Une semaine sans ma femme
25 novembre 2020Mike, 55 ans, s’octroie une semaine chaque année loin de sa femme où tout lui est permis. Il rencontre une belle italienne qui va pimenter son séjour.
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Même si je suis marié et en couple depuis 20 ans (et je tiens tout de suite à le préciser, j’aime terriblement ma femme), nous nous accordons chaque année une semaine de vacances en solo où l’un et l’autre avons le droit de faire absolument tout ce que nous voulons. Tant que nous nous protégeons convenablement, cela va de soi !
Pour ma part, je suis parti près de Marseille. Je connaissais un couple avec qui je travaillais régulièrement depuis Paris, c’était des fournisseurs de produits de grande qualité dans la restauration, et j’avais très envie de leur rendre visite.
J’avais pris une petite chambre d’hôtel près du Vieux Port et je leur avais demandé de me servir de guide touristique pour me faire découvrir la région. Nous avons fait une belle balade, près de la côte mais aussi un peu dans les terres, et ensuite j’ai été invité à plusieurs de leurs soirées qu’ils organisaient dans leur belle villa.
Alors que leurs invités étaient généralement des couples quinquagénaires assez coincés, bien que fort sympathiques et éduqués, il a fallu que j’attende l’avant-dernier soir pour faire « enfin » la rencontre coquine qui allait doper mon séjour.
C’était une étrangère qu’ils hébergeaient pour une soirée (leur villa était vraiment très grande et il leur arrivait de louer une chambre de temps à autre). Elle s’appelait Sylvia, elle était italienne et elle venait quelques jours en France, tous les mois, pour apprendre notre langue.
Le prétexte parfait pour entamer une discussion endiablée avec elle sur tous les secrets de la langue française. En plus ça tombait bien, j’étais un féru de littérature et je lui conseillais des livres faciles à lire dans notre langue et qui apportaient une vraie réflexion philosophique.
Elle s’avérait être aussi belle qu’intelligente, et la discussion que nous avions ensemble était très plaisante, malgré la barrière de la langue.
Une fois que minuit a retenti, je lui ai demandé si elle ne voulait pas poursuivre son séjour d’une journée et venir dormir à la maison le lendemain. Elle a accepté avec un sourire mutin. Je savais que le tour était joué.
À 20 h le lendemain, elle a tapé à la porte de ma chambre. Elle portait un petit blouson rose clair, ce qui mettait en valeur la blondeur de ses cheveux. Nous avons passé une soirée mémorable.
Elle s’est tout de suite ruée sur ma bite, je ne sais pas trop pourquoi. Elle la léchait avec une envie folle, comme si elle n’en avait pas goûté depuis un bon bout de temps. Je l’ai ensuite prise en missionnaire, en relevant bien ses jambes au-dessus de sa tête pour mettre à découvert son joli petit trou.
Elle avait un corps de déesse, souple à souhait. On pouvait en faire ce que l’on en voulait. Elle criait quelques jurons en italien (ou peut-être était-ce des insultes, mais je n’y comprenais rien…), et je trouvais cela à la fois doux et excitant.
J’ai fini par jouir sur son adorable petit ventre bronzé, faisant jouer le contraste de la pâleur de mon sperme sur l’épice de sa peau. C’était magnifique, on aurait cru à une œuvre d’art. Je vous ai même joint les photos pour que vous puissiez vous en rendre compte par vous-même.
J’ai hâte de voir la tête de ma femme quand elle découvrira une partie de mon séjour à travers les pages de votre magazine…