec un passager fort bien membré.
Je l’ai rencontré sur un vol pour New York. Nous avons été enfermés 9 h ensemble et nous avons eu de multiples occasions de se parler. D’abord quand il m’a demandée un verre d’eau, puis un café, puis quand il a voulu que je l’aide à baisser l’air froid au-dessus de son siège. Comme il était beau gosse, j’en ai profité pour lui promener mes seins devant le nez en réglant le bouton. À l’arrivée, il m’a sobrement tendue sa carte. Il s’appelait Steve.
Je n’étais à New York que pour deux jours et j’avais prévu de faire les musées, pas de l’appeler. Mais en arrivant à mon hôtel, j’ai tout simplement halluciné : Steve était dans le hall, en train de faire monter ses valises. J’ai avancé vers l’accueil et il a souri. Il avait un sourire de pub TV, raccord avec son physique d’Américain. Tout à fait ma came, avec son 1 m 80 et son visage carré… Mais il m’a eu l’air plus vieux que dans l’avion. 45 ans, peut-être ? J’en étais là de mes observations quand Steve s’est approché, a regardé le numéro de la clé que la réceptionniste me tendait, puis a tourné les talons. Quinze minutes plus tard, il toquait à ma porte.
À peine l’avais-je ouverte qu’il se jetait sur moi. Son odeur m’a enveloppée, un mélange de parfum coûteux et d’haleine mentholée. Sa langue, déjà, fouillait loin dans ma bouche. J’ai enlevé sa veste, défait son pantalon. Lui s’est contenté d’ôter ma jupe. J’ai voulu me déshabiller aussi, mais il a retenu mes poignets. Il faut dire que j’avais pris le temps de me changer, au profit d’un ensemble des plus piquants… Monsieur a eu l’air d’aimer, puisqu’il m’a prise en photo avec son téléphone, posant près du lit.
L’érection de Steve était phénoménale. Quand il s’est approché de moi, j’ai espéré qu’il soit branché préliminaires : il allait m’en falloir pour mouiller en quantité suffisante ! Quand il m’a attrapée par la nuque et ensuite, je suis descendu à ses genoux, j’ai décidé de faire le travail de lubrification moi-même. De ma langue, je l’ai préparé : couilles, glands, queue, j’ai tout sucé avec délice. L’ensemble avait un léger goût de sperme et je me suis demandé s’il ne s’était pas branlé avant de me retrouver. Ses performances ont ensuite confirmé mon intuition : ce type était increvable !
La pipe a duré plus d’un quart d’heure, à m’en faire mal aux mâchoires. Mais, cramponnée aux genoux de Steve, je n’ai rien lâché, me mettant même à avaler son épais gourdin à toute vitesse. De quoi l’exciter à mort : il m’a chopée par le chignon et m’a relevée pour une nouvelle pelle profonde. Puis il m’a jetée sur le lit pour titiller la ficelle de mon string, dévoilant mon petit anus moite. Au début, j’ai cru qu’il voulait jouer avec mon trou. Mais quand il a baissé le string et a posé son gros gland contre ma rondelle, j’ai compris qu’il était très sérieux. Sans caresse digne de ce non, allait-il pouvoir rentrer son engin du démon ?
J’ai pris une grande respiration quand il a donné un premier coup de rein. À ma grande surprise, sa queue est entrée de deux ou trois centimètres. La pipe m’avait excitée bien plus que je ne le pensais et j’étais en fait très dilatée ! Deuxième coup, j’ai commencé à la sentir passer. Puis un troisième. Seigneur, sa queue était si grosse que la moitié m’aurait suffi ! Mais je n’allais pas y couper. Il a fallu deux bonnes minutes pour que, centimètre par centimètre, il me transperce le fion. J’ai alors commencé à kiffer.
Steve entrait et sortait à présent très lentement. Chaque introduction me faisait pousser un hurlement de dingue. Mais dès qu’il coulissait en arrière, je n’avais qu’un désir : qu’il me sodomise à nouveau. De temps en temps, le coquin se retirait totalement et passait son index sur le pourtour de mon trou, dilaté à l’extrême. Un frisson me parcourait alors tout le corps… L’acte a de nouveau duré de longues minutes, puis Steve m’a demandée de mettre sur le dos. Jambes relevées, je l’ai laissé me prendre le cul à nouveau.
Même manège : chaque poussée me faisait perdre la tête. Gueulante et tremblante, je lui ai suggéré d’accélérer. L’Américain a saisi mes chevilles puis a bourré plus vite. Secouée comme un prunier, j’ai glissé ma main entre mes jambes. Mon clitoris était gonflé et ma chatte mouillait en abondance, le liquide coulant jusqu’à mon cul défoncé. Encore, encore ! J’ai joui en beuglant comme une chienne.
Sonnée, j’ai senti Steve se retirer. De l’air est sorti en quantité de mon anus et les doigts de mon amant se sont de nouveau promenés sur ses bords moelleux. Il est ensuite remonté dans le lit et, sans rien dire, a ouvert ma bouche avec son sexe. Le goût m’a électrisée : un mélange de jus de cul, de mouille et de précum. J’ai pompé, pompé encore, épuisée par ses va-et-vient mais déterminée à lui donner autant de plaisir que j’en avais reçu.
La première giclée a été pour ma gorge, la seconde pour mon visage. J’en aurais voulu plus, mais j’ai quand même adoré quand Steve l’a étalé sur mes lèvres. Je me suis ensuite recroquevillée dans les draps et je me suis endormie immédiatement. Le lendemain, j’ai été réveillée par le room-service. J’ai passé un peignoir et ouvert à la femme de chambre. Dans ses bras, un énorme bouquet de roses pourpres et bien ouvertes, accompagné d’une carte écrite en français : « Merci pour ton cul ».