Sous haute tension part. 1

La rédaction 7 décembre 2024

Ce témoignage érotique se fait à deux voix. La première partie est portée par la voix féminine. Notre témoin partage sa vision, ses ressentis et ses sensations lors de la première baise avec son partenaire. Entre regards coquins et caresses aussi dominantes que sensuelles, la tension sexuelle entre les deux peut en émoustiller plus d’un.e…

Voici mon histoire de sexe amateur. C’était une belle journée de juillet. Je ne savais pas quoi faire ce jour-là, alors j’ai envoyé un message à ce mec pour lui proposer de venir avec moi au Luxembourg. On s’était vu quelques fois auparavant, en soirées, mais rien de bien méchant. En tout cas, rien qui ne laissait présager une expérience pareille. En recevant sa réponse, je découvre qu’il est partant pour une virée en ma douce compagnie. On peut dire qu’à ce moment j’étais plutôt contente. On allait passer un moment, ensemble et faire plus ample connaissance. Pendant le trajet, nous ne cessions de discuter. Il y avait une certaine alchimie qui se créait entre nous, c’était si satisfaisant. Je sentais que ni lui, ni moi, n’avions envie que ce moment s’arrête. Notre virée Luxembourgeoise s’est étendue jusqu’en Belgique. On s’est retrouvé dans l’usine d’une célèbre bière Belge et nos regards de séduction se sont accrus, faisant naître entre nous, une tension inégalable.

Il me plaisait. Son regard et ce brin coquin qui s’y logeait me rendait chose. Je sentais pertinemment que je ne le laissais pas indifférent. Sans vouloir me vanter, il faut avouer que mes atouts physiques sont probants. Je suis une jolie brune à la peau mate par mes origines, grande et mince, mais avec ce qu’il faut là où il faut. Croyez-moi, je sais mettre mes seins et mes fesses bombées en valeur et la présence de ce garçon ne faisait qu’attiser la joueuse séductrice en moi. Bref, on ne voulait pas que la journée s’arrête sur cette double virée. On a alors, sans même se le dire clairement, trouvé un prétexte pour rester ensemble. Il est repassé chez lui pour prendre quelques affaires et sa Play. C’était ça notre excuse pour rester ensemble, sa Play. En arrivant chez moi, c’est comme si le temps s’était arrêté. On discutait, rigolait, jouait, sans même prendre le temps de manger parce qu’on n’y pensait tout simplement pas.

Il travaillait le lendemain et devait donc se lever assez tôt. Vers 1h ou 2h du matin, je lui demande : «Est-ce que tu veux que je t’installe le lit dans le salon, ou, est-ce-que tu viens dormir avec moi ?». Je ne propose pas mon lit à n’importe qui, je vous rassure. Mais avec lui, c’était différent. La journée et la soirée que nous venions de passer n’avaient fait qu’augmenter la tension entre nous, qui était maintenant sexuelle. Je fondais clairement sous la puissance de son regard. Vous savez, ce genre de regard qui vous fait sentir toute petite, qui intimide et donne même l’impression d’être nue. Et bien ce regard, il l’avait en permanence quand ses yeux se posaient sur moi. C’est comme s’il me transperçait. Tout en me fixant droit dans les yeux, il m’a simplement répondu : «Je viens dormir avec toi.», sans aucune hésitation.

La proposition

À ce moment, je me suis dit «Woah le mec !». Il avait saisi la perche que je lui tendais et cela confirmait qu’on était bien sur la même longueur d’ondes. On va vers le lit et je lui dis : «Je dors comme d’habitude : culotte et seins nus». Il ne s’y est pas opposé, en même temps qui s’opposerait à changer les habitudes d’une personne, surtout celle-ci. Il s’est alors mis en caleçon et je me suis brièvement rincé l’œil. Il était merveilleusement bien bâti au point de me faire discrètement déglutir.

On a éteint les lumières en se mettant sous la couette et seul le clair de lune qui traversait la fenêtre nous éclairait. On ne s’est pas endormi tout de suite. Je pense que l’excitation d’être ensemble et de se plaire autant, y était pour quelque chose. Je m’étais mise en cuillère en lui tournant le dos et il n’a pas manqué de se coller à moi et de me saisir. Je sentais son souffle dans ma nuque. Ses mains parcouraient, par des caresses faites du bout des doigts, toute la longueur de mon corps. Il était de plus en plus saisissant. En faisant remonter l’une de ses mains, il m’a agrippé la gorge, puis fait dévier ma tête pour pouvoir m’embrasser. La sensation était si intense, que ma culotte, déjà bien humide, s’est vu être noyée de mouille. La tension qui nous avait animés tout au long de la journée se concrétisait physiquement.

Il explorait mon corps de ses mains viriles, ne négligeant aucune parcelle. Les frissons faisaient frémir ma chair, et lui, s’adonnait à stimuler les zones qu’il décelait être érogènes. Nos corps s’emboîtaient de plus en plus et je me sentais minuscule en étant collée à lui. Il pinçait délicatement mes seins, provoquant en moi un déferlement de plaisir. Nos deux corps se sont mis à onduler en rythme. On se frottait l’un à l’autre, ce qui m’a permis de sentir la bosse qui pointait dans son caleçon. Et quelle bosse ! Je ne la sentais qu’au contact de mes fesses et elle me paraissait conséquente. Me laissant porter par la simple projection de sa bite en érection, je ne pouvais plus me retenir de soupirer mon envie de sexe.

On se transformait en animaux affamés de cul. Les gestes étaient plus directs. Il me dévorait la nuque, l’oreille, pinçait mes tétons, attrapait fermement mes seins et mon cul et j’adorais ça. Je jouais aussi et je sentais qu’on arrivait à un stade où le retour allait être difficile, voire impossible. Seulement, je n’ai pas souhaité aller plus loin, pas ce soir du moins. J’ai alors mis en suspens nos caresses érotiques pour lui dire : «J’ai pas envie de le faire maintenant, parce que je n’ai pas envie d’être une meuf d’un soir ». Je prenais un gros risque en lui disant ça…

C’est oui ou bien c’est non ?

À ma grande surprise (et soulagement), il s’est montré très compréhensif et a respecté mon choix, sans même me partager sa frustration. Sa réaction et le fait qu’on reprenne tout de même notre jeu n’a fait que décupler mes sensations. Il faut croire que de son côté, c’était la même chose. Après plusieurs minutes de frottement corps contre corps, il m’a dit en mordant son poing : «Il faut que j’te le dise. Là, c’est soit je vais dans la salle de bain pour me branler, soit on le fait. Je n’arriverais pas à tenir ce jeu plus longtemps.».

Il était temps d’être honnête avec moi-même. Je voulais qu’on couche ensemble, je le voulais ! Sentir sa verge au plus profond de moi, le sentir s’insérer dans ma chatte qui ne cessait de dégouliner de plaisir et de désir pour cette personne. Sans prononcer un seul mot, je me suis contenté de décaler son caleçon. Après s’être assuré que c’est bien ce que je voulais, il a dégainé son membre. Mon imagination ne m’avait pas trompée et c’était même mieux. Sa queue était tendue et bien grosse ! On aurait dit qu’un simple geste l’aurait fait exploser. Dans la pénombre de la chambre, j’ai tout de même pu voir qu’il était monté comme un dieu. Ni une, ni deux, bite au garde-à-vous, il m’a retourné pour me mettre sur le ventre. Je lui ai présenté mes fesses bien tendues, pour lui offrir une vue imprenable sur mon anatomie. Il m’a offert une fessée juste assez puissante pour me faire perdre le contrôle. J’ai écarté les jambes pour lui donner libre accès à ma chatte qui n’arrêtait plus de suinter mon excitation.

En position de dominant, il avait la pleine maîtrise de mon corps. Il m’a empoigné les fesses et a introduit son braquemart dans mon antre. Ses mouvements étaient aussi précis qu’intenses. Il m’attrapait les fesses, venait jusqu’à ma gorge, faisait de moi sa chose et j’adorais ça ! Il avait retrouvé sa position de conquérant, de dominant et me martelait comme il se devait. J’étais totalement dépossédée, complètement soumise au plaisir qu’il me donnait et que je recevais avec joie. Mes gémissements s’accentuaient au même rythme que ses puissants coups de bite. Je contractais mon vagin par moment et la sensation n’en était que plus forte, aussi bien pour lui, que pour moi.

Après une journée de tension érotique, plusieurs heures d’effleurements et de caresses sexuelles, ces minutes de baise étaient libératrices pour les deux animaux en chaleur que nous formions. Je l’ai senti venir, il allait jouir, ce n’était qu’une question de secondes. J’étais dans le même état, prête à exploser. Nous avons joui à l’unisson. Il a tapissé mon vagin de son sperme chaud et onctueux, avant de s’écrouler. Nos deux corps totalement las de cette baise aussi intense que hors normes, se sont relâchés en même temps. J’essayais de retrouver mes repères et de me remettre de ses coups de reins. Je sentais sa semence s’écouler entre mes jambes. C’était si bon, j’avais l’impression d’être sur un nuage.

Cette première baise a eu raison de nous. Aujourd’hui, nous sommes ensemble et nos parties de jambes en l’air sont de plus en plus torrides et dominantes.

Qui sait, je reviendrai peut-être pour raconter l’une de nos autres baises. Pourquoi pas celle sous la douche ?

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