Ma DRH est une domina !

La rédaction 24 mars 2020

Hélène, 28 ans, doit revenir à son bureau pour accomplir une mission urgente. Elle va alors découvrir la face cachée de sa DRH qui pratique l’art de la domination quand l’open space est vide…

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Bonjour les interstron.ruistes !

Je m’appelle Hélène (oui, je sais !) et j’ai découvert interstron.ru car mon père lisait LA revue fétiche qu’il pensait bien cacher derrière sa collection de la Pléiade dans sa bibliothèque ! C’était sans compter ma sagacité et ma curiosité ! J’ai, depuis, appris que ma mère le lisait au lit avec mon père avant qu’ils ne s’envoient gaiement en l’air ! Bon, ne parlons plus de la sexualité de mes géniteurs mais plutôt de la mienne si vous le voulez bien !

Jamais je ne me serais imaginée ne serait-ce qu’un instant vous écrire une de mes aventures et je vous préviens, ça ressemble à un film de cul mais cela m’est réellement arrivé ! Une histoire de fou ! Enfin, de fouS pour être précise !

Je suis célibataire, j’ai 28 ans, je travaille pour une boite de com’ à la Défense. Pour me décrire je suis grande (un mètre quatre-vingt), rousse avec une taille de guêpe, un petit trente-six surmonté par une paire de seins qui ne laissent personne indifférent d’autant que je suis adepte des soutien-gorge pigeonnant et des décolletés … incendiaires ! Je suis hétéro jusqu’au bout du clito et je papillonne au gré de mes envies, ce ne sont pas les occasions qui manquent !

Le confinement m’est tombé dessus comme tout le monde et en tant que célibataire, côté sexe, c’est la punition extrême ! J’adore baiser, je ne m’en cache pas et là, je vois la limite de mes sextoys !

Avant-hier matin mon boss m’appelle, je suis en télétravail à l’heure actuelle, et il me demande de passer au bureau. Plusieurs choses requéraient ma présence et je vous avoue que cette sortie (avec justificatif de déplacement dument remplie) a été une bulle d’air ! Je n’imaginais pas à quel point !

J’ai donc enfourché mon vélo et me suis rendue jusqu’à mon bureau. La route était déserte, le parvis de la Défense aussi. J’ai badgé et je suis monté directement à mon étage. Là j’ai gagné mon bureau et j’ai commencé à faire ce que mon boss m’avait demandé.

Pour finaliser mon dossier j’ai eu besoin d’aller faire des photocopies, l’ambiance désertique des locaux avait quelque chose de surréaliste, le silence qui régnait était étrange. J’ai lancé les photocopies, le ronron de la machine a empli la pièce, j’ai pris la liasse chaude entre mes mains, c’est là que j’ai entendu du bruit dans la salle de réinterstron.ru juste derrière.

J’ai frissonné de peur puis je me suis ressaisie, personne ne pouvait avoir accès à nos locaux sécurisés, ça devait donc être quelqu’un de la boîte, au pire la société de ménage. Mais j’ai quand même tendu l’oreille et il m’est apparu de plus en plus clairement qu’on ne vidait pas les poubelles ! On gémit rarement en faisant la poussière !

Je me suis glissée dans le couloir et me suis rapproché de la porte. Charles, un type de l’équipe marketing était de face et une tête blonde allait et venait entre ses jambes, pas besoin d’être Nostradamus pour deviner que la demoiselle était en train de lui tailler une pipe !

J’ai commencé à ressentir des fourmillements dans mon bas ventre, je ne pouvais pas détacher mon regard du métronome qui montait et descendait en rythme, je ne voyais rien d’autre et je me suis penchée pour essayer de voir la queue de Charles. Evidemment, avec mon adresse légendaire, j’ai lâché mon paquet de feuille qui s’est écrasé par terre dans un fracas léger mais néanmoins tout à fait audible dans ce silence de mort !

Ni une ni deux, la tête s’est détachée de la bite qu’elle suçait, s’est retournée ! Du coup mon vœux a été exaucé, j’ai découvert le chibre de dingue de mon collègue et la tête de Sylviane, notre DRH !

Son corsage était ouvert aussi grand que ses yeux tant elle a été surprise … d’être surprise !

J’étais pétrifiée mais gaulée pour gaulée … je ne me suis pas démontée et j’ai poussé la porte !

« On peut se joindre à la fête !? »

Que vouliez-vous qu’ils disent !? Les deux sont mariés et lorsque j’ai vu le regard carnassier de Sylviane j’ai su que c’était gagné … et dans le même temps un frisson m’a parcourue … cela voulait dire que …

Vous avez deviné ! C’est elle qui menait la danse, elle s’est approchée de moi, m’a tourné autour comme une lionne avant l’halali de sa proie … j’en avais la chair de poule. Ses seins étaient superbes, jaillissant du chemisier écartelé, mappemondes d’albâtre surmontées de deux corolles brunes aux tétons gigantesques ! Elle s’est léché les lèvres, son regard de salope m’a traversé les entrailles. Elle s’est penchée vers moi et pour la première fois de ma vie j’ai embrassé la bouche d’une femme. Elle était douce et pulpeuse, comme un fruit mûr. J’ai fermé les yeux et me suis laissée envahir par cette délicieuse sensation totalement nouvelle pour moi. Elle a déboutonné mon chemisier, je ne portais pas de soutif, mes seins se sont retrouvés contre les siens. Opulente sensation que ces coussins de chair s’écrasant les uns contre les autres … Je bandais et je sentais ses propres bouts de seins agacer les miens.

Sylviane a claqué des doigts, je n’en revenais pas, Charles lui obéissait au doigt et à l’œil ! Encore plus fou, il nous a rejoint à quatre pattes ! J’étais dans la quatrième dimension !

Il s’est rapproché de nous, Sylviane a stoppé notre baiser, il émanait d’elle une autorité naturelle, moi qui suis généralement à l’initiative, j’ai compris que je devais suivre, c’est elle qui menait la danse.

Elle m’a déshabillée entièrement, m’a de nouveau tourné autour en me toisant comme une marchandise, je me sentais pute, une esclave sexuelle qu’on jaugeait, une vulgaire pouliche à faire saillir et j’adorais ça ! Je me suis mise à mouiller comme une folle, ma cyprine dégoulinait sur mes cuisses tant je trouvais la situation excitante.

« Lèche lui les pieds » a-t-elle lancé, sèche, directive, impérieuse.

Charles s’est avancé vers moi et, toujours à quatre pattes, s’est mis à lécher mes pieds. Sylviane m’a invitée à lever une jambe et à poser mon autre pied sur une chaise, ma chatte s’est ainsi retrouvée accessible, elle a glissé une main entre mes cuisses !

« Notre invitée surprise est mouillée comme la petite chaudasse qu’elle est ! »

Et sans prévenir elle a abattu sa main sur mon cul en une claque retentissante ! J’ai sursauté, le feu m’est monté aux joues. J’avais toujours rêvé de m’essayer aux jeux de soumission et bien voilà ! J’étais au pied du mur !

La fessée s’est prolongée, les coups pleuvaient, je sentais mon cul chauffer et ma chatte gonfler à mesure de ce traitement.

Puis cela s’est arrêté. Le calme après la tempête, la main s’est faite soyeuse, caressante, enrobant mes globes avec beaucoup de tendresse, un sourire s’est esquissé chez mon « bourreau ».

« Allonge-toi sur la table ! »

Je suis montée sur la surface dure et froide et ai obéi.

« Charles, mon ami, que diriez-vous si cette jouvencelle vous suçait tandis que je m’occupe de son con baveux ? »

Charles ne demandait pas mieux et est monté me rejoindre, prenant une posture acrobatique afin de me présenter sa bite au prépuce épais mais retroussé, lui aussi mouillait d’excitation, de belle gouttes translucides perlaient à son gland et tombaient en dessinant de jolis fil poisseux dans l’air. J’ai attrapé l’une d’elle est suis remontée à la source, je me suis mise à sucer la queue de mon collègue avec gourmandise tandis que Sylviane venait me bouffer la chatte en mode « experte » ! La salope, elle ne devait pas en être à son premier cunni ! Elle me léchait la fente sur toute sa longueur, venait butiner mon petit trou avant de remonter et faire vibrer sa langue sur mon clito ! Pendant ce temps j’aspirais les couilles de Charles et avalait son chibre aussi loin que je pouvais !

« Charles ! Les pinces ! Apprenons à cette oie blanche à ne pas venir fouiner là où il ne faut pas ! »

Mon collègue a enlevé sa chemise et j’ai vu deux espèces de pinces crocodiles sur ses tétons, il les a retirées en grimaçant et le métal chaud est venu mordre mes propres bouts de seins. Désagréable au départ, j’ai senti une chaleur bienfaitrice envahir mes aréoles puis tout mon corps.

Sylviane s’est alors reculée, elle a ordonné à Charles de me baiser et est montée debout sur la table de réunion, elle s’est accroupie et a écrasé son sexe aux nymphes exubérantes sur ma bouche. Elle laissait son poids exercé une pression démente sur moi, ma bouche a été envahie par cette chair gluante, j’ai eu un haut le cœur, elle sentait fort le sexe de femme, de brune …

« Lèche-moi petite pute ! »

J’ai sorti une langue timide, trop …

« Mieux que ça » et elle s’est laissée encore un peu plus aller sur mon visage, son anus était désormais collé à mes narines, elle sentait le cul, le désir brut, animal … quelque chose a craqué dans mon esprit, un barrage s’est envolé et je suis mise à la lécher, à lui manger l’abricot et l’oignon !

Elle a alors rétroversé son bassin et s’est mise à frotter frénétiquement son clitoris sur mon menton en poussant des petits cris d’animal en chaleur !

« Maintenant Charles ! »

Leur petit numéro était bien rôdé, Charles s’est arrêté de me limer … il est monté sur la table, s’est branlé comme un malade et a craché son foutre crémeux dans la bouche de Sylviane.

Elle n’a pas avalé, elle s’est penchée au-dessus de mon visage et m’a attrapé les joues d’une main ferme, m’obligeant à ouvrir la bouche, j’ai vu le filet de sperme et de salive tomber lentement pour finir par m’emplir le palais ! J’ai tout avalé et j’ai adoré ça !

Pour finir, Sylviane est revenue entre mes cuisses pour me libérer tandis que Charles se masturbait de nouveau, j’ai joui dans un long cri de délivrance et Charles a lâché une deuxième giclette sur la table.

Je suis ressortie de là bouleversée, les jambes et la chatte en compote, j’ai eu du mal à revenir chez moi en vélo mais j’avoue que m’être remise en selle de la sorte était des plus jouissif !

Je suis rentrée et depuis, comme les actrices un peu délaissées par le septième art, j’attends un nouvel appel de mon boss … mais qui sait … c’est peut-être la DRH qui me convoquera à un entretien …

(Image à la une : Getty Images)

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Travailler avec hardeur

« Quand j’ai senti qu’elle mouillait assez, je l’ai allongée par terre, sur le tapis de bain. Elle souriait et faisait la belle, sans savoir ce qui l’attendait. Elle a vite compris quand je lui ai enfoncé mon gourdin. J’ai cru que ses yeux allaient lui sortir des orbites… Il faut dire que ce n’est pas évident à encaisser, 26 centimètres de bite de hardeur ! » Léo, 45 ans.

Grosses caresses au travail

« À partir de là, nos échanges sont devenus de plus en plus chauds : c’était carrément des sextos bien crus. J’avais envie de sentir sa queue dans ma bouche, de la sucer, de la branler. Ne tenant plus, j’ai donc décidé de fermer l’agence afin de m’isoler dans le vestiaire. Là, j’ai pris mon minou en photo et j’en ai profité pour me caresser au passage. J’étais trempée et je me suis laissée aller à m’imaginer me faisant baiser. Mes doigts glissaient à souhait sur mon clito bien gonflé, je les entrais et sortais de plus en plus vite. »Aurélie, 31 ans.

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