Convoqué chez la RH

La rédaction 18 novembre 2020

Pascal, 47 ans, fantasme sur sa RH : tous les moyens sont bons pour aller la voir dans son bureau. Un soir, elle lui demande de la rejoindre plus tard…

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Christina de la RH était le genre de femmes que chaque homme aurait rêvé de posséder au moins un jour. C’était une brune, bien piquante, qui s’habillait tous les jours de façon très provocante. Une fois c’était le décolleté super généreux, le lendemain des talons qui marquaient chacun de ses pas, le surlendemain, la jupe qui remontait de façon espiègle sur le haut de ses cuisses…

Elle plaisait aux hommes, elle le savait, elle n’était pas dans les ressources humaines pour rien. Moi j’étais commercial, et très vite on s’est rapproché suite à une évolution de mon poste. J’étais fourré plusieurs fois par semaine dans son bureau pour négocier, renégocier les salaires, le variable, le brut, les contraintes juridiques, les problèmes de concurrence…

Elle maîtrisait tous les enjeux des salariés sur la pointe des doigts, et vraiment, elle m’épatait. Mais le mieux, c’est qu’elle me répondait en frottant négligemment son pied, souvent enfermé dans une chaussure de belle confection, contre la toile de mon pantalon de costume.

Je ne pouvais pas me rendre à son bureau sans avoir la gaule dès l’ascenseur en pensant à notre entretien. Et je faisais parfois exprès de ne pas poser toutes les questions que j’avais à lui poser, pour en garder sous le coude et lui envoyer un mail totalement innocent.

A la suite d’un nouveau mails de ma part, elle m’a répondu qu’elle était vraiment sur des urgences mais qu’elle était prête à me recevoir vers 20h, si j’acceptais de rester travailler aussi tard. A 19h, les badges arrêtent de fonctionner et il n’y a plus personne dans les locaux, j’ai senti l’entourloupe à plein nez.

Je suis resté tranquille dans mon bureau jusqu’à 19h30, et, fébrile, je suis passé à la douche de la boîte avant d’aller la voir. Elle m’attendait, cuisses croisées, sourcils remontés, sourire en coin.

Elle m’a accueilli en me disant : « Alors, ce changement de poste vous pose BEAUCOUP de questions à ce que je vois ? Vous savez que normalement en un mail c’est terminé avec la plupart de vos collaborateurs ? Je peux savoir pourquoi vous me harcelez comme ça ? » Je ne savais pas si elle était sérieuse ou si elle déconnait, et, sachant qu’elle connaissait mieux que moi les règles juridiques sur le harcèlement je me suis mis à regarder bêtement mes chaussures.

Elle a alors éclaté d’un grand rire clair et m’a dit : « Mais je sais bien que je vous plais Pascal enfin ! » « Je vous fais marcher ! » Pfff, les nanas de nos jours sont très difficiles à comprendre. Et ce faisant, elle s’est approchée de moi, alors que je tremblais encore de peur d’avoir fais une connerie.

Elle a passé une mèche de mes cheveux derrière mon oreille. « Avouez… qu’est-ce que vous rêviez de me faire quand vous veniez dans mon bureau ? » Je n’ai rien dit ! Rien dit ! Je n’arrivais plus à parler, elle m’intimidait beaucoup trop. J’avais bien sûr mille et un fantasmes en tête mais j’avais très peur de sa réaction si un seul franchissait le seuil de ma bouche.

Nan, il valait mieux que je garde toutes les perversités pour moi.

Elle m’a emmené dans la salle de pause qui n’est pas très loin de son bureau, là où l’on peut faire une sieste parfois. Elle a pris soin de fermer les rideaux et m’a regardé comme une petite proie. Elle m’a déshabillé, très lentement, et je caressais doucement les courbes sensuelles de son corps en même temps.

Quand j’ai voulu moi-même dégrafer son chemiser, elle m’a donné une petite tape sur la main et s’est elle-même occupé de la chose. Sensuellement, en se tortillant telle une magnifique strip-teaseuse de cabaret. Elle avait un corps superbe, ses seins, son ventre, sa chevelure de lionne, tout appelait à un désir primaire. Viscéral.

Bref, elle me faisait beaucoup d’effet ! Heureusement, elle ne m’a pas fait perdre tous mes moyens et je brandissant une belle érection. Elle a pris mon sexe en bouche, puis, en s’approchant de mon oreille, m’a dit « Vous savez, ma spécialité, c’est la branlette espagnole ! Avec une poitrine généreuse comme la mienne, c’est ce que je fais de mieux… »

Et ce disant, elle a fait ce que tout homme rêverait qu’une femme lui fasse en secret, elle a comprimé ses deux seins sur mon sexe, en branlant bien fort ma tige. Je la regardais s’activer sur mon entrejambe comme un merveilleux spectacle. La pression n’était pas très forte, mais voir qu’elle y prenait beaucoup de plaisir, m’a terriblement excité ! J’étais comme un dingue. Ses jeux de regards me faisaient aussi beaucoup d’effet.

Puis elle est carrément venue s’empaler sur moi. Elle a pris quelques photos d’elle, en selfie, pour « garder une preuve devant la justice » et à nouveau, j’ai eu peur qu’elle ne soit sérieuse deux minutes. Mais elle a encore éclaté de rire et s’est activée de plus en plus fort sur mon sexe bien bandant.

Elle a failli me faire jouir en elle, mais heureusement, je me suis retiré à temps, de peur qu’elle ne me réclame, en plus des dommages et intérêts de mon soit-disant harcèlement, une pension alimentaire salée.

Elle a joué un peu avec mon sperme, du bout des doigts, et, toujours aussi malicieuse m’a demandé : « Bon alors, ce contrat… je le fais signer définitivement par la hiérarchie ou vous avez encore d’autres questions ? » J’ai balbutié un « non » en reprenant mon souffle, à la fois choqué de ce qu’il venait de se passer et encore sous le coup de toutes les émotions agréables du sexe.

Et elle est retournée à son bureau, fière, triomphante.
Ah les femmes et le monde de l’entreprise ! Elles sont impitoyables !

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