Dominée par un agent immobilier

La rédaction 4 juillet 2025

Elodie, 38 ans, est en plein divorce. Elle se fera dominer comme elle aime par un ténébreux agent immobilier, qui va lui faire voir toutes les couleurs !

Elodie nous fait part de son histoire de sexe amateur avec un mystérieux et ténébreux F.

Je m’appelle Élodie, j’ai trente-huit ans et je suis lectrice assidue d’interstron.ru depuis mes années fac. Aujourd’hui, je veux vous raconter une histoire de sexe qui a marqué ma vie, une parenthèse charnelle et inoubliable au milieu du chaos de ma vie d’alors.

Rencontre avec F.

C’était il y a deux ans. Je traversais une période sombre : un divorce difficile, des émotions à fleur de peau et la lourde gestion de mon agence immobilière à Lyon. Entre les avocats et les rendez-vous professionnels, je n’avais plus une minute pour moi.

Mais un jour, F. m’a appelée : père de famille en plein divorce, il voulait vendre la maison familiale et avait trouvé mon contact en ligne. Certes, je m’occupais surtout de biens d’exception, pas de maisons comme la sienne, mais “Mon agence était la meilleure”, m’a-t-il dit. Ce compliment soudain m’a décidée à visiter son bien.

Lorsque je suis arrivée, j’ai clairement vu que la maison n’était pas dans ma gamme… Contrairement à F., avec ses beaux yeux noirs, son air un peu triste et sa voix grave. Il m’a serré la main et j’ai senti comme de l’électricité. Nous avons fait le tour du propriétaire en évoquant spontanément nos situations familiales respectives.

Moi qui ne fendais jamais l’armure, ça m’a fait un bien fou de dire du mal de mon mari et de son salaud d’avocat. F. m’écoutait en souriant, ajoutant des petites anecdotes sur son parcours d’une façon sincère et drôle. J’ai senti une vraie complicité naître entre nous.

Mais mon téléphone m’a sortie de ce doux moment : le lycée de ma fille m’avertissait qu’elle était malade et que je devais aller la chercher. J’ai pesté contre son père, encore injoignable et qui me laissait tout gérer. Puis j’ai salué F. avant de filer, non sans avoir fixé une autre visite le lendemain. 

Un homme très dominant

Pourquoi suis-je arrivée chez lui toute pomponnée ? Sans doute parce que notre rencontre de la veille m’avait laissé un sentiment d’inachevé, tout comme le “hâte de vous revoir” de F. Il m’a accueillie un peu surpris par ma tenue. Lui portait une chemise légèrement passée et un vieux jean, alors que j’étais en robe noire, mi-chic, mi-sexy. Son regard dans lequel je lisais un certain désir m’a rendu toute chose…

Nous avons à nouveau parcouru la maison, en prenant le temps cette fois. Arrivée dans le salon, j’ai voulu quitter ma veste. J’avais chaud, je me sentais étrangement agitée…

F. m’a aidée à l’enlever et j’ai senti son souffle dans mon cou. Le temps s’est comme arrêté et, lentement, j’ai penché la tête sur le côté. Mon hôte a déposé un premier baiser timide, puis un second, plus appuyé…

Je me suis retournée, découvrant ses yeux noirs, brillants d’envie. Je n’ai pas pu résister : nous nous sommes embrassés fougueusement. Nos lèvres tremblaient, nos doigts tentaient maladroitement de défaire nos vêtements…

En découvrant la lingerie sous mon chemisier, F. a eu l’air du loup de Tex Avery. Tant de désir m’a fait décoller. Je me suis assise sur le canapé, mains dans le dos, et je lui ai lancé en le regardant droit dans les yeux : « Donne-moi ta queue ». 

Les mâchoires serrées, F. s’est avancé vers moi et s’est exécuté. Son membre sentait l’homme et était dur comme du bois… Rien à voir avec mon mari que je quittais ! Très vite, F. s’est montré dominant. Je crois que je n’attendais que ça… Enfin, quelqu’un d’autre que moi prenait les choses en main !

Se faire prendre dans toutes les pièces

Il a glissé ses doigts dans mes cheveux et m’a fait faire des allers et retours profonds sur son sexe, que j’encaissais avec un plaisir évident.

Mais F. en voulait plus. Alors il m’a entraînée dans unedes chambres. Là, il m’a poussée sur le lit avant de me dévorer de baisers. Chaque centimètre de ma peau était en feu, je le suppliais de me prendre, mais il a fait durer cette divine torture jusqu’à ce que je m’empare de son sexe turgescent.

Là, F. n’a plus eu le choix que de me pénétrer et j’ai joui d’un coup, au bord des larmes, car je n’avais rien ressenti de tel depuis des années, 

F., lui, n’avait pas fini. Il m’a entraînée dans une autre pièce pour me placer sur une petite banquette collée contre un mur. Là, en levrette, il n’a eu qu’à se servir. J’ai écarté mon antre et je l’ai laissé me prendre jusqu’à plus soif. Le second orgasme m’a tellement terrassée que je n’ai même pas senti qu’il jouissait à son tour…

Quelques jours plus tard, F. et moi avons échangé par SMS et nous avons décidé qu’il valait mieux qu’il passe par une autre agence. Je lui ai recommandé un confrère, qui a vendu sa maison à un bon prix. Nous savions tous les deux que nous devions nous retrouver seuls avant d’envisager une nouvelle relation.

Reste que F. m’a redonné l’étincelle de vie dont j’avais tant besoin à l’époque. Depuis, elle ne m’a plus quittée.

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La rédaction


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