Lyon, capitale de la gaule

La rédaction 17 décembre 2020

Jérôme, 44 ans, visite Lyon et séjourne dans un hôtel où il rencontre Irène : une magnifique femme qui lui inspire beaucoup de désir…

Mon histoire de sexe se passe il y a quelques années. Suite à un divorce, je me suis offert un séjour à Lyon pour me changer les idées et attendre que la Belle pour qui j’avais quitté ma femme soit enfin libre.

Je suis descendu dans un hôtel magnifique, un joyau de la Renaissance niché dans une venelle du cinquième arrondissement. J’ai joué les touristes à fond, autobus à impériale avec audioguide, petits bouchons, balades place Bellecourt, visite de l’immense parc de la tête d’or…

Le soir, mon rituel était toujours le même, je rentrais me doucher à l’hôtel, j’enfilais un costume noir par-dessus une chemise blanche et je me rendais au bar de l’hôtel. Leur cave à whiskies étant très abondamment fournie, je me laissais guider par la barmaid pour deux dégustions avant de passer à table.

Dès le premier jour, j’ai croisé le regard d’un couple. Surtout celui de la femme. Une liane bronzée sublime, un cul superbe, des cheveux cuivrés à tomber, une paire d’obus en lieu et place des seins et un regard franc et direct qui ne me laissait pas indifférent.

Elle devait avoir moins de trente ans et l’homme avec elle était vieux, aussi somnolent que bedonnant, j’ai bien compris qu’il n’était rien, sinon son accompagnateur, ou plutôt elle était son accompagnatrice.

Ce soir-là elle était très belle dans son chemiser blanc. Quelques bijoux d’or rehaussaient la carnation de sa peau, il exhalait d’elle un parfum capiteux et entêtant. Je ne sais pas ce qui m’a pris, je me suis levé et suis allé voir l’homme.

« J’allais vous proposer de dîner ensemble mais je vois que vous êtes fatigué. Peut-être un autre soir… ? »

Le message entre les lignes était clair, et miracle, il avait été compris !

« Je vais me reposer oui, mais rien ne vous empêche d’inviter Irène. »

Nos deux regards se sont portés sur le diamant de bout de femme que nous avions en face de nous et un « Oui » un peu trop enthousiaste a résonné à nos oreilles.

« Vous verrez » a repris la vieille baderne « Irène est de charmante compagnie ! Bonne nuit… et amusez-vous bien tous les deux. »

Je suis resté comme deux ronds de flan, ébaubi, ne sachant si je venais de recevoir un blanc-seing ou si j’avais rêvé. J’ai repris mes esprits, j’ai tendu la main vers Irène qui l’a attrapée avec beaucoup de grâce. Elle a repositionné son chemiser et nous avons gagné le restaurant bras dessus, bras dessous.

Mes jambes tremblaient, tout mon corps n’était qu’une cotonnade informe. J’ai souvent cette réaction lors des premiers contacts avec une inconnue.

Et elle ?! Qu’en était-il d’elle ? Certes, nous avions échangé des regards équivoques… mais équivoques pour qui ? Sans doute me faisais-je des illusions ? Son compagnon avait beau, visiblement, disposer d’elle à sa guise, pour moi il était hors de question d’aller plus loin sans son consentement express !

C’est dans ce contexte très particulier que nous sommes passés à table. J’ai repris pied après l’entrée et deux coupes de champagne, arrivant désormais à aligner trois mots intelligibles et à recouvrir mon sens de l’humour.

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Irène était charmante, cultivée et avait beaucoup voyagé. J’ai éludé les questions concernant son chaperon et visiblement elle m’en su gré. Le dîner aux chandelles s’est déroulé dans une ambiance feutrée et Irène a commencé à rechercher le contact de ma main. Au dessert, nos doigts, telles les touches d’un piano sensuel, s’entremêlaient en un concerto allant crescendo.

Nous avions visité virtuellement le Congo, l’Australie, le Brésil, Miami, le Japon et la Turquie, nous avions évoqué l’été indien au Canada et les plages désertes du front de mer de Nha Trang au sud du Vietnam. Et c’est avec ces images paradisiaques que nous nous sommes vus offrir deux coupes de champagne que nous sommes allés déguster dans le patio.

L’air était encore chaud, la pierre exhalait une douce chaleur équivoque, les bruits de la ville étaient étouffés par les hauts remparts de cette bâtisse ancestrale, j’étais enivré par le parfum d’Irène, assis dans ce canapé tout était loin, mon ex-femme, mon travail, mes préoccupations diverses.

Le temps s’était figé, c’était ma première escapade en tant que célibataire, c’était la première fois que je vivais un tel moment de grâce. Irène a approché son visage du mien, et à nouveau je connu une première fois : une femme prenant l’initiative du premier baiser !

Et dieu que c’était fantastiquement bon ! Mais pourquoi n’avais-je jamais été faire la cour à une femme superbe ! Ses lèvres, ourlets de chair englobaient les miennes avec une sensualité folle, sa langue était fraîche du champagne que nous étions en train de boire.

Elle a collé sa poitrine contre mon torse et a glissé ses doigts dans mes cheveux. Son parfum entêtant faisait pulser mes tempes, ses baisers longs exacerbaient mes sens. Je me laissais faire, victime consentante de cette amazone.

« Viens, allons dans ma chambre » ai-je lancé à Irène.

Elle n’a rien dit, elle s’est soulevée en libérant mes lèvres. Je lui ai pris la main et nous avons couru jusqu’à l’ascenseur.

La nuit a été voluptueuse, sexuelle, sauvage ! Irène aimait tout ! Je l’ai prise par devant, par derrière, je l’ai léchée, bouffée, dévorée, elle m’a sucé, aspiré, avalé ! Un joli piercing décorait son téton, un tatouage sa chute de reins, deux signes que j’ai pris comme une preuve de son appétence pour le sexe libre, joyeux et gai.

Elle jouait à la fois la femme lascive qui se laissait faire, à la fois la harpie qui dévorait crûment sa proie. Nous avons dormi ensemble et au petit matin, nous avons remis le couvert, encore embrumé par l’alcool. J’ai pris quelques photos pour vous.

J’adorais tripoter son petit cul bien ferme, insérer mon pouce dans ses orifices souples et y glisser ma queue par intermittence. Ah que les jeunes nous font oublier nos propres corps !

Nous nous revoyons depuis régulièrement sur Paris, nos parties de jambes en l’air sont toujours stratosphériques. Elle vient me rejoindre le week-end prochain avec une surprise dont elle m’a envoyée la photo : sa cousine, nue, offerte … elle veut que je les baise toutes les deux … je vais sans doute rendre les armes …

En tout cas, Lyon est vraiment la capitale de la gaule !

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