Série noire
8 juillet 2025Lucia, 47 ans, se fait baiser par un inconnu à la queue énorme, sous les yeux de son mari et de son objectif !
Lucia nous fait part de son histoire de sexe amateur avec un certain Mahamadou et son énorme queue!
Ma lune, tout comme notre satellite naturel, a des phases. Non, elle n’est ni croissante ni décroissante, elle serait plutôt du genre « toujours pleine » … bien pleine ! et ne cherchez pas de face (de fesse sic) cachée, je montre tout et me fais remplir tous les cratères, même le plus petit et le plus serré des deux !
Mari qui immortalise la soirée
Et depuis un moment déjà, je suis dans ma période « blacks », de préférence montés avec une grosse fusée et d’énormes boosters ! Mon mari, Julien, est un amour, il comprend et alimente mes fantasmes et, parfois, lorsqu’il est aussi excité que moi, il m’accompagne à mes rendez-vous pour immortaliser la soirée.
Mahamadou nous attendait dans la chambre d’hôtel que j’avais réservée, il sortait de la douche lorsque nous sommes entrés. Mon regard a directement été attiré par son entrejambe.
Entre ses cuisses pendait un morceau de choix ! Une bite lourde et épaisse qui reposait sur une paire de couilles très fermes, le tout était parfaitement imberbe, comme je l’avais demandé.
Julien a dégainé son portable et nous sommes tous trois partis pour une croisière pleine de sexe et une série de prises de vue aussi chaude que mon petit cul !
Lorsque j’ai entamé ma pipe, je n’avais plus que mon soutif sur moi. Sa colonne d’obsidienne diffusait un goût de caramel. Je me suis régalée à lui léchouiller le gland et les bourses jusqu’à ce qu’il faufile ses mains de géant au fond de mes bonnets.
Mon opulente poitrine a déclenché ce à quoi je m’attendais, un raffermissement de la barre chocolatée que j’étais en train d’aspirer et le début d’intenses écoulements au niveau de ma chatte.
Fellation, branlette espagnole et…orgasmes !
Bien huilée, j’ai juste eu à enfourcher la queue toute droite de Mahamadou et à me glisser lentement dessus. J’ai dégusté, millimètre par millimètre, l’enfoncement du pieu, l’écartement de mes nymphes sur son passage et cet instant fatal où le gland est venu au contact du fond de mon vagin.
Cela a enflammé une étincelle en moi et mon bassin s’est laissé complètement aller, prenant vie. Mes hanches se sont libérées et j’ai ondulé de plus en plus rapidement, jusqu’à me faire jouir sur la bite qui me fouillait au plus loin de mon être.
Une nouvelle fellation. J’avais faim de ce sexe d’ébène et de mon sirop qui le recouvrait. J’en ai profité pour entraîner le priape entre mes énormes nichons pour une branlette espagnole endiablée, puis je me suis vautrée sur le ventre, le cul en l’air, les globes totalement écartelés.
Mahamadou n’a pas hésité une seconde et a fiché sa lance d’acier dans la fente moite de mon intimité. Jamais je n’ai été baisée, secouée, chamboulée ainsi. La puissance de ce colosse n’avait aucune commune mesure avec les coups de reins auxquels j’étais habituée. J’ai vécu un véritable séisme, les coups de boutoir s’enchaînaient avec violence et précision, j’ai reçu quelques grandes claques sur les fesses et … le trou noir !
J’ai tellement joui fort que j’en ai perdu connaissance quelques secondes ! J’ai fondu en larmes en revenant à moi, de joie, de plaisir et d’émoi, j’ai embrassé mon amant, je lui ai sucé la mangue, je me suis jetée sur ses couilles et sa tige magique et lui ai proposé de me prendre par l’entrée des artistes.
Sodomie dévastatrice
Mon anus a été léché, préparé avec un lubrifiant spécial, j’ai été longuement doigtée, les phalanges dilatant mon cercle sacré. Le braquemart s’est alors présenté à l’orée et le poids de Mahamadou a fait le reste.
La colonne s’est frayé un passage, ouvrant la voie pour la suite, une ruée de va-et-vient qui m’a propulsée de nouveau dans les affres d’un orgasme dévastateur.
La fin de la nuit a été peuplée d’assauts identiques, tantôt par-devant, en missionnaire, tantôt par derrière en levrette ou encore avec moi en amazone, chevauchant mon bel étalon noir.
Mon mari ne savait plus où donner de l’objectif, Mahamadou ne fournissait aucun signe de faiblesse et continuait à me prendre dans toutes les positions, attentif à mon bien-être, me conférant du plaisir avec sa queue ou avec sa langue.
J’ai tout de même fini par trouver la clef de sa reddition, une pipe magistrale, une vraie gorge profonde en le laissant jouer avec mes mamelons qu’il a triturés à m’en faire mal, mais j’ai enfin reçu ma récompense, une cascade de foutre chaud qui s’est déversée dans ma bouche et sur mes lèvres.
Mahamadou m’a tellement fait jouir ce soir-là que depuis, nous le convions régulièrement à la maison pour qu’il me baise encore et encore. Quand il arrive, je l’attends sur le lit conjugal en lingerie et … en levrette, sa position favorite … vous ne seriez pas tenté vous ?