Un bon coup de fouet
15 août 2020Yves, 43 ans, est architecte d’intérieur. Il craque pour une de ses clientes : elle va connaître sa première sodomie en cuisine.
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Je m’appelle Yves et je suis architecte d’intérieur. Comme je pratique des tarifs élevés, ma clientèle est chic et de bon goût. Comme cette épouse de chirurgien, femme au foyer oisive. Laura, 30 ans, de longues jambes qui passaient manifestement beaucoup de temps à la salle de sport et des yeux bleus qui disaient son ennui. Je me suis donc occupée d’elle.
Nous avons passé un mois à flirter lors de nos rendez-vous. Bien sûr, nous parlions de la future cuisine de la belle maison moderne qu’elle habitait avec son époux. Mais la conversation déviait immanquablement sur elle, le fait qu’elle avait arrêté ses études en prévision des enfants qu’ils auraient d’ici quelques temps, et puis ses journées interminables à attendre que son mari rentre. Il ne la touchait pas beaucoup, j’en étais sûr.
Elle portait pour me recevoir des jupes de plus en plus courtes. Une marque qui montrait encore un peu plus son envie. Et le plus est arrivé un vendredi. Les travaux avaient commencé et Laura avait voulu que je passe pour « vérifier le plan de travail », trop bas à son goût. Vu la facture finale, je lui devais bien ça… Et quand elle a ouvert la porte, moulée dans une robe noire incroyablement sexy, je me suis félicité de ne pas avoir traîné en route ! Elle m’a conduit dans la cuisine. Elle a déplacé les cartons de vaisselle et désigné le grand parallélépipède de béton ciré. Il était très beau et sa hauteur, parfaite. Elle s’est trouvée un peu bête alors, j’ai su qu’il fallait que je prenne la suite. Elle m’avait fait venir sous un prétexte idiot, à moi de lui montrer qu’elle avait bien fait… Je me suis approché d’elle et j’ai glissé ma main autour de sa taille. Quand j’ai plaqué Laura contre moi, elle a poussé un petit cri. Si ingénue, si charmante… À moi de faire ressortir la femme fatale en elle.
Pour commencer, je l’ai retournée et j’ai plaqué son ventre contre le plan de travail. Elle en a été soufflée. Puis, plus tendre, je me suis penché à son oreille. « Laura, je rêve de ton corps depuis la première seconde. Laisse-moi te montrer comme tu es séduisante… » Elle a gémi. J’ai alors pris tout mon temps pour rouler sa robe moulante au-dessus de ses hanches, dévoilant un string noir. Un contraste magnifique avec le cul blanc et bien rond de ma douce…
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Je me suis mis à genoux et j’ai fait glisser mes lèvres le long de sa jambe droite, ne lui faisant sentir que mon souffle chaud. En remontant jusqu’à ses fesses, j’ai vu sa peau se couvrir de chair de poule. Elle était mûre.
Son cul était trop beau. J’ai donc dardé ma langue et je suis venu trifouiller son petit anus. Elle avait un goût délicieux. J’ai exploré longuement son petit, allant cueillir parfois un peu plus bas une goutte de mouille qui perlait de sa petite chatte. Elle était salée comme une huître qui sort de l’eau…
Laura gémissait beaucoup et son cul s’était beaucoup élargi. Je suis remonté et je me suis serré contre elle. Toujours allongée sur le plan de travail froid, elle tremblait d’excitation.
Mon regard s’est posé sur quelques ustensiles qui traînaient là. Une cuillère de bois, un porte-couteau mais surtout, un fouet pour battre les œufs, au long manche métallisé. Je m’en suis saisi et j’ai vu changer le regard de Laura, celui d’une femme qui va explorer un nouvel aspect de sa sexualité.
Suivant la même tactique qu’un peu plus tôt, j’ai fait glisser le métal froid contre sa jambe, jusqu’à remonter entre ses cuisses. J’imaginais le contact glacé quand il est entré lentement dans le sexe de Laura, se couvrant d’un voile de mouille. Elle a poussé un long soupir. Puis j’ai positionné l’engin à l’orée de son cul bien blanc. Sa croupe a tremblé. Lentement, patiemment, je l’ai fait entrer centimètre par centimètre, jusqu’à ce qu’il disparaisse entièrement. Je pouvais tenir le fouet par sa tête, afin de maintenir la pression dans l’anus serré de la belle Laura.
C’est elle qui a demandé ma bite. J’ai sorti le fouet, qui a roulé sur le sol. Il était visqueux de son excitation. Mon sexe, bien plus large pourtant que l’ustensile de cuisine, l’a pénétré sans beaucoup d’effort. Laura s’est redressée et je l’ai enlacée, ma bouche cherchant la sienne pendant que je l’enculais gaiement. Un délice… Elle a fini par avoir un peu mal. Je me suis montré compréhensif et, quand elle s’est mise à genoux, je lui ai caressé tendrement les cheveux. Voir mon gourdin tout suintant entrer et sortir de ses lèvres roses, m’a fait un effet extraordinaire et la jouissance a suivi peu après. Laura m’a regardé dans les yeux à l’instant T, avalant bien gentiment.
Les travaux chez elle seront bientôt terminés. Mais l’avantage, c’est que Laura a encore de longues journées à passer seule. Je compte bien les occuper.