Douce convalescence
12 septembre 2019Malek vient de subir une petite intervention chirurgicale et lorsque vient l’heure de la toilette quotidienne, il découvre une superbe petite infirmière pour le moins dévouée qui va s’assurer qu’il soit propre de partout, mais alors vraiment de partout !
Je suis une jeune infirmière fraîchement diplômée et je viens d’intégrer un nouvel hôpital où je cherche encore un peu mes marques. Je dois encore travailler sur certains points. J’ai notamment du mal à ne pas m’attacher à chaque patient, à ne pas vouloir écouter sa vie dans les moindres détails, à ne pas vouloir partager cette vie le temps de quelques jours. Je suis pleine d’empathie…
Mais surtout, l’autre jour, j’ai complètement outrepassé mes prérogatives. Il y avait ce patient, Malek, un jeune homme maghrébin qui était alité pour quelques jours après une opération – il s’était fait mal en faisant du sport et s’était abîmé les genoux. Il avait même du mal à bouger. J’étais affectée à sa chambre, je devais prendre ses constantes, observer l’évolution de son état et veiller sur lui.
Je le trouvais très sexy, avec son corps musclé de sportif, ses cheveux rasés sur le côté et son sourire indéfectible, même quand il avait mal.
Nous nous sommes tout de suite plu tous les deux.
Je passais le voir au moindre prétexte et nous plaisantions ensemble sur les risques des sports extrêmes. Quand je venais lui rendre visite, je prenais soin de déboutonner un peu ma blouse d’infirmière, je détachais mes cheveux et je mettais une jupe en-dessous de mon vêtement de travail pour qu’il puisse admirer mes jambes.
Un matin, l’aide-soignante n’était pas disponible et je me suis alors proposée de l’aider à faire sa toilette. Il a accepté, l’air un peu gêné.C’était encore compliqué pour lui de se lever pour prendre une douche tout seul, ses genoux avaient été trop amochés.
Je devais donc l’aider à se nettoyer sur son lit avec une bassine et un linge humide. Je suis venue avec mes ustensiles en souriant et en faisant quelques blagues pour le mettre à l’aise.
Je me sentais à mon avantage dans ma petite blouse qui descendait à mi-cuisses, je sentais qu’il regardait mes formes moulées dans le vêtement. Je me suis agenouillée au pied de son lit et j’ai trempé le linge dans la bassine.
Je l’ai essoré et j’ai baissé la couverture. Il était déjà en caleçon dans son lit et j’ai pu admirer ses tablettes de chocolat, son ventre bien dessiné, ses belles épaules. C’est un peu tremblante et émue que j’ai commencé à promener le linge humide sur ses bras et son torse qui m’hypnotisaient. J’étais toute en émoi de voir ce corps sous mes mains s’en remettre à mes soins, en confiance, avec cette peau douce et délicate parsemée d’une légère toison. J’ai lentement relevé les yeux vers son visage alors que j’étais en train de le laver, penchée sur son lit. Mes yeux ont plongé dans les siens et j’y ai vu le même désir qui m’animait.
Il a attrapé ma main qui était suspendue en l’air pour la poser sur lui. Il l’a dirigée doucement sur son corps sans me lâcher du regard et l’a posée sur son sexe qui était en érection.
J’ai d’abord eu un mouvement de recul, puis la sensation de ce sexe dressé m’a tellement surprise et attirée, que j’ai baissé moi-même son caleçon pour le découvrir entièrement. Le mât de chair était exposé à ma vue, bien droit et fier.
On peut dire que Malek était en pleine santé, malgré sa convalescence !
Pour poursuivre le petit jeu, je me suis mise à le toucher, pas directement avec ma main, mais avec le linge humide que je promenais sur sa bite comme pour une toilette classique, sauf que cette fois je m’attardais évidemment sur cette belle queue qui ne demandait qu’à se faire chouchouter et qui tressaillait à chacun de mes passages. De temps à autre, je m’éloignais de son membre pour passer l’éponge sur son torse, ses cuisses et ses épaules, dont je pouvais alors admirer chaque centimètre carré à ma guise en ayant un prétexte pour mater.
À chaque fois que je le frôlais, son membre faisait un petit mouvement de réflexe en pointant de plus en plus vers le ciel. Sa bite était tellement belle, droite et fière que je n’ai pas pu résister longtemps. Je me suis complètement penchée sur lui pour prendre cette belle queue dans ma bouche.
Qu’est-ce qu’elle était bonne ! Un vrai bonheur en bouche comme sous mes doigts.
Là encore, elle frémissait à chaque fois que je la faisais languir en cessant quelques secondes ma pipe, avant de redoubler de plus belle en l’avalant, en suçant son gland, en passant ma paume à la suite de ma langue, en prenant sa tige à pleines mains, enfin, ma timidité s’étant envolée sous la ferveur de mon désir.
Malek était entièrement nu dans son lit de patient, pendant que j’étais à son chevet, à l’embrasser sur la bouche désormais, tandis que ma main branlait délicatement son membre, serrait sa base, s’attardait sur ses couilles, branlait son gourdin et caressait son bout sans discontinuer.
J’étais une infirmière bien intentionnée !
Tout en le faisant, je me disais que j’avais franchi la ligne rouge, que si quelqu’un entrait, j’étais grillée et qu’on ne me redonnerait plus jamais de boulot ! Et en même temps, c’était tellement bon de céder à ce caprice, à ce fantasme de l’infirmière coquine que j’avais décelé dans le regard de mon beau patient ! Il a tendu les mains vers moi et, lentement, m’a aidée à déboutonner ma blouse pour que je finisse moi aussi complètement nue. Il m’a invitée à grimper sur son lit et je me suis retrouvée à poil sur le matelas, pendant que lui s’installait sur le rebord du lit, malgré ses difficultés, pour venir me lécher la chatte.
J’étais étendue, la tête renversée en arrière, et lui me doigtait d’une main et réveillait mon clitoris de l’autre.
Quand je gémissais, il plongeait sa langue dans mon sexe et léchouillait le clito avec application.
« Qu’est-ce que t’es bonne, tu es la meilleure infirmière du monde », me complimentait-il avec humour. Il admirait mon corps dans la lumière, trempant sa langue ou son doigt dans mon minou, titillant mon clito comme un pro et s’arrêtant à chaque fois que j’étais prête à jouir pour me faire languir le plus possible.
Il me rendait folle ! J’avais envie de venir sous ses doigts.
Mais c’est sa queue qu’il a fini par m’enfoncer.
Je l’ai aidé à remonter dans le lit et il s’est calé dans mon dos. D’une main, il tenait ma cuisse fermement pour qu’il ait accès à mon sexe et que mon entrée soit bien ouverte à ses assauts. Son autre bras entourait mes épaules et sa main venait caresser mon téton qu’il agaçait comme si c’était un clitoris. J’étais tellement excitée qu’il n’a eu qu’à pousser sa bite légèrement pour qu’elle vienne directement se blottir dans mon vagin.
Enfin je le sentais en moi ! Et quelle douce sensation !
Sa belle érection ravissait tout mon entrejambe. Malek donnait des coups de reins secs pour mieux me pénétrer et chacun de ses sursauts provoquait une décharge électrique entre nos sexes qui s’accouplaient de la plus agréable des façons. J’adorais être prise comme ça, car j’ai à la fois le contact du corps de l’autre près de moi qui me presse, qui colle à mon cul, sa main sur mes seins, sa bouche sur la mienne si je tourne le visage vers lui, et en même temps j’ai moi-même accès à mon sexe et je peux me caresser à ma guise.
La langue de Malek explorait ma bouche en même temps que son sexe visitait mes tréfonds et ravissait mon creux érotique…
Je l’accompagnais en me caressant la minette pendant qu’il me sautait, excitant mon clito à mon tour tout en recevant les coups de boutoir qui me faisaient lubrifier comme si je salivais du trou, et mes propres caresses répondaient à ses coups de queue, en répercutant le plaisir dans tout mon sexe…
Malek tenait mes hanches, mes fesses, mon sein de son autre main. Il me faisait sienne pendant que je me laissais aller à ses caresses et à ses coups de bite. Je ne le voyais plus du tout comme un malade ! Ses problèmes de genoux ne semblaient pas le gêner pour mouvoir son corps et faire du sexe.
Sa langue pénétrait ma bouche de plus en plus intensément en même temps que sa queue fouillait ma chatte de manière très agitée. De façon simultanée, je recevais la douceur de sa chair en moi et l’humidité et la gourmandise de sa langue qui cherchait la mienne.
Je pense que le plaisir devait anesthésier sa douleur ou en tout cas son désir pour moi, lui faire oublier tous ses malheurs.
J’espérais vraiment que personne ne nous surprendrait dans une position pareille car c’en serait fini de moi, disparues toutes ces années d’apprentissage pour être à l’écoute des patients ! Je risquais gros, très gros, mais je dois dire que mon plaisir n’en était que décuplé. Après tout, je voyais ce que j’étais en train de faire comme une sorte de soin supplémentaire, d’aide à retrouver une estime de soi, d’aide à se sentir mieux, à booster sa libido, qui est tellement un élément central de la vie… Je me sentais plus que jamais infirmière ! Infirmière telle qu’on la fantasme et telle qu’elle inspire des désirs de se lover dans ses bras pour se sentir bien. Je me sentais pleinement dans mon rôle.
Je me suis redressée sur le lit du malade pour me placer à califourchon sur lui. J’étais toujours étendue à ses côtés sur le matelas, mais l’une de mes jambes l’escaladait pour qu’il puisse me pénétrer dans cette nouvelle position, en face à face.
Je sentais son gros chibre me traverser et me faire du bien sous ce nouvel angle. Malek attrapait encore mieux mes fesses qui bougeaient sur lui.
Nos deux visages essoufflés se regardaient et nos respirations se mêlaient l’une à l’autre. Son propre cul bougeait en même temps que le mien et sa queue n’en explorait que mieux le fond de mon trou, à mesure qu’il donnait des petits coups de reins pour mieux me sauter.
Il écartait mon cul et mes cuisses avec ses mains pour me pénétrer plus à fond et c’était très agréable de me sentir aussi accessible à lui et à ses désirs. Ma chatte était complètement détendue et offerte à sa pénétration.
Mon ventre et mon pubis se frottaient aux siens pendant qu’il me ramonait de l’intérieur. Nous ne faisions qu’un, et peu importe si les draps grattaient un peu ou si le lit grinçait. Nous nous perdions dans ce contact intense entre nos sexes. Ses mains couraient dans mon dos, sur mes épaules, sur mes hanches, et je vivais chaque contact comme une explosion de sensations qui me faisaient un bien fou.
Pour finir, dans un dernier élan de folie, oubliant totalement la douleur, sûrement aidé par les médicaments que le médecin lui avait prescrits, Malek m’a retournée sur le lit et j’ai pu me mettre à genoux, ventre collé au matelas et fesses relevées vers lui, pour qu’il puisse m’enfiler en levrette selon son bon vouloir, claquer mes fesses, punir mon écart professionnel, et baiser ma petite chatte sous cet angle qui lui donnait une vue plongeante sur la chute de mes reins et mes fesses.
Je sentais ses larges paumes tenir fermement mon séant, sa bite qui pointait, toujours plus dure, dans ma fente qui se resserrait, son pubis qui frottait contre mes fesses, et mon corps qui reculait, s’emboîtant parfaitement sur son membre. J’en ressentais chaque mouvement et je percevais les pointes de plaisir au plus profond de mon vagin, quand il tapait bien au fond. Il me baisait tant et si bien que j’ai fini par éclater dans un orgasme bruyant, que j’ai dû retenir en mettant une main sur ma bouche, tandis qu’il se terminait lui-même dans ma chatte humide.
Quelle aventure ! Quel patient robuste ! Épuisé, il s’est endormi en moins de deux minutes et je suis repartie après avoir remis ma blouse blanche, satisfaite de ma visite du matin qui s’était révélée particulièrement altruiste !