Alix, pour qu’elle revienne !

La rédaction 14 octobre 2024

Boris, 43 ans de Seine-Saint-Denis fantasme sur sa collègue bénévole. Lorsqu’il saute le pas Il découvre une femme chaude et exhib qui aime la levrette.

Je fais partie d’une association d’aide aux personnes précaires en Île-de-France, dans laquelle je suis bénévole. Nous avons un local avec un lieu de vie collectif où les personnes peuvent venir prendre un café, recevoir des conseils juridiques ou un accompagnement pour leurs démarches administratives. J’y suis très souvent, car j’aime me sentir utile auprès de ces gens. Mais si je suis tout à fait honnête, j’y vais aussi parce qu’il y a une certaine Alix, trentenaire, blonde, au look rock’n’ roll, cheveux courts et blousons de cuir, qui fait bondir mon cœur à chaque fois que je la vois. Nous nous voyons souvent pour les permanences, car je m’arrange pour en faire au même moment qu’elle. Nous discutons, nous rigolons, et à chaque fois que son regard croise le mien, je dois admettre que je me sens flancher tant elle me fait de l’effet. Par chance, j’ai pu vivre une super histoire de sexe amateur en sa compagnie.

Une mise en bouche tout en profondeur

La scène que je vais vous raconter se passe lors d’un moment qui, en temps normal, n’aurait absolument rien de glamour, à l’occasion d’un week-end de ménage de notre local qui est effectué par les bénévoles eux-mêmes. Nous nous sommes retrouvés tous les deux, là encore pas tout à fait par hasard, à passer l’après-midi ensemble pour tout récurer de fond en comble. Elle portait un legging et un haut moulant. J’aimais regarder son corps en douce, en train de récurer les sols. Nous avons fait le ménage côte-à-côte tout en bavardant. Je sentais qu’elle non plus n’était pas insensible à ma présence. À la fin, nous étions rincés, sales et collants, affalés dans le coin salon du local. Je n’avais pas envie de la quitter, j’aurais voulu rester auprès d’elle, à discuter et à sentir sa légère odeur de transpiration, toute la nuit encore. C’est alors qu’elle a pris ma main dans la sienne. Ce simple geste m’a procuré une sensation de chaleur qui m’a parcouru tout le corps, jusqu’à la racine des cheveux. « Je crois qu’on a envie de la même chose, toi et moi. Qu’en penses-tu ? » a-t-elle demandé. Je me suis penché sur son visage pour déposer un baiser sur sa bouche en guise de réponse.

Un courant électrique a traversé la peau de nos lèvres et nos corps se sont instinctivement rassemblés pour se blottir dans la chaleur de l’autre. « Je veux te voir en entier », a-t-elle exigé. Ça ne m’est pas souvent arrivé qu’une femme me déshabille, mais Alix, elle, a pris le temps d’enlever mes vêtements un par un, embrassant mon torse, caressant mon dos, mes épaules. C’était tendre. Elle a enlevé mon caleçon et a caressé mes fesses, pas directement ma queue, ce qui a eu un effet bœuf sur mon excitation. Je l’ai déshabillée à mon tour, embrassant chaque carré de peau dévoilé. Quand elle a vu l’effet qu’elle me faisait, elle m’a fait m’allonger sur la banquette du local et s’est approchée de ma queue. Elle a pris dans sa bouche mon gland qu’elle a enduit de salive et s’est mise à réveiller chaque parcelle de mon membre par de petits coups de langue légers comme des plumes. Puis elle a pris tout mon sexe en gorge, profonde, bien loin, jusqu’à ce que mon membre disparaisse presque entièrement dans son visage. C’était si beau à regarder que j’ai voulu prendre des photos de cette beauté. Je lui ai demandé et elle a accepté bien volontiers, car elle aimait susciter chez moi ce désir de possession d’elle – jusque dans le fait de graver ce moment sur une image.

Mon amante exhibitionniste

J’ai imprimé dans la mémoire de mon cerveau, et celle de mon téléphone, son visage si doux en train de me pomper. On a continué le petit jeu des photos et je l’ai photographiée, nue, au milieu du local. Ce n’était pas très catholique, comme manière de conclure le week-end ménage, mais qu’importe, nous avions fini notre tâche et pouvions nous adonner à d’autres occupations plus stimulantes… Alix, que je découvrais vraiment exhibitionniste, s’est couchée sur le canapé pour être prise en photo alors qu’elle écartait les jambes et me montrait ses seins, son entrecuisse, sa chatte ourlée, ses petites et grandes lèvres, sa fente légèrement ouverte et luisante de désir. La splendeur de son corps m’était offerte, sans plus aucun artifice, rien que pour moi…

N’y tenant plus, j’ai enfilé une capote, j’ai écarté son string pour la prendre en levrette sur le canapé du local. Elle s’y est installée à quatre pattes, cambrant les reins, docile et féline à la fois. J’ai posé une main sur son cul pour mieux me diriger en elle, prenant encore quelques photos de notre fusion sensuelle. J’ai glissé dans sa chatte, la prenant langoureusement, essayant de faire de cette levrette un moment de douceur plutôt qu’un truc brutal. La pénétration douce, sensible, progressive, a fait vibrer son périnée très fortement autour de ma virilité. Je l’ai senti se resserrer et s’affoler, au moment où elle se cambrait dans un râle orgasmique final. Un week-end ménage n’avait jamais eu pour moi plus douce saveur…

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