La salsa du démon

La rédaction 23 août 2020

Marianne, 41 ans, se rend à une soirée costumée. Le vampire va avoir raison d’elle et lui offrir une belle partie de jambes en l’air.

Je suis fan du magazine et j’ai eu envie de faire profiter les lecteurs de ma dernière histoire de sexe, qui a eu lieu à Halloween. C’est ma fête préférée. L’occasion de se déguiser de façon sexy sans que personne n’y trouve rien à y redire. Infirmière cochonne, sorcière coquine, zombie en lingerie… Je les ai toutes dans ma panoplie ! Cette année, j’ai opté pour une célébrité française : une animatrice télé aux cheveux courts. La touche en plus : des jarretelles très hot, qui dépassaient de ma mini-jupe. J’ai déboulé comme ça chez Armand et Corinne, deux copains de longues dates qui organisent toujours des fêtes géniales.

Mon costume a eu un succès fou : la trentaine d’invités a défilé pour avoir un selfie avec moi et frimer sur les réseaux sociaux, en prétendant passer la soirée avec une star du PAF. J’ai particulièrement tapé dans l’œil de Franck, un trentenaire beau gosse qui travaillait dans l’immobilier et s’était ramené en vampire. Au moment de faire sa photo, le polisson m’a carrément pincé les fesses ! J’ai ri en jouant la fille échaudée. Le vin coulait à flots et j’étais d’excellente humeur. Du coup, quand Franck m’a ramenée un verre et s’est mis à flirter avec moi, je n’ai pas pu m’empêcher de montrer mon intérêt. Et, flattée par les regards sans ambiguïté de ce jeunot sur mes bas sexy, je lui ai proposé de lui montrer « comment j’avais élaboré mon déguisement » dans la chambre de nos hôtes…

Nous avons filé en gloussant, personne ne nous remarquant dans la cohue de la fête. J’ai trouvé la chambre d’Armand et Corinne et j’ai cherché l’interrupteur à tâtons. À peine l’avais-je atteint que Franck se jetait sur moi et me mordillait dans le cou. Un vampire qui ne perdait pas une minute… Je l’ai repoussé en riant mais il s’est fait plus pressant, me murmurant des mots coquins à l’oreille. J’étais charmée, surtout que ses mains étaient déjà sur ma poitrine, pétrissant les bosses sous le tissu…

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Nous avons roulé sur le lit. J’ai caressé le torse de Franck et senti son cœur battre la chamade… Mais c’est quand j’ai atteint sa braguette que j’ai touché le plus intéressant : une grosse boule toute dure, qui ne demandait qu’à sortir. Nous avons enlevé nos vêtements en quatrième vitesse, libérant nos organes en folie. J’ai seulement gardé mes jarretelles qui faisaient tant d’effet à mon vampire…

Franck a baissé son caleçon et sa bite a jailli. Ravie, je l’ai prise dans ma main pour en apprécier la taille. Elle était longue mais plutôt fine. Un peu déçue, je l’ai quand même branlée de bon cœur pendant que le jeunot continuait à me mordiller le cou. Je mouillais déjà abondamment quand Frank s’est mis à faire des cercles du bout de ses doigts sur mon clitoris. Il savait si bien y faire que mes gémissements ont commencé à s’élever dans la chambre… J’espérais que les invités n’entendraient pas mes cris, mais quand un index habile est venu se nicher dans mon contrat juteux, je n’ai pas pu retenir un hurlement strident.

Mes miaulements ont beaucoup plu au vampire : j’ai senti sa baguette durcir encore dans la main. Alors j’ai écarté grand les cuisses pour l’inviter à pénétrer dans mon antre… D’un coup de reins, il m’a pénétrée. J’ai griffé son dos tout en lui mordillant l’oreille, l’appelant « mon cochon » et « baiseur de première ». Tout ça l’a passablement enhardi et j’ai profité des joies d’un labourage en règle !

Problème : sa queue était vraiment trop fine à mon goût et mes cris ont baissé peu à peu d’intensité, malgré le rythme soutenu… Qu’à cela ne tienne ! Frank a trouvé la solution, inédite pour moi, mais diablement efficace : en plus de son chibre, il a glissé son index dans ma fente, la remplissant totalement.

J’ai hululé de plus belle. Quel pied de se faire défoncer comme ça, dans le lit de mes amis ! Le vampire me pilonnait maintenant sans merci, enfilant sa baguette et son doigt à une vitesse dingue. J’ai tourné la tête pour mordre l’oreiller, mais le hurlement de mon orgasme a fendu l’air. Franck a beuglé à son tour, se répandant partout dans ma grotte et sur les draps. Nous étions grillés mais qu’importe : le plaisir était total.

Quand nous sommes revenus dans le salon, tout le monde se marrait. Un verre à la main, mon amie Corinne a demandé si j’avais été dévorée par une créature de la nuit pour crier ainsi. J’ai rougi et je me suis excusée pour les draps, mais elle était si pompette qu’elle n’a pas relevé. Frank et moi avons quitté la fête quelques minutes plus tard, lassés des quolibets de cette bande de frustrés. Nous avons fini la nuit chez lui et je peux te dire, cher interstron.ru, qu’il a eu d’autres idées sensationnelles pour me faire grimper au septième ciel !

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