Le body de ma femme

La rédaction 31 mai 2020

René, 65 ans

C’était le jour de la Saint-Valentin et j’avais envie de faire plaisir à ma femme. Nous avons tous les deux 65 ans et sommes ensemble depuis nos 20 ans, alors je voulais marquer le coup. Je suis allé dans une boutique de lingerie qu’elle aime beaucoup pour lui offrir un body en dentelle. Dans le magasin, vide car il était encore tôt, j’ai commencé à mettre le nez dans les froufrous féminins avec un plaisir non feint – j’aime beaucoup les univers feutrés de ces endroits où l’on pense à l’autre et où l’on a envie de (se) faire plaisir. Il y avait deux vendeuses très maquillées qui me regardaient à la dérobée en pouffant. Elles devaient se dire que j’étais un retraité joli-cœur, ou peut-être un pervers ? Mais je pense être suffisamment élégant pour passer plutôt pour un amant galant et un amateur de beaux tissus. Je suis encore bel homme pour mon âge. Les deux cocottes, qui devaient avoir la quarantaine, n’ont pas tardé à venir m’aborder. « On peut vous aider Monsieur ? » ont-elles minaudé en m’adressant un large sourire.

Elles commençaient à m’exciter avec leurs manières, à me mater des pieds à la tête. J’ai minaudé avec elle et dit que je cherchais des bodys. Elles ont sorti une sélection de pièces très fines et très belles. « Comment est votre femme ? » a demandé l’une d’elles. « Quelle est sa taille de poitrine ? » Je n’ai pas pu m’empêcher de mater sa poitrine à elle. « Elle est pulpeuse, elle est faite comme vous », ai-je dit. L’autre a rosi de plaisir. « Dans ce cas, je vais l’essayer pour elle », a-t-elle répondu, entraînant sa collègue. Les deux femmes sont allées dans la vaste cabine d’essayage et en sont ressorties vêtues toutes deux d’un simple body tendu sur leurs courbes. Elles ont encore rigolé en voyant poindre une bosse au niveau de mon pantalon – je bandais comme une bête affamée. « Vous croyez que ça lui ira ? » J’avais du mal à penser à ma femme devant ce spectacle alléchant. Je me suis dit qu’elle ne m’en voudrait pas, nous ne sommes pas exclusifs et je sais qu’elle s’amuse de son côté aussi. Guidé par ma queue, je me suis laissé faire quand la plus audacieuse s’est rapprochée de moi pour me coller sa poitrine sous le nez afin que je jauge les finitions de la dentelle. J’ai tendu la main qui s’est posée sur un sein. La belle a pris l’autre pour se la coller sur le deuxième nichon. L’autre s’est mise derrière moi et m’a poussé à l’intérieur de la cabine d’essayage.

Là, mes deux petites chaudasses, qui avaient déjà dû faire le coup car elles paraissaient synchronisées, se sont mises à me déboutonner et à sortir ma queue. Les deux nanas agenouillées se sont mises à la prendre en bouche à tour de rôle. L’une suçait doucement, suavement, et l’autre me pompait énergiquement. L’alternance des deux succions sur ma bite me faisait un effet délirant. Je sentais mon chibre gonfler de désir, prêt à éclater. La situation était incongrue, mais mes deux camarades de jeu menaient la danse. Elles m’ont couché à terre et pendant que l’une s’accroupissait sur mon visage pour que je la lèche, l’autre s’est empalée sur ma tige et s’est mise à me baiser en donnant des petits coups de reins secs pour faire frotter son clitoris sur moi et pour bien me sentir en elle. C’était fameux : j’avais à la fois ce goût salé sur la langue et le sexe baignant dans ce trou humide, dans un concert de gémissements.
Les filles m’utilisaient comme un sextoy, j’étais le client roi et, en même temps, c’était moi qui étais à leur service. Je me laissais faire avec bonheur – j’ai toujours aimé les femmes entreprenantes. Elles ont joui sur ma langue et ma queue de manière quasi simultanée. J’avais ces deux jouisseuses pendues à mes deux extrémités et c’était cosmique. Alors que j’étais toujours allongé, les deux se sont à nouveau acharnées sur mon membre et l’ont sucé et branlé jusqu’à ce que je m’abandonne et éjacule sur leurs bouches ouvertes et leurs poitrines. C’était un orgasme mémorable, j’étais dans un laisser-aller total. J’avais fait tomber le masque de la virilité active pour me faire utiliser comme une bite ambulante et j’avais aimé cela.

Mes petites copines avaient gardé leurs bodys qui étaient troués au niveau de la fente, et ils étaient trempés de sueur. Finalement, j’ai acheté le même modèle que portait celle qui m’avait baisé avec ses petits coups de reins, en souvenir de ce mémorable moment. Maintenant, à chaque fois que ma femme le porte, je suis particulièrement excité et moi seul sais pourquoi. C’est mon petit secret que je me fais une joie de partager avec tous les lectrices et lecteurs d’UNION.

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TRIO 974

« Je lui ai demandé de m’enculer sans tarder tellement j’en avais envie. Et d’une brusque poussée, elle m’a pénétrée. Les 18 cm se sont enfoncés dans mon cul. J’ai crié de plaisir et je l’ai suppliée de me ramoner. Cela devait plaire à Bernard car il bandait de nouveau. J’ai proposé de le sucer, il a fourré sa bite dans ma bouche. Béa me pistonnait le cul à grands coups de reins. » Frédéric, 55 ans.

UN DUO EN CADEAU

« … après de multiples va-et-vient, profonds et enveloppant, elle s’est décidée et c’est elle qui m’a baisé. Elle s’est cambrée, a gémi, soufflé… Je me concentrais pour éviter de jouir. Son parfum, ses parfums, les effluves de nos corps envahissaient la chambrE. » Jules, 26 ans.

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