Mes délicieuses vacances de sexe à Tunis

Ma passion dans la vie ? Séduire des femmes maghrébines et mariées. Je passe mes vacances au Maroc, en Tunisie et je chasse. Mission impossible ? Pas pour un Européen mignon ! Voici mon histoire de sexe.

Soumia, c’était au début du printemps. Un week-end, je me suis envolé pour Tunis, la capitale est moderne et les “gazelles”, tout autant. J’étais dans le bus pour mon hôtel et une belle brune s’est installée à côté de moi. Nous avons discuté sur le trajet et, avant de descendre, je lui ai glissé mon téléphone et mon adresse en ville en lui disant qu’on pouvait s’amuser un peu ensemble.

Je n’ai pas eu long à attendre, quelques heures plus tard, elle frappait à ma porte, elle était en djellaba sobre, qu’elle a laissé tomber à terre sitôt dans l’intimité de la chambre. Seul un string corail pétant cachait son sexe, quant à ses gros seins, ils étaient entièrement offerts à ma vue et à mes caresses. Je l’ai embrassée langoureusement et je me suis mis à la peloter de partout. Ses hanches étaient larges, sa peau douce comme une pêche bien mûre, ses chairs étaient souples et ses nibards valaient vraiment le détour. J’ai glissé une main dans sa culotte, je ne m’étais pas trompé, la dame était toute mouillée, ça perlait sur mes doigts et ça embaumait le désir féminin.

La petite coquine Soumia

Les femmes arabes ont un feu sacré lorsqu’il s’agit de s’envoyer en l’air, Soumia s’est agenouillée devant moi, elle a saisi ma queue comme un objet fragile, l’a embrassée de partout, prenant déjà soin de me gâter avec sa langue. Elle savait y faire, me pipant tout en me caressant les burnes, tout en effleurements, elle n’a rien dit quand elle m’a vu commencer à prendre des photos. Ma collection est importante et j’aime avoir le visage de mes conquêtes gravé sur une carte mémoire. Elle a été surprise par mon pubis rasé, le sien était totalement épilé, ça sentait même la cire, elle avait dû se faire belle exprès pour me rejoindre. Sensible à l’attention, je lui ai ôté sa petite culotte et je lui ai fait minette pendant un bon moment. Elle avait une mouille blanche, pareille à de la sève de figuier, qui coulait dans ma gorge, douce et légère.

J’ai taquiné son clitoris, qu’elle avait très développé. à chaque coup de langue, elle tressaillait, comme parcourue par un arc électrique. J’ai mis deux doigts dans sa large fente, deux autres dans son anus et je l’ai chignolée ainsi tout en la léchant jusqu’à ce qu’ellejouisse en criant des trucs cochons en arabe.

Les positions imaginables et sensuelles

Elle m’a alors enfilé une capote et s’est offerte à moi en levrette. Ce derrière ! Les fesses amples, juste ce qu’il fallait, les reins bien cambrés, elle m’a donné l’accès à tous ses secrets. Ses fragrances intimes étaient un vrai délice, j’ai plongé ma queue dans le fourneau laiteux, sa crème éclaboussait mon mandrin et lui nappait la raie du cul, j’étais dans l’onctuosité de sa chatte, fabuleuse sensation d’enrobement et de cocon bien serré autour de mon pieu. Soumia exultait et, de sa voix chaude, m’encourageait à la baiser de plus en plus fort, à la défoncer dans les règles tout en me disant comme ma bite était bonne. Sa fente aussi était bonne, elle me l’a proposée dans toutes les positions imaginables, les cuisses bien relevées afin que je puisse m’enfoncer le plus possible en elle, en amazone farouche, m’enjambant pour me chevaucher comme une sauvage, ses belles loches se balançaient de part et d’autre de son torse. Elle était excitée telle une folle, mais je dois avouer que cette femme savait communiquer sa libido hors du commun. Elle se jetait sur mon membre qu’elle suçait à mort, elle me léchait les couilles, s’aventurant jusqu’à mon sillon pour pointer l’extrémité de sa langue sur mon anus tout en me branlant délicieusement et elle se remettait sur le dos pour que je la possède de nouveau. Ayant bien compris que j’étais fan de sa poitrine, elle jouait avec ses deux beaux globes, se pinçant les bouts, me prenant le visage dans sa vallée sensuelle et m’offrant ses aréoles brunes à téter.

Soumia était incontrôlable, plus elle jouissait, plus elle en voulait, ma capote a même fini par se déchirer, elle m’en a déroulé une nouvelle avec sa bouche pour une dernière saillie. Son ultime orgasme a été fracassant, tout son corps s’est mis à trembler et elle m’a attiré contre elle pour me rouler une pelle tout en astiquant ma queue de plus en plus vite. J’ai tenu bon jusqu’à ce qu’elle ouvre ses cuisses et se doigte en écartant grand ses nymphes, une succion fatale sur mon gland rouge et gonflé et j’ai éjaculé tout mon foutre en la regardant avaler mes jets puissants.

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