Sodomisée par l’ami de mon mari !

La rédaction 1 juillet 2025

Ania, 48 ans, va se faire enculer par Gaël le meilleur ami de son mari, sous ses yeux attendris !

Ania nous fait part de son histoire de sexe amateur avec son mari…et son ami !

Quand Jérémy, mon compagnon, m’a annoncé que Gaël, notre ami et assureur, venait prendre l’apéritif ce soir-là, rien ne pouvait me donner à penser que ce dernier allait me posséder devant mon homme et, même, m’enculer toute la soirée jusqu’à ce que je n’en puisse plus !

S’offrir à deux hommes

Une bière en a appelé une autre et la discussion atrès rapidement vrillé sur le sexe, pas juste des blagues un peu lourdes, non, le ton était aux confidences crues et très cochonnes. Tout y est passé, de mes préférences en termes de positions à mon amour de la sodomie, Jérémy insistant, face au regard incrédule de Gaël, sur ma capacité à jouir du petit trou encore plus fort que par la chatte.

Il a fini par sortir son portable, après avoir obtenu mon approbation, pour exhiber des clichés de mon anus envahi par son pieu, ma moule trempée ainsi que mes seins voluptueux et bandés.

« Mais attends, le mieux c’est qu’elle te les montre ! Tu veux bien lui dévoiler un peu de tes charmes, mon amour ? ».

La question m’a cueillie, je n’avais jamais fait ce genre de choses, mais la situation m’excitait tellement que j’ai senti ma chatte fondre dans ma culotte. J’ai débuté un strip-tease devant un Gaël à la mâchoire tombante et aux yeux exorbités.

Une fois entièrement nue, je me suis assise sur une des chaises de la cuisine, j’ai écarté les jambes et ai commencé à caresser mon sillon brillant de mouille et mon clitoris rendu glissant par l’abondance de ma cyprine. Mes mamelons étaient maintenant bandés à bloc et je me suis mise, sans aucune gêne, à me doigter la chatte et l’anus.

Jérémy a chuchoté quelques mots à l’oreille de notre ami qui s’est timidement approché de moi tandis que mon compagnon entreprenait de nous prendre en photo.

J’étais excitée au-delà du dicible, mon con était gorgé de liqueur odorante et j’ai pris la belle et grosse queue de Gaël en bouche. Après l’avoir régalé d’une pipe profonde et bien baveuse, j’ai entraîné les deux hommes dans notre chambre.

Là, je me suis allongée sur le lit et j’ai tout offert de mon anatomie à ces messieurs, écartant largement les cuisses et me caressant sensuellement, la poitrine, la chatte et, bien sûr, le petit trou.

Dès lors, Gaël s’est montré plus entreprenant, croisant mes chevilles et repliant mes jambes au maximum, cela a eu pour effet immédiat de faire bâiller ma fente et mon œillet savamment épilé.

Florilège de positions

Je n’avais plus qu’une envie, celle de sentir son énorme gourdin m’enculer profondément, je n’ai pas été déçue. À peine son gland entrait-il en contact avec mon muscle serré que je le sentais pousser à mort. Son chibre s’est fiché en moi jusqu’à la garde !

Quel délice de l’éprouver entièrement en moi. La base de sa hampe me distendait l’anus et, de son pouce, il pressait mon clitoris tout en lui imprimant de lents mouvements circulaires. Lorsque mon mari m’a montré une photo de cette scène en gros plan, j’ai été incapable de contenir mon orgasme.

C’est parti comme une fusée, j’ai joui en criant mon plaisir et en contractant mon sphincter autour de l’énorme bite toujours fichée en moi. Le reste de la soirée n’a été qu’un enchaînement de positions aussi folles qu’acrobatiques.

Gaël ne débandait pas et sa belle queue ne donnait aucun signe de faiblesse, il m’a pris le cul d’assaut en missionnaire, en levrette, de temps en temps, il sortait son braquemart de mon orifice pour bien faire voir à Jérémy la dilatation de mon trou, qui ne se refermait plus !

On a fait une petite pause bière et cigarette, histoire de donner un peu de répit à mon anatomie fessière. Les garçons conversaient entre eux, comme si je n’étais pas là, de la manière dont allait poursuivre cette séance de sexe.

Bien loin de me vexer de me laisser ainsi « merchandisée », cela m’a excitée encore plus et je me suis mise à genoux pour sucer leurs deux bites en même temps.

Je jouais avec mes seins, je me touchais en enfonçant mes doigts dans tous mes orifices. Mon homme s’est vidé dans ma bouche. J’ai reçu trois grandes rasades de foutre épais et salé que je me suis régalée à avaler.

Gaël m’a aidée à me relever et m’a sodomisée, penchée sur la table de la cuisine ! J’ai encore pris mon pied par deux fois avec son énorme machin tout au fond des fesses !

Il m’a achevée en m’allongeant sur le plan de travail et en me bouffant la chatte tandis qu’il me fistait d’une main. J’ai giclé et lui ai aspergé tout le visage tant j’ai joui fort.

Il a fini debout, à se branler, attendant, conquérant, que je me prosterne devant lui afin de recueillir sa semence, ce que j’ai fait avec un grand plaisir. Son jus a tapissé mon palais, j’étais heureuse et … morte !

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