Une écolo un peu barjot
8 mars 2020Edgar, 33 ans
Mon histoire est un peu dingue, il faut que je vous la raconte.Je suis récemment tombé sur une fille complètement délurée, mais je ne le savais pas. j’avais repéré cette nana lors d’une réinterstron.ru associative écolo dont je faisais partie et que je suivais depuis trois ans. Elle venait toujours seule et était très impliquée dans la sauvegarde des chauves-souris (de ce que je comprenais de ses interventions). Elle se mettait toujours au premier rang, prenait des notes, posait des questions pertinentes. Ses cheveux étaient soigneusement tirés dans une natte avec laquelle elle jouait nerveusement.
Au bout de quelques mois, j’ai osé lui adresser la parole. Je dois avouer que son implication et son énergie m’intimidaient beaucoup, en comparaison, je me sentais beaucoup moins investi. Et sur tout, c’était une rouquine hypercanon sur laquelle tout le monde bavait. Bref, j’ai attendu la n d’une assemblée générale pour lui demander si elle voulait participer à une opération de tractage que j’organisais dans mon quartier pour sensibiliser au tri des déchets. Évidemment, de cette façon je trahissais mon intérêt pour elle… Je jouais quitte ou double ! Et heureusement, elle a accepté.
Après avoir déposé nos flyers dans toutes les boîtes aux lettres, je lui ai proposé de venir boire un thé à la maison, j’avais un pot d’excellentes feuilles récupéré de mes dernières vacances au Maroc. Nous avons pas mal discuté de la sauvegarde des espèces (son sujet),de la pollution( mon sujet),et puis au bout d’un moment, après plusieurs rires complices et regards en coin, je l’ai embrassé. C’est là que j’ai vu le truc arrivé: elle m’a littéralement avalé la bouche.Mes lèvres devenaient douloureuses, je sentais bien qu’elle essayait de mordre ma langue de ses dents. Elle a pressé ma tête contre la sienne pour que je ne bouge plus : « Je dois te prévenir : j’aime les échanges musclés, ça ne te dérange pas ? » Je suis resté muet une bonne minute entière.
La première de la classe qui pouvait pleurer devant la photo d’un lapin pris dans un piège de chasseur s’avérait être une vraie sauvageonne! L’information était difficile à avaler. Heureusement, je me rappelais avoir récupéré du matériel plutôt branché SM d’un pote à moi qui venait d’emménager avec sa nana et qui avait trouvé plus safe de me confier les outils qu’il utilisait dans une autre vie sexuelle… Bref, j’avais des pinces à tétons chez moi. Je ne savais pas vraiment comment les utiliser, mais dès que je les ai montrés à Émilie, ma rouquine, elle se les ai mis directement aux nibards. « Aïe, la pince est assez forte », s’est-elle écriée. « J’ai un gros gode aussi si tu veux… » Je suis allé le laver très vite dans la salle de bains et j’ai ramené mon gode de vingt centimètres en plastique dans la chambre à coucher. Émilie était à genoux sur mon lit, la respiration bruyante à cause des pinces à tétons. J’ai passé un peu de lubrifiant sur le bout, et j’ai commencé à caresser sa vulve. Je crois que je devais y aller vraiment trop doucement, elle a pris ma main et elle s’est donné quelques tapes avec. Véridique.
C’est la première fois qu’une nana faisait ça sous mes yeux. J’ai trouvé ça vraiment bizarre sur le coup… Mais excitant! J’ai enfoncé le jouet tout doucement en elle, je ne m’en étais jamais servi, je ne savais pas s’il était douloureux ou quoi que ce soit. Elle m’a dit : «Vas-y, j’ai l’habitude de plus gros !», je l’ai donc poussé en elle d’une traite. J’ai vu ses yeux se révulser, comme si elle partait en transe, c’était assez déroutant. Ça m’a même fait un peu débander sur le coup, et je ne me suis pas senti d’humeur à la pénétrer (de toute façon je ne pouvais pas rivaliser avec vingt centimètres). Je dois avouer que je ne m’attendais pas du tout à ce genre de première fois avec elle, comme quoi, vous ne pouvez jamais vraiment anticiper la vraie sexualité des gens. On va se revoir dans les prochains jours, il va falloir que je me renseigne un peu plus sur ces pratiques alternatives…
(Image à la une : Getty Images)
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« Soudain, elle s’est avancée vers moi et m’a embrassé violemment. J’ai vite compris que c’était elle qui allait diriger les opérations. Cela ne me gênait pas, j’adore être pris en main. Ses doigts ont glissé sous ma jupe, elle a saisi mon « clito » et a commencé à le branler. » Georges