Mon prof de math m’a initiée au sexe

La rédaction 11 novembre 2021

Lorine, une redoublante qui vient de fêter ses 18 ans n’a qu’une hâte : aller à l’université pour connaître ses premières aventures sexuelles avec des étudiants. Elle fera ses gammes auprès de Max, son professeur de mathématiques à domicile, dont les talents pédagogiques s’étendent bien au-delà des connaissances scolaires…

Je ne comprenais rien aux mathématiques ! J’avais déjà raté mon bac une fois à cause de cette matière difficile, et maintenant que je venais de dépasser les dix-huit ans, il était hors de question que je me prenne un nouveau mur : j’avais assez ­perdu de temps et la vie étudiante m’attendait à bras ouverts.

Aussi, j’ai pris le taureau par les cornes et je me suis payée, avec mon argent de poche, un prof particulier qui venait une fois par semaine me donner un coup de pouce dans mes révisions à l’approche de l’examen final.

Je dois bien vous l’avouer, il ne m’a pas donné qu’un coup de pouce.

C’était un jeune étudiant, Max, brun, super mignon, qui passait sa semaine de cours dans un internat d’une grande école d’ingénieurs à Paris et rentrait le week-end chez ses parents, près de chez moi, en province. Il venait me rendre visite tous les samedis matin pour arrondir ses fins de mois et payer ses sorties.

Quand je le questionnais un peu à ce sujet, il me parlait de ses inscriptions à différentes activités périscolaires – comme les échecs, (sic !) – mais également de ses virées en boîte de nuit avec sa bande de potes.

Ses digressions étaient rares et il revenait tout le temps aux maths, mais j’ai quand même pu glaner quelques infos intéressantes : il était célibataire, il n’était plus puceau et baisait régulièrement avec des filles différentes. Cet homme d’expérience, et presque de mon âge, a évidemment alimenté mes rêves érotiques durant de longues semaines.

Et alors que, au bout de la cinquième semaine à étudier, nous allions attaquer le chapitre sur les suites, j’ai décidé qu’il serait également mon initiateur sexuel.

Il fallait que je sois éduquée avant de rentrer à l’université, histoire de ne pas paraître trop cruche lors de mes premières fois avec des garçons. Alors ce samedi, avant qu’il n’arrive, j’ai choisi une petite chemise à carreaux que j’ai nouée au-dessus de mon nombril et un pantalon qui laissait apparaître mon string. Si avec ça, le message n’était pas clair…

Quand il est entré dans ma chambre, j’ai attendu que nous ayons commencé un exercice avant de me retourner vers lui et de l’embrasser direct sur la bouche.

Pas déstabilisé pour deux sous, il a abandonné son livre et son stylo pour dénouer tout doucement le laçage de mon chemisier et dévoiler mes petits tétons et mes seins naissants.

Sans me quitter des yeux, avec assurance, il les a caressés de ses deux mains puissantes. Je ne suis pas sûre de trouver les mots pour exprimer le feu qui brûlait alors en moi.

Max me touchait en sachant où il s’aventurait, comme s’il avait la cartographie de mes zones érogènes en tête, avec une expertise indéniable.

Chaque geste était juste, mesuré. Il m’a ensuite retournée sur le bureau, a retiré mon pantalon blanc d’une main sûre. J’avais peur qu’il me donne une grosse fessée parce que je n’avais pas été sage, mais à la place, il a juste inspecté mon intimité, du sillon de mes fesses, jusqu’à la pointe de ma fente bien épilée, laissant traîner la pulpe de ses doigts autour de mes deux trous.

J’étais encore vierge (plus pour longtemps !) et j’étais ravie qu’il prenne le temps de me caresser, de me palper, avant de me dépuceler.

Mes coudes se sont appuyés plus fort sur mon bureau froid et lisse pour offrir mieux encore ma croupe à son regard. Je me sentais comme une petite chose, une poupée, un formidable jouet, qui était laissé à sa libre manipulation.

Quand il eut fini de bien inspecter l’objet de ses désirs, il m’a retournée et s’est penché vers ma jolie petite fente. Il m’a léché la vulve, dans de grands lapements bien appuyés.

C’était doux, moelleux, humide. Je m’étais déjà masturbée auparavant, en pensant à des trucs cochons, mais jamais ne n’avais ressenti l’agréable sensation d’un organe mou contre mon sexe.

J’ai passé ma main dans ses cheveux souples appuyant un peu plus sa tête contre mes plis et replis.

J’étais déjà au nirvana quand, hélas, sa langue a quitté mon sexe pour remonter vers ma bouche en demandant « Tu as déjà sucé une bite ? Tu sais comment y faire ? »

Je lui ai fait de grands « non » de la tête, mais j’avais hâte qu’il m’apprenne. Il m’a fait mettre à genoux, face à lui, et a retiré son jean. Sa bite, longue, fine, totalement épilée, me faisait maintenant face. Jamais je n’avais vu une queue de si près et je ne pensais pas que l’organe masculin pouvait être aussi gros et long.

Je me suis demandé si ça allait vraiment rentrer en moi. Mais il ne fallait pas que je brûle les étapes : d’abord je me devais de le sucer bien profondément.

Il m’a expliqué comment m’y prendre, comment recouvrir mes dents de mes lèvres pour ne pas lui faire mal, comment agacer son gland de la pointe de ma langue pour faire monter l’excitation, comment l’empoigner sur la hampe, et gesticuler de haut en bas. Il fallait aussi que je pense à bien aligner ma gorge avec sa queue si je voulais l’nfoncer le plus loin possible. Quelque part, c’était assez technique, mais surtout bien plus agréable que les mathématiques.

J’ai essayé de suivre ses conseils à la lettre, c’était un très bon professeur, les gestes me venaient assez naturellement, si bien qu’au bout d’un moment j’ai arrêté de penser à tout ce qu’il m’avait dit de faire pour me laisser guider par mon envie.

Ma bouche glissait sur sa peau muée par mon propre désir, et c’est à ce moment-là que j’ai compris que j’étais vraiment performante.

Je l’ai regardé droit dans les yeux et je voyais sur son visage qu’il s’abandonnait totalement aux vagues de plaisir qui le submergeaient.

Y’a pas à dire : la pipe, ça s’apprend assez facilement. Sa queue était vivante, elle palpitait sous mes doigts, il était temps de passer à la suite des travaux pratiques.

Nous nous sommes relevés et il m’a proposé de m’installer à genoux sur ma chaise de bureau, le buste appuyé contre le dossier. Ça y’est, j’allais devenir une vraie femme, je le sentais. Max, voyant que je m’étais crispée, m’a chuchoté tendrement à l’oreille : « Détends-toi. Si ça ne va pas, dis-le moi, tout simplement.

Le sexe, ça doit être du plaisir, rien de plus. Si ça fait mal, on arrête. » J’ai alors senti son gland, épais, caresser l’entrée de mon petit vagin et commencer, tout doucement à s’y enfoncer. Autant vous l’avouer, c’était très bon. Et je ne m’y attendais pas !

Il a pris possession de mon sexe, comme ça, avec une grande douceur, avant de me proposer, si je ne voulais pas abîmer mes jolis petits genoux, de nous allonger sur le tapis.

Il a retiré sa bite dans un « plop » sonore et j’ai constaté que des liquides gluants s’échappaient de ma chatte. « C’est normal ça ? T’as pas joui en moi quand même ? »

Max s’est mis un rire et m’a expliqué « Non, ça c’est juste ta lubrification, chérie. »

J’ai trempé mes doigts à l’intérieur de ma cave et les ai ressortis entièrement imbibés de fluides. J’ai joué avec les filaments sur mes doigts et les ai passés près de mon nez ; il avait raison, ça sentait un peu la mer.

Allongée sur le sol, il m’a fait un câlin, en cuillère, puis m’a écarté les jambes pour me baiser, bien profondément. J’avais toujours un peu peur qu’il éjacule en moi, mais je me devais de lui faire confiance. Après tout, il était étudiant, et avait d’autres chats (et chattes !) à fouetter que de s’occuper d’une môme.

J’essayais alors de me concentrer sur les sensations totalement nouvelles que je ressentais au plus profond de moi. Mais le plaisir était plus puissant et faisait divaguer mon esprit. C’était comme un feu puissant qui s’éveillait pour la première fois dans mon ventre.

Max s’est ensuite assis sur la méridienne « Viens, monte sur moi, on va tester une autre position, tu verras, les sensations seront différentes ! » J’étais ravie que pour cette première fois il me fasse visiter le kamasutra.

Son éducation était des plus complètes. Je me suis donc empalée sur lui, les jambes bien écartées, et je suis montée et descendue sur sa queue, comme s’il s’agissait d’un manège.

C’était carrément bon, et il avait à nouveau raison, la pénétration était bien plus profonde dans cette position.

Max m’aidait dans mes mouvements en me retenant par les cuisses, puis, au bout de quelques minutes, j’ai vu son front rougir, la veine de sa tempe se mettre à palpiter.

Je me suis vite retirée et me suis agenouillée face à lui, en ne sachant trop quoi faire. Il m’a demandé de le terminer en le branlant et il a déchargé tout son foutre sur ma figure.

Du bout de ma langue, je suis allée chercher une petite goutte de sperme déposée au coin de mes lèvres, pour enfin savoir : c’était salé, un peu gluant, mais ça pouvait se boire tranquille.

Voilà, j’étais prête pour la vie étudiante, j’avais fait mes armes ! Max a été cool, il m’a offert un cours gratuit pour réviser plus sérieusement, la prochaine fois.

À peine était-il parti que j’ai répété toute seule les différentes pratiques dans mon lit, revisitant les positions, les mouvements de succion avec mes doigts et les allers-retours de mon bassin.

J’avais hâte de trouver un petit copain avec qui me lancer dans l’aventure après le bac !

   
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