Témoignage érotique : « Le baptême de Strasbourg »
2 septembre 2021Ce couple passionnel et en parfaite osmose sexuelle, a une tradition plutôt tentante : baptiser sexuellement les villes dans lesquelles ils passent…
À la découverte de la ville
Mon histoire s’est déroulée il y a un peu plus de deux ans. C’était au début de ma relation avec mon chéri actuel. Tous les deux nous avons une relation que je qualifierais de passionnelle. On s’est très bien trouvés et côté sexe, ça fonctionne très bien ! On a mis en place une espèce de tradition, dont le but était de baptiser les villes dans lesquelles on passait. Le baptême était simple, il s’agissait de faire l’amour dans les espaces publics.
Après avoir habité Nancy et Metz, il a déménagé à Strasbourg, pour ses études. Je suis allée l’aider pour son emménagement et par la même occasion, en profiter pour visiter la ville. Nous voilà parti pour une semaine dans la ville alsacienne. On avait toujours en tête cette envie d’inaugurer Strasbourg à notre manière. Une envie telle, que tout au long de la semaine, on se demandait quand on allait tomber sur le lieu idéal.
Un jour, on est allé se promener dans le Jardin des deux rives. C’est un grand parc, assez connu je pense, qui relie par un pont l’Allemagne et Strasbourg. On a marché jusque là-bas, il faisait beau, il faisait chaud, une après-midi plutôt sympa. On a décidé de s’asseoir sur un banc, pour se poser un peu tranquillement. Seulement, notre petite balade innocente, a pris une tout autre tournure. On commencé à se chauffer gentiment. Des paroles, des regards, des petits gestes. Tout était gentil (pour le moment).
On ne pensait rien faire, du moins, on ne pouvait rien faire. On était sur un banc en plein milieu d’un parc bondé de monde, en pleine après-midi ensoleillée. Évidemment que sur le papier rien n’était possible, mais ça serait mal nous connaître. L’excitation montait de plus en plus, grâce à ces simples mots et regards, qui pour le coup, en disaient long sur nos intentions. On s’est alors levé, pour partir à la recherche d’un lieu plus à l’abri.
Les amoureux sur les bancs publics
Alors qu’on cherchait ce fameux endroit, aucun de nous ne s’empêchait de titiller l’autre. Alors qu’on marchait, comme des affamés, j’avais la main logée bien au chaud dans son caleçon, à lui caresser la bite, qui pour le coup était au garde-à-vous. Après quelques minutes de recherche effrénée et sans un mot, juste l’envie viscérale de baiser, on s’est installés sur un autre banc. On n’était pas plus isolés qu’avant, mais on ne tenait plus.
Installé sur le banc, je me suis penchée vers sa bite pour le sucer. Pendant que je m’occupais de son chibre avec amour et qu’il appréciait son moment (oui, j’avoue que je sais bien y faire), il a tenté une percée pour atteindre ma chatte. Ce jour-là, je portais un short, qui, bien sûr était trop serré… Donc s’il voulait atteindre mon doux minou, il fallait clairement enlever, dans son entièreté, ce short qui me moulait à merveille.
Alors que chacun savourait ce moment : moi avec sa queue en bouche et lui en train de s’extasier de cette fabuleuse fellation, il nous fallait plus. On ne pouvait pas se contenter de ça. On voulait chacun la pénétration. À tel point qu’on pouvait croire que nos vies en dépendaient. C’était clairement viscéral ! On s’est donc relevés pour quitter le banc qui avait accueilli cette mise en bouche. Mon chéri remballait tant bien que mal verge dure comme du bois et humide de ma salive, et on part à la recherche d’un endroit suffisamment isolé pour enfin baiser comme il se doit.
Sur le chemin, on ne s’adressait pas un mot. Je savais qu’on avait tous les deux le même objectif, qui nous avait transformés en scanner sur pattes. On était à l’affût, comme des chasseurs en quête du poste idéal, de la ligne de mire parfaite. On se tenait les bras, à la limite de se les arracher. À ce moment, nous n’étions plus nous-mêmes, de véritables animaux, affamés de cul. Il était clairement difficile de trouver un endroit couvert. Le parc était plat, aucun relief, aucun abri particulier. Croyez-moi, notre envie était si puissante, qu’on a fini par trouver le lieu qui allait recevoir notre baise.
L’amour des plantes
À cet endroit, il y avait une espèce de parcours. Comme un jardin de plantes, il y avait des petits abris qui ressemblaient à des huttes, dans lesquelles on pouvait s’arrêter et observer les plantes aux alentours. Évidement, les plantes étaient le cadet de nos soucis, on n’en avait strictement rien à faire ! On s’est enfoncés dans cet abri pour baiser, enfin ! Mais en y repensant, nous n’étions pas plus couvert qu’avant dans cette hutte. Les gens circulaient sur le parcours, contemplaient les plantes, se baladaient, passaient une après-midi en famille, en couple ou je ne sais quoi. En clair, à n’importe quel instant quelqu’un pouvait tomber sur deux affamés de cul, qui s’envoient en l’air dans un lieu public.
Mais bref, revenons à nos moutons. À peine arrivés dans cette cabane de fortune, je m’étais empressée de descendre mon short. La bite de mon chéri répondait toujours présente, si ce n’est plus. J’ai attrapé deux branches qui faisaient partie des fondations de la cabane, je lui ai tourné le dos, pour qu’il me prenne par-derrière. Alors qu’il me martelait à coups de reins intenses et que je m’accrochais à ces deux branches, quelqu’un est arrivé au loin. On s’est empressés de se rhabiller en vitesse et faire mine d’observer les plantes environnantes, pendant deux minutes.
Une fois l’inconnu parti, nous nous sommes à nouveau déshabillés, pour reprendre notre affaire. Je me suis de nouveau agrippée à mes deux branches, me mordant les lèvres pour ne pas gémir ou hurler mon plaisir, aux risques que quelqu’un nous surprenne. Après plusieurs minutes de baise intense, d’extase et d’excitation extrême, mon chéri a éjaculé en moi et j’ai joui au même moment. Remplie de foutre, les yeux pétillants et détendus comme il n’est pas permis, nous nous sommes rhabillés. En sortant de notre cabane de plaisir, nous avons évidemment fait mine de rien. Les seules choses qui pouvaient éventuellement nous trahir à ce moment, étaient nos visages hébétés par la force du moment et nos démarches complètement nonchalantes, quasi stone.
On adore se remémorer ce moment, encore aujourd’hui. Ce qui me fait tout particulièrement rire, c’est qu’après ça, on est directement rentré à l’appartement. Au final, je n’ai absolument pas visité ce jardin. Je serais incapable de le décrire ou de citer ce qu’il s’y trouve, en dehors des deux bancs et de cette hutte, qui conservent les souvenirs de notre baise mémorable. Au-delà du fait qu’avec mon chéri, nous étions (et nous sommes toujours) dans une osmose sexuelle totale, ce qui a rendu ce moment si fort, c’était la peur d’être surpris. Mais cette peur a accentué, voire multipliée par 100 l’excitation, au point de nous transformer en animaux assoiffés de sexe. C’était une pulsion aussi bestiale qu’amoureuse. Sans même se parler, on s’était compris et on est parvenu à assouvir ce besoin qui nous rongeait.
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