La magie du camionneur
11 août 2020Ludivine, 32 ans, s’arrête sur une aire d’autoroute. Elle fait la rencontre d’un beau camionneur qui va lui donner la baise de sa vie.
Hello les amis ! Vous connaissez les fantasmes de baise sur les aires d’autoroute ? Hé bien moi, la fille bien sage, j’ai vécu ça dans la réalité. Laissez-moi tout vous raconter sur cette histoire de sexe.
Il y a six mois, en rentrant d’un week-end dans le Sud, j’en étais à ma 4ème heure de conduite sans pause quand j’ai commencé à piquer du nez. Plutôt que de me planter dans le décor, j’ai choisi de m’arrêter sur une aire d’autoroute et de me dégourdir les jambes. Le faible éclairage et les vieux routiers à la mine patibulaire qui zonaient là m’ont un peu foutu la frousse, quand un jeune homme souriant est venu m’accoster.
« Bonjour, vous avez du feu ? » Le prétexte était vraiment nul, mais j’ai trouvé l’approche mignonne et puis j’étais contente d’avoir de la compagnie sur ce parking glauque. Mon interlocuteur, Joël, avait la trentaine. Un peu rond, des yeux clairs, il m’inspirait confiance avec sa bouille de gamin. Il m’a raconté être en route pour le Nord avec son camion, m’a posé des questions sur ma vie… Pas grand chose à raconter, entre mon boulot d’instit et mes habitudes de grande célibataire.
« C’est pas normal que tu sois seule, belle comme tu es… Beaucoup plus sexy que les filles dans mon camion ! », a-t-il rigolé en m’écoutant me plaindre. Sans trop savoir pourquoi, j’ai rétorqué : « Ah bon ? Tu me les montres ? » Trois minutes plus tard, nous étions dans sa cabine à mater un poster de blonde à forte poitrine. J’ai ricané : « Je ne vois pas ce que tu me trouves, par rapport à elle ! » Joël s’est lentement rapproché de moi et a suivi de son doigt les bords de mon décolleté. « D’abord, tes seins sont vrais ». Puis, il a passé sa main sur mes fesses. « Et puis, tu as un plus beau cul. » Il est remonté vers mon visage et a caressé mes lèvres. « Et surtout, tu as une magnifique bouche, qui me fait très envie… »
BOUTIQUE SEXY – LES SOLDES SONT LÀ
Je me suis sentie glisser à ses pieds. Comme si c’était une autre que moi qui faisait chaque geste, j’ai dézipé son jean et sorti une belle queue à l’odeur enivrante, puis j’ai fermé les yeux pour m’abandonner au plaisir… Tout doucement, j’ai pris son sexe en bouche et j’ai sucé, sucé, à en avoir la langue douloureuse. Combien de temps cela a-t-il duré ? Je n’en sais rien, mais j’entendais Joël pousser de longs gémissements, surtout quand je mordillais délicatement son gland ou que je venais lécher ses bourses pleines.
Après un long moment à pomper son dard parfumé, j’ai réalisé que mon entrejambe était trempée. J’ai regardé mon routier et lui ai dit à voix basse : « Je voudrais que tu me fasses jouir ». Joël, un beau sourire aux lèvres, m’a alors allongée sur le sol et m’a enlevé mes vêtements, puis s’est déshabillé à son tour. Nus, dans la chaleur de la cabine, nous avons contemplé nos corps et pris le temps de nous faire de longues caresses.
Joël s’est attardé sur mon sexe, puis mon cul. Jamais un homme ne m’avait léchée de la sorte : des baisers langoureux, des coups de langue profonds, j’en avais la rondelle toute vibrante de désir. Quand il a commencé à rentrer un doigt dedans, j’ai compris que, pour la première fois, j’allais peut-être me faire enculer… À la fois excitée et nerveuse, j’ai susurré à mon défloreur : « Je n’ai jamais rien fait par là, tu iras doucement ? »
Joël s’est contenté de m’embrasser très gentiment, tout en enfonçant son doigt plus en avant. De plus en plus détendue, je me suis mise à onduler pour sentir son index plus loin en moi. Au bout de quelques minutes, j’ai réalisé que son majeur aussi me pénétrait ! Ce garçon était décidément un magicien… La suite s’est passée comme dans un rêve. C’est en levrette que j’ai reçu la queue du jeune homme, chaque centimètre m’électrisant de plaisir. Quand il a été bien calé, Joël s’est mis à coulisser tout en maintenant fermement mes hanches. J’étais comme au creux d’une vague, me laissant bercer par le mouvement, laissant échapper de longs râles.
Enfin prête à recevoir tout le désir de Joël, j’ai alors imprimé un rythme plus rapide. Il ne s’est pas fait prier : d’un coup, plus de retenue, il s’est mis à me pilonner franchement au point que j’avais du mal à ne pas m’effondrer sous son poids. Comme possédée, je me suis entendue hurler : « Vas-y encule-moi ! »
L’orgasme m’a foudroyée et je suis retombée mollement sur le sol. J’ai senti mon amant se retirer, puis qu’il se branlait sur mon cul encore grand ouvert. Il a finalement déchargé en une longue coulée gluante, éclaboussant mes fesses et mon trou béant. Nous sommes restés lovés dans la cabine deux ou trois heures, à nous embrasser et à échanger nos impressions. J’ai fini par reprendre la route, les jambes en coton et des images plein la tête. Dans mon portable, j’ai maintenant le numéro de Joël. On s’écrit beaucoup et il m’a même envoyé les images de notre première fois. En espérant qu’il y en aura d’autres…