Une pipe universitaire

La rédaction 12 mars 2020

Fabrice, 45 ans

Ce jour-là, je m’étais rendu dans une boutique du centre-ville pour acheter un cadeau à ma nouvelle petite amie. Je ne suis pas un homme très constant en amour, mais j’aime faire plaisir. J’ai 45 ans, et je plais beaucoup aux jeunes femmes. J’ai remarqué cela depuis que je donne des cours à la fac, et que je vois les étudiantes défiler dans mon bureau pour faire les belles. Peut-être les cheveux poivre et sel…, en tout cas, avancer en âge me réussit plutôt bien.

J’étais donc en train de chercher un cadeau dans une boutique de vêtements pour ma compagne du moment, quand je suis tombé sur l’une de mes étudiantes, Mila ! Celle-ci était vendeuse à temps partiel dans le magasin. Je l’ai tout de suite reconnue, car elle fait justement partie des filles qui sont plutôt indifférentes face à moi, et je trouve cela plus séduisant que les groupies.

Cette rencontre nous a amusés tous les deux plus qu’elle ne nous a gênés, alors nous avons chacun joué notre rôle : j’ai décrit le corps et les mensurations de ma copine pendant que l’étudiante me montrait des fringues qu’elle posait sur elle pour me donner une idée du rendu, car les deux femmes avaient à peu près la même corpulence. C’était plutôt moi qui la draguais pour le coup, car des pensées érotiques m’avaient envahi. Son petit air arrogant me donnait envie de la voir gémir de plaisir et me supplier de la baiser. J’avais aussi l’impression qu’elle me voyait avec un œil neuf hors du cadre de la fac et que je suscitais un intérêt nouveau chez elle.

Ses petits seins pointaient sous son t-shirt, sa chevelure cuivrée mettait en valeur ses grands yeux bleus. Mon envie d’elle se faisait impétueuse, comme un caprice. C’était l’heure de sa pause déjeuner, alors je lui ai proposé d’aller manger ensemble. Nous n’avons pas cessé de jouer au petit jeu de la séduction. Nos genoux se frôlaient, nos mains se rapprochaient. Jusqu’à ce qu’elle me donne rendez-vous à la fin de son après-midi de travail. Quand je l’ai retrouvée à sa sortie de la boutique, elle s’était remaquillée. Elle m’a pris par la main et m’a entraîné dans son petit studio, où elle vivait non loin de là.

« Tu ne me plaisais pas particulièrement mais là, tu m’as quand même fait envie, dans le magasin » , a-t-elle dit en refermant la porte. Elle s’est logée dans mes bras en collant sa bouche contre la mienne. Son petit corps mince et ses petits seins étaient tellement bandants ! En temps normal, je ne cédais jamais aux avances de mes étudiantes, j’en avais fait un principe. Mais là, comment résister ? Et puis, ce n’était plus dans le cadre de la fac…

J’étais tendu de désir pour elle et ma trique était dure contre son ventre. « Alors, tu vas te déshabiller, professeur ? » a-t-elle minaudé. En baissant mon caleçon, elle a saisi ma queue pour la mettre dans sa bouche. Elle avait d’indéniables qualités de suceuse pour ses 20 printemps ! Sa petite bouche, à peine suffisamment large pour me contenir, m’aspirait et me procurait un plaisir fou. Elle avait de très beaux sous-vêtements, des bas noirs, un petit soutien-gorge bustier ravissant. Ça me faisait bander de me dire qu’elle avait porté ça toute la journée et que c’était ce qu’elle portait quand nous nous étions parlés. Et qu’elle était entreprenante ! Elle prenait la pose sur le lit, fesses nues, vue plongeante sur sa fente, cul gainé, bassin cambré. Elle m’a même dit de prendre des photos, sur lesquelles elle se branlerait plus tard, quand elle repenserait à notre incartade. Je n’en revenais pas de tant d’assurance, alors j’ai pris des photos pendant qu’elle tétait mon dard.

Puis elle a pris un petit sextoy vibrant pour se l’appliquer sur la chatte. J’ai aussi photographié, tout en l’accompagnant de mes doigts, que j’enfonçais en elle. Son visage alangui me plaisait, enfin elle avait abandonné son petit air supérieur ! Mila me bouleversait de par sa confiance en elle et sa connaissance de son propre plaisir. Je retenais mentalement tous les détails qui me faisaient bander : sa chatte sans poils sur laquelle ses doigts se baladaient habilement, avant de pétrir ses seins et de les caresser pour s’auto-exciter, sa mouille qui coulait sous le petit jouet, son piercing au nombril, ses grands yeux calmes. Elle me rendait dingue et l’image de ma copine était bien loin, oubliée, le temps de ce cinq à sept inattendu.

Mila voulait me fait jouir en me suçant. Ce faisant, elle se baisait elle-même avec son sextoy, qu’elle disait préférer à une bite, et elle me pompait avec cette dextérité qui trahissait une belle expérience, ou un don inné… Le gode était de plus en plus trempé de sa mouille. D’un doigt, je l’accompagnais en branlant son clitoris, ce qui lui faisait étouffer de petits gémissements craquants. Ses cheveux brillants voletaient autour de ma queue, sa petite bouche ne s’épuisait pas. Saurais-je la regarder à nouveau, en cours ? Elle était si belle, si sûre d’elle… Je m’abandonnais, retardant mon éjaculation du mieux possible, mais elle me branlait et me suçait tant et si bien que je n’ai pas pu tenir très longtemps…

Je l’ai prévenue et elle a accéléré, jusqu’à ce que j’explose dans sa bouche, entre ses lèvres roses et ourlées, ma semence épaisse, un orgasme qui m’avait pris aux tripes. Je me sentais presque intimidé par cette étudiante qui m’avait amené aussi merveilleusement à la jouissance…

Je me suis ensuite occupé d’elle. J’ai saisi le sextoy pour le passer dans sa chatte, sur son clito, sur ses tétons. Elle me regardait de ses yeux intenses. Mon cœur chavirait. Je la baisais avec le jouet pendant qu’elle se branlait le clito de plus en plus vite. L’orgasme a déformé son visage, son buste s’est à nouveau cambré magnifiquement alors que je remuais le jouet en elle et sa cyprine a inondé le drap sous elle… Émerveillé, je regardais son corps arqué et bandé, son sexe inondé, ses tétons pointés, sa bouche déformée par l’expression de son plaisir. Son aisance avec son corps la rendait inoubliable. Le soir, je suis rentré avec les photos et je les lui ai envoyées.

Plus tard, elle m’a répondu par texto qu’elle s’était à nouveau donné un orgasme en les regardant. Depuis, elle ne quitte plus mes pensées et, après chaque cours à la fac, nous rentrons prestement chez elle pour baiser. Peut-être ai-je enfin trouvé celle que je cherchais ?

(Image à la une : Getty Images)

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« On se demandait ce que c’était que ce bordel, et c’est là qu’elles se sont désapées. On s’est retrouvés, Greg et moi, devant les trois garces entièrement nues, qui commençaient à s’auto-caresser » Steve et Greg

Ceci est une pipe !

« Ses seins étaient dodus et blancs, un bonheur pour le regard et le toucher. Je passais mon temps à les photographier tant je les trouvais beaux et excitants. Je me suis mis nu et elle est descendue le long de mon torse pour placer son visage au niveau de mon sexe » Manuel

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