O mon bateau…..
19 octobre 2017Luc aime son métier et on le comprend ! L’été, il navigue sur les eaux d’un grand lac pour y conduire des touristes en quête de découverte. Parfois, lorsque la chance lui sourit, la découverte des corps prend le pas sur celle des paysages environnants…
Il était écrit sur sa pancarte « promenade de rêve » et je dois avouer que pour le moment la promesse était tenue. J’étais une simple touriste et pour m’en offrir plein la vue, Luc le skipper a gentiment décidé de doubler mon temps de promenade en hors-bord car il n’avait que très peu de clients en cette saison.
Je ne sais pas si c’est la vitesse, l’air marin, son torse doré… mais le tout m’a terriblement excitée.
Il avait cependant l’air plus intéressé par l’eau que par mon petit corps en maillot de bain. Son attitude était très professionnelle et si j’avais pensé pouvoir me le faire facilement, je me suis vite rendu compte que ce n’était pas dans la poche.
Je me suis rapprochée de lui en silence, collant mes petits seins sur son torse musclé. « Alors, pas trop difficile à manœuvrer ? » lui ai-je demandé en prenant soin de chuchoter à son oreille.
Il était tellement concentré qu’il n’osait même pas me répondre, mais j’avais bien vu à la bosse qui se dessinait dans son petit short de bain bleu clair qu’il ne restait pas indifférent à mes charmes. Je me suis alors assise sur ses genoux, dans un élan de courage. « Qu’est-ce que vous faites, enfin ? Je ne peux pas diriger le bateau si vous me cachez la vue ! » s’est-il écrié, feignant la colère.
Mais moi, je voyais bien qu’il ne souhaitait qu’une chose : que l’on s’arrête et que l’on puisse baiser dignement. « Coupe le moteur, et je te suce » lui ai-je soufflé à l’oreille, encore plus chaudasse que Marylin lors de son célèbre « Happy Birthday » au président Kennedy.
Je n’ai pas eu besoin de le dire deux fois.
Luc s’est stoppé au milieu du lac, pour éviter que des passants ne nous aperçoivent depuis la terre et m’a embrassé fougueusement. Il a passé sa main sur ma taille et m’a enfoncé sa langue bien au fond de la bouche.
Il avait un peu de sel sur la langue, ça lui donnait un petit goût assez plaisant.
Je me demandais si ça me ferait le même effet avec sa bite ? Je suis allée la chercher au fin fond de son caleçon et l’ai avalée d’un coup.
Miam ! Elle avait le goût de Bretzel, un goût tout chaud comme une pièce de boulangerie qui sort à peine du four. J’ai massé ses couilles avec entrain, elles étaient bien pleines, avec une tenue absolument improbable. On aurait dit qu’elles avaient été confectionnées en plastique.
Pendant que je lui faisais cette gentille fellation, Luc s’est pris à tirer sur l’élastique de mon maillot, me créant un string artificiel. Je dois avouer que j’étais très gênée de ce qu’il faisait. Je ne suis pas de nature très exhibitionniste, et je savais que de cette façon tous les passants pouvaient mater mon petit cul.
Il a tapoté mes fesses comme si j’étais une brave bête et s’est pris d’aller glisser un doigt dans ma fente à la recherche de mon petit trou.
Je priais tous les Dieux pour que je sois bien propre à cet endroit-là ; il n’existe rien de pire qu’un petit cul sale pour vous refroidir une ambiance. Luc a eu l’air de le trouver à sa convenance puisqu’il l’a enfoncé dans ma cavité sur quelques centimètres. J’ai redoublé de plus belle ma fellation, ça me rendait complètement folle.
Je suis une dingue de pratique anale.
J’aime que l’on me démonte le cul, que l’on s’amuse avec ma rosette, que l’on titille ma paroi. Je ne sais pas pourquoi j’aime ça à ce point, la plupart des filles de mon entourage trouvent cela soit sale, soit très douloureux. Elles trouvent même, pour certaines, que cela donne une image très dégradante de la femme. Moi, je m’en fous totalement. La seule chose que je sais, c’est que je jouis bien plus facilement par cet orifice que par n’importe lequel, même vaginalement.
Je n’ai d’ailleurs jamais été une grande adepte du « vagin ». Je trouve ce conduit très glissant, et les sensations n’en sont que plus réduites.
Parfois même, j’ai l’impression que le garçon n’est pas rentré, même si celui-ci a une grosse bite, ce qui est assez fâcheux, vous en conviendrez.
Luc a très certainement dû deviner mon engouement pour cette pratique et il s’est automatiquement planté dans mon cul dès que je me suis retournée.
Pas de cunni, pas de masturbation, pas de massage – hop – dans le cul, direct.
Et c’était plutôt bien joué ! Il n’y a que ça qui peut étancher ma soif de sexe, me faire planer et m’envoyer direct au septième ciel.
Comme la position que j’avais choisie n’était pas très pratique, nous en avons essayé une autre, à l’arrière du hors-bord… beaucoup plus dangereuse mais terriblement excitante. Nous savions l’un comme l’autre que nous pouvions tomber à l’eau à n’importe quel moment. Luc a décidé de me serrer fort contre lui de façon à ce que je ne bouge pas trop et il m’a limé le cul.
Il a levé bien haut ma jambe de façon à s’enfoncer en moi le plus loin possible et il m’a enculée. Dévoilant par la même occasion mes petits seins hors de mon haut de maillot de bain. J’étais totalement à sa merci. Et surtout, j’étais à nouveau totalement exhibée, en pleine nature. Tant pis ! J’ai fermé les yeux pour éviter d’être déconcentrée par mon environnement et je me suis focalisée sur mon plaisir.
Luc avait l’air de savoir exactement sur quels boutons appuyer, comment fonctionnait mon corps, comment je réagissais. Il s’occupait d’abord bien de mon cul, en naviguant au plus loin dans ses profondeurs, puis effleurait d’autres parties de mon anatomie ; ma peau devenait petit à petit une zone érogène gigantesque. Il s’est pris à me pincer un téton ; le droit d’abord, puis le gauche.
Il le faisait tendrement, comme s’il manipulait des petits oisillons tout juste sortis du nid. « Ça te plaît de sentir que je te tripote ? Ça te plaît de savoir que ma queue est bien enfoncée dans ton cul et que mes mains baladeuses n’ont aucune retenue sur ton petit corps tout ferme ? »
Luc avait l’air d’être un adepte du dirty talk, vous savez, ces mots cochons qui n’existent que lorsque vous faites l’amour avec quelqu’un et qui vous semblent horribles à entendre dans n’importe quelle autre circonstance.
Je répondais à ces questions par des petits cris enthousiastes et des gémissements bien longs. Tant pis si on m’entendait depuis le rivage, je priais intérieurement pour que l’on s’imagine que mes cris étaient ceux d’un animal marin.
Luc en rajoutait de plus belle, devinant que cela me plaisait : « Écarte bien ton petit trou que je puisse te pilonner à ma guise.
Sens comme je te possède de tout mon long, de tous mes centimètres. Imagine mon gland taper sur tes intestins et essayer de remuer tes chairs » Je ne pouvais m’empêcher de hurler à la mort. Il y allait très fort et j’avais vraiment peur de tomber. D’ailleurs, Luc a dû s’en apercevoir.
« Alors ma belle, on a peur de finir dans le lac ? Peur de se jeter à l’eau ? Mais tu sais, si tu cherches le grand frisson, je peux te proposer une position encore plus surréaliste, encore plus périlleuse. »
Il s’allongea à l’arrière du bateau et me somma de lui monter dessus. J’avais mes pieds qui se tenaient maladroitement à ses genoux et il me retenait par les fesses. Je savais qu’un seul faux mouvement de sa part nous emmènerait dans les profondeurs abyssales de l’eau.
Cette position m’obligeait aussi à tenir ma chatte bien ouverte aux yeux des passants. À leur faire profiter du rose foncé de mes parties les plus intimes. À nouveau, je ressentais une gêne que je n’avais que rarement eu l’occasion de subir dans ma vie, celle d’être exposée en plein soleil aux yeux de tous. Je pense que n’importe qui doté d’une longue-vue aurait pu s’offrir une séance de masturbation mythique en nous regardant faire. Rien était caché.
Les coups de buttoir de Luc étaient encore plus profonds dans cette position-là et je sentais qu’il fallait que je caresse mon clitoris coûte que coûte pour atténuer la douleur.
J’ai essayé de me libérer une main, en restant en équilibre sur l’autre mais c’était une très mauvaise idée. Nous avons roulé tous les deux l’un sur l’autre à l’intérieur du bateau.
J’ai explosé de rire ! Nous étions vraiment ridicules à tenter des pratiques acrobatiques en plein milieu du lac.
Qui plus est, il n’y avait même pas de jury pour nous mettre une bonne ou une mauvaise note. Vu la gamelle que l’on venait de se prendre, pas étonnant si l’on avait écopé d’un zéro absolu.
Luc m’a gentiment traité de « gourde maladroite », ce qui lui a valu un regard assassin de ma part, et m’a demandé si je souhaitais continuer. Évidemment, je voulais aller au bout ! Ce n’est pas mon style de laisser les choses à moitié faites et de ne pas terminer une tâche dans laquelle je me suis engagée.
Je me suis collé la tête contre la coque blanche et j’ai bien écarté mon cul. « Vas-y, enfonce-toi dans mon cul, il est tout à toi ! » lui ai-je dit sûre de moi.
Luc a dû tout de même se masturber un peu pour bien bander, notre chute un peu brutale lui avait fait perdre son érection. Il ne lui fallut que quelques minutes pour que son gros dard ne retrouve sa forme la plus expressive.
Il commença à m’enculer à nouveau avant de me dire : « Tu sais quoi ? Je sais que tu aurais raffolé de mon sperme dans ton cul, mais non, je ne vais pas te donner ce que tu souhaites.
C’est dans ta bouche que je vais me soulager. Et tu conserveras mon sperme dans ton haleine pour le reste de la promenade. »
Aussitôt dit, aussitôt fait.
Luc m’a attrapée par les cheveux et a enfourné son gros chibre en pleine bouche. Cela avait un goût très particulier, celui de mon cul humide.
C’était un peu dégueulasse mais je me doutais que cela l’excitait particulièrement.
Il était à deux doigts de l’explosion et il ne m’a pas fallu beaucoup de travail pour arriver à le faire jouir sur ma langue.
De grosses gouttes de foutre essayaient de s’échapper de ma bouche mais je les ai vite rattrapées pour bien tout avaler.
Luc avait raison, j’ai gardé le goût de sa liqueur durant le reste de la promenade.
Et je peux vous dire que mélangé avec le sel des embruns qui se colle sur vos lèvres, c’est vraiment une saveur délicieuse !
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