Ma « rentrée des classes »
5 décembre 2020Marie, 19 ans, va avoir une intégration un peu particulière avec les étudiants de sa promo de médecine, au programme : une belle partouze !
Je vous écris pour vous raconter ma « rentrée des classes » qui m’a valu une histoire de sexe… Cette année, j’ai eu mon bac (mention « bien »!), je suis partie en vacances avec des copines pour m’éclater à la plage et, enfin, je me suis lancée dans des études de médecine. J’ai immédiatement sympathisé avec une bande de fous qui redoublaient leur première année et j’ai eu une bonne surprise. Nos parents avaient beau se réjouir que le bizutage ait été interdit, en fait, il continuait d’exister !
C’est trop cool le « stage d’intégration ». Jugez plutôt. Le mardi soir, on est allé boire des coups dans un bar à partir de 18 heures. J’ai testé des bières que je ne connaissais pas, et un des types a proposé de poursuivre les festivités chez lui. Il venait de changer d’appartement et vivait en collocation avec deux autres étudiants, un garçon et une fille. Ça s’annonçait bien ! En plus, il habitait à deux pas.
On a débarqué à dix personnes, au moins. C’était déjà presque le harem là-dedans ! Tout était retourné dans le salon. Ils avaient mis des coussins genre mille et une nuits partout, et ça sentait le tabac à narguilé. La meilleure stratégie pour ne pas s’évanouir tant l’odeur de fumée était âcre, c’était de s’asseoir à même le sol avec les autres.
La lumière était très faible, une loupiote par-ci, par-là, pas plus. Une musique d’ambiance sortait de l’ordinateur posé sur un guéridon de type moyen-oriental, c’était un morceau de Tarkan, le chanteur turc. Le plus comique dans tout ça, c’est que les occupants avaient tous des tronches à s’appeler Anne-Sophie ou Jean-Amaury… Mais bon, on ne va pas les critiquer pour leur ouverture d’esprit non plus!
J’ai bu un verre de vin. Un garçon avec un très beau visage (qui s’appelait Augustin, je vous l’avais bien dit!) m’a expliqué que ce soir-là, j’allais vraiment entrer dans leur bande après avoir passé quelques tests de bonne volonté. Il m’a demandé si j’étais d’accord. Aucun son n’est sorti de ma bouche, il a retenu son souffle et j’ai fait tomber une bretelle de mon T-shirt. Il faut dire que la chaleur était intenable dans cette pièce.
Aussitôt, les autres ont commencé à me regarder différemment. J’ai défait la deuxième bretelle de mon top. Ils se sont approchés de moi… J’ai compris quel style d’initiation ils avaient en tête : j’étais le plat principal de la soirée, quoi ! Pas de souci, j’avais envie de me faire croquer par plusieurs amants depuis longtemps.
On était passé de l’histoire d’Ali Baba à celle des quarante baiseurs en quelques instants. Ils m’ont littéralement sauté dessus! Les garçons, les filles, tout le monde ! Mes vêtements m’ont été arrachés en quelques secondes et j’ai senti les langues, les doigts se faufiler un peu partout entre mes jambes, sur mes seins, dans mon cou.
Une fille avec de très gros nichons a posé ses lèvres sur ma chatte en pétrissant mes fesses. J’ai joui très vite. Un garçon blond comme les blés, sorti tout droit d’une publicité bon chic bon genre, était placé au-dessus de mon visage. J’étais allongée et il se branlait sans retenue, avec joie même !
J’ai attrapé sa queue pour me la mettre au fond de la bouche. Il fallait que je le suce, il en avait une belle, en plus, bien tendue. Quelle expérience délicieuse ! Les différents participants se sont attaqués les uns aux autres, qui une bite entre les seins, qui les doigts solidement harnachés à la chevelure de sa partenaire. Un vrai bordel.
Le blondinet m’a entraînée dans une chambre à part. Je n’avais pas encore compris, mais il habitait ici en fait. Je préférais l’ambiance dans le salon… Cependant, son pieu brûlant et ma tête qui tournait me poussaient à ne pas trop me poser de questions. Je l’ai jeté sur le lit et mon visage est tombé sur sa tige d’amour.
Il n’avait pas non plus l’air du type qui allait beaucoup réfléchir… Mais il m’a quand même signalé que mon initiation n’était pas finie. Il a attrapé son smartphone et s’est mis à me prendre en photo dans les positions les plus suggestives. C’était rigolo, je me prenais bien au jeu. Je me suis assise sur lui et je me suis frottée à sa queue.
Il a tendu le bras et a extrait un long gode de la table de chevet, il me l’a filé avec son téléphone: « À toi », a-t-il ordonné. Il est sorti du lit et a recommencé à se branler pendant que je me donnais moi-même du plaisir. « Continue comme ça, continue… Mhhan, han, approche ! » J’ai ouvert la bouche devant son gland turgescent, et mon petit ange a envoyé toute sa sauce sur ma langue.
C’était chaud et doux, j’en aurais bu toute la nuit. Il a désigné la porte du doigt. J’ai pensé: « Putain, il veut déjà que je dégage, il n’est pas très cool le coco… « , mais il voulait juste me montrer que nous avions des voyeurs derrière la porte : trois mecs attendaient leur tour pour se faire boire ! J’ai souri et je leur ai dit d’entrer. Je les ai tous sucés les uns après les autres et je n’en ai pas laissé une goutte. C’était trop bien « le stage d’intégration » !