Mettre le gros paquet

La rédaction 18 août 2020

Aymeric, 26 ans, est très bien monté mais trop de filles ont peur de la taille de son membre. Jusqu’à ce qu’il rencontre Arbia, une adepte de la sodomie.

Je vous écris cette histoire de sexe en espérant que des hommes complexés retrouveront confiance en eux, comme je l’ai fait l’an passé.

Depuis que je suis ado, je suis gêné par la taille de mon sexe. Ma queue fait 23 cm de long et 15 cm de circonférence… À cause de ça, ma première copine refusait de me sucer et je n’avais jamais pu sodomiser mes partenaires parce qu’elles étaient effrayées. Bref, j’étais mal dans ma peau, jusqu’à ce que mon meilleur pote, Baptiste, me réconcilie avec ma bite.

On avait souvent des discussions sur le sujet. Baptiste ne comprenait pas pourquoi je ne baisais pas plus de filles. Selon lui, c’est parce que je choisissais toujours des bourges et des coincées du cul. Un samedi soir, alors que nous devions prendre l’apéro avant d’aller à une soirée, il s’est radiné avec une fille. Il m’a prévenu par SMS : « C’est une chaudasse et je lui ai tout raconté sur toi. » La « chaudasse » en question s’appelait Arbia. Quand j’ai ouvert la porte et que je l’ai vue au bras de Baptiste, j’ai tout de suite senti qu’elle était différente de mes petites amies habituelles. Les sourcils méga épilés, un piercing à la langue… On aurait dit une candidate de télé-réalité ! Et puis j’étais mal à l’aise de la situation. Qu’est-ce que mon pote lui avait dit sur moi ? Qu’est-ce qu’elle voulait ? J’ai pensé que mon pote allait rester boire un coup et faire les présentations, mais ce salaud s’est tiré en vitesse. Je me suis retrouvé seul avec Arbia.

Pour me détendre, je me suis servi un whisky. Arbia n’a rien voulu boire. Elle était plutôt du genre taiseuse et ça n’a fait qu’augmenter le malaise. En plus, elle restait debout dans le salon… Moi, j’ai fini par m’asseoir et j’ai repris un verre. C’est ce que la gueuse attendait. Toujours sans parler, elle a enlevé sa robe et ses chaussures. Je me suis ratatiné sur mon siège. Elle s’est avancée vers moi et a commencé à me masser le chibre à travers mon pantalon. J’avais beau être super gêné, impossible de ne pas bander, surtout quand elle s’est penchée vers moi et m’a mis sa langue dans la bouche. Elle emballait super bien.

Arbia m’a pris par la main et m’a embarqué vers la chambre. Clairement, mon pote l’avait briffée sur mon appart… et sur mon « handicap ». « Baptiste m’a parlé de ton engin, a-t-elle fait d’une voix grave. J’ai eu envie de vérifier par moi-même ». En deux secondes, je me suis retrouvé le froc par terre et la belle à mes genoux qui m’empoignait le dard. « Humm, pas mal ! a continué Arbia. Mais on peut faire mieux ». Elle s’est mise à me sucer et j’ai senti mon truc doubler de volume. La cochonne a gémi de satisfaction. Le contact de son piercing sur mon gland m’a tellement plu… C’était autre chose que les Marie-Chantal que je me faisais d’habitude !

Arbia m’a pompé longtemps. J’ai compris après coup qu’elle voulait que ça glisse. Parce qu’après la pipe, elle s’est allongée sur mon lit et m’a laissé me frotter contre son sexe, mais c’est une autre direction qu’elle avait en tête… Quand elle s’est mise en levrette et a écarté son cul avec ses deux mains, j’ai cru qu’elle voulait juste m’exciter. Mais elle m’a fait : « Vas-y, je suis habituée à en prendre des grosses par là ! » Cette coquine avait donc déjà eu une armada de chibres dans l’anus… L’idée aurait pu me déplaire, mais au contraire. Je l’ai imaginée en position, des mecs l’enchaînant les uns après les autres en mode gang-bang. J’étais le suivant !

Je me suis calé contre Arbia et j’ai laissé échapper un filet de bave de ma bouche sur son trou. Puis je suis entré. Juste le gland pour commencer. Mais la gueuse s’est reculée pour s’emmancher. Enthousiaste au début, elle a fini par sentir que j’étais mieux monté que les précédents. Mais vu qu’elle m’avait chauffé, il allait bien falloir qu’elle encaisse ! Je l’ai agrippée par les fesses et j’ai poussé. La chaudasse s’est mise à brailler. Allez, encore un effort… J’ai poussé encore et elle s’est effondrée sur le lit, vaincue. J’ai pu la défoncer comme je le souhaitais, pendant qu’elle hurlait la tête, dans l’oreiller. Au bout de 10 minutes, j’ai senti monter la purée. J’ai prévenu et elle s’est tortillée : elle n’était pas prête à ce que je lui gicle dans le cul.

Alors je me suis retiré et Arbia s’est mise sur le dos, la tête relevée grâce au coussin qu’elle venait de bouffer. J’ai trouvé ma place dans sa bouche et je l’ai déformée avec mon gros dard. J’y suis allé aussi fort que par derrière, profitant de la vision de ses yeux écarquillés par les coups de bites. Quand j’ai joui, j’ai cru qu’elle allait tout recracher, vu que je ne suis pas ressorti tout de suite. Mais elle a gardé le sperme en bouche, puis m’a fait admirer son piercing noyé par mes sécrétions.

Depuis, j’ai changé de type de filles : je ne prends plus que de la gourmande. Arbia fait partie de mes régulières. Mon meilleur plan sodo, pour lequel je peux remercier mon poto !

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