Ô mon bateau

La rédaction 17 octobre 2024

Le soleil brillait haut dans le ciel, et la mer scintillait sous ses rayons dorés. Christina et moi étions seuls sur le bateau, une escapade impromptue que j’avais proposée pour profiter de ce beau week-end.

Depuis que j’avais épousé sa mère, nous avions essayé de construire une relation de confiance et de complicité. Je voyais en Christina une fille pleine de vie et de curiosité, et j’espérais que cette sortie en mer renforcerait notre lien.

Nous nous étions éloignés de la côte, le bruit des vagues contre la coque rythmait nos conversations légères. Christina riait de bon cœur, ses cheveux dorés flottant au vent. Je ne pouvais m’empêcher de la regarder avec admiration, sa jeunesse et sa beauté rayonnaient d’une énergie contagieuse. Je m’approchai d’elle pour lui montrer les plus belles demeures de star, sur la côte.

Elle se tenait près de moi, concentrée, écoutant attentivement mes anecdotes.

Dans un geste presque instinctif, je posai ma main sur son épaule pour la guider. La chaleur de sa peau sous mes doigts provoqua un frisson inattendu en moi. Christina tourna légèrement la tête, nos regards se croisèrent. Mon cœur battait plus fort, et avant même de comprendre ce qui m’arrivait, je me penchai vers elle. Mes lèvres frôlèrent doucement son cou.

Elle ne bougea pas, figée dans une sorte de stupeur. J’aurais dû m’arrêter, reculer, mais l’intensité de l’instant m’emporta. « Georges, qu’est-ce que tu fais ? » murmura-t-elle d’une voix tremblante. C’est alors que la ­réalité me frappa.

Je m’écartai brusquement, horrifié par mon propre comportement. « Je suis désolé, Christina » balbutiai-je, incapable de croiser son regard. « Je ne sais pas ce qui m’a pris. » L’atmosphère devint pesante, le silence entre nous était assourdissant. J’avais franchi une limite que je n’aurais jamais dû approcher.

Je devais réparer cette erreur, retrouver la confiance que j’avais perdue en un instant de faiblesse. Mais à ce moment, tout ce que je pouvais faire, c’était me tenir à distance, espérant que le temps apaise ce malaise.

C’est alors qu’elle inversa les rôles. « Tu me donnes chaud, Georges, je vais me mettre nue. » Elle se déshabilla alors devant moi et exhiba son petit string noir en me faisant signe d’un doigt de me rapprocher. C’était un signal plus qu’explicite, une invitation à outrepasser les interdits pour succomber à nos désirs. Je n’ai pas résisté et me suis approché de ce corps parfait.

À son invite, j’ai décalé légèrement son string et je me suis mis à lui lécher la fente jusqu’à son petit trou interdit. Son anus avait un goût sublime, un goût de sel, d’embrun marin, d’iode.

Elle avait dans le cul toute la poésie de la mer, les plis et les replis qui s’agitaient en vague, un peu d’écume laissée par ma bave mousseuse. Elle me faisait du bien. Alors que je me perdais corps et âme dans son intimité, elle a décidé de me rendre la pareille.

Après s’être libérée de mon emprise, elle a baissé mon caleçon, a sorti mon sexe bandant et l’a englouti. J’ai vite compris que ma douce Christina, que j’imaginais si pure, n’en était pas à son premier coup d’essai.

La cochonne n’y allait pas de main morte, elle se répandait tout son soul sur mon membre viril, léchait avec appétit le gland, caressait chaque parcelle de ma peau, chaque parcelle de mes couilles.

J’ai trouvé ça tellement bon que je n’ai pu résister à l’envie de la prendre, à quatre pattes, au vu et au su de tout le monde. Tant pis si un bateau un peu voyeur passait dans les environs, j’étais trop excité, il fallait que je le fasse. Je n’ai même pas osé penser à ce que sa mère comprendrait de la situation, si on devait l’expliquer. Dans un flash, je me suis dit que ce serait notre petit secret, et que personne ne le devinerait jamais. Un secret entre la mer et nous, un secret de marins.

Je l’ai donc retourné et l’ai fait se positionner, le cul relevé. Je me suis enfoncé en elle, très doucement, au début de quelques centimètres, puis au fur et à mesure un peu plus profondément. Sa chatte était chaude et accueillante.

Elle était toute serrée et enveloppait mon sexe de son étreinte ferme et douce à la fois. J’ai continué mes à-coups, de plus en plus secs, de plus en plus prononcés. Je l’entendais gémir de plus belle et cela me rendait fier. Elle faisait des bruits très doux et son visage, concentré, ressemblait à celui d’un ange. Je comprimais bien fort son cul entre mes mains, et observais avec beaucoup d’admiration son petit anus qui s’épanouissait sous mon pilonnage. Il s’ouvrait puis se refermait, comme une petite bouche affamée.

Je l’ai ensuite fait basculer sur le côté et l’ai prise tendrement dans mes bras, comme un petit oisillon. J’ai relevé sa jambe bien haut et je me suis à nouveau enfoncé en elle.

Cette fois-ci, ses chairs avaient le souvenir de mon sexe, et elles m’accueillaient avec beaucoup plus de facilité.

C’était bandant de voir à quel point elle était bien lubrifiée, à quel point il m’était facile d’aller toucher tout au fond d’elle. Elle continuait, avec toute la grâce de la jeunesse, de me regarder dans les yeux et de me sourire !

J’avais l’impression que le moment était solennel pour elle, extrêmement important. Je la serrais aussi fort que je pouvais contre moi, je craignais qu’elle ne glisse du bateau.

Je me demandais alors combien d’amants elle avait pu avoir avant moi. Vu son aisance, vu la facilité avec laquelle elle s’arrangeait des chorégraphies sexuelles, et de sa prise d’initiative, elle ne devait vraiment pas en être à sa première fois.

Je me suis alors permis d’aller beaucoup plus fort, beaucoup plus vite. Je n’étais pas du tout sûr que sa mère nous autorise à nouveau une escapade à deux, surtout si elle finissait par apprendre la vérité, aussi j’ai tout fait pour bien la tringler dans tous les sens, complètement affalée sur le bateau, les seins collés sur la toile, le cul relevé, mais aussi les jambes bien écartées au-dessus de moi. Je la manipulais comme une petite poupée, la faisait se cambrer très fort, la faisait hurler de plaisir, hurler mon nom. « Georges, Georges, Georges ! Tu es un si bon amant !

Je suis sûre que tu t’occupes tellement bien de ma mère ! » J’ai failli débander au moment où elle m’a rappelé cette cruelle vérité. Mais non, je ne me suis pas laissé aller ! J’ai caressé ses seins, son ventre, je l’ai embrassée dans le cou, près des aisselles, sur les jambes. Je me concentrais sur ce que je trouvais de plus bandant en elle : ses lèvres, son regard perdu, ses cheveux emmêlés, son tatouage en haut du buste. Cette fille était un feu ardant à elle seule et elle m’embrasait.

J’ai fini par me mettre debout, au-dessus de son visage, et m’astiquer énergiquement la queue. Je la voyais loucher sur mon gland, envisager de l’avaler, de le lécher. Je maintenais pourtant sa tête à distance. Je voulais voir mon sperme glisser sur ses joues, sur ses lèvres.

Je voulais voir l’étonnement, la surprise, le ravissement peut-être même dans ses yeux au moment où mon foutre giclera de mon gland. Je voulais qu’elle soit aux premières loges de mon plaisir. Encore quelques secondes à me branler sous le regard amoureux de Christina, et j’ai joui. C’était sublime.

Je sentais des décharges électriques jusque dans mes testicules, dans toute ma hampe.

Ça me faisait presque mal tellement mon jet partait vite vers son visage. Elle s’est mise à rire, d’un grand rire clair et mignon, puis elle est allée se rincer le visage dans l’eau. « À ce qu’il paraît, c’est bon pour la peau ! » s’est-elle exclamée, hilare.

« Bon bien sûr, on ne dit rien à Maman ? » « Évidemment » lui répondis-je en lui caressant les lèvres et en posant mes doigts dessus. J’ai embrassé sa petite bouche pulpeuse avec beaucoup de tendresse, j’ai passé ma langue dessus. Elle a souri dans son baiser.

Et je me demandais déjà comment j’allais faire pour réprimer l’envie de recommencer…

   
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