L’occasion fait le larron
30 janvier 2025Théo, une de mes collègues, a tout d’un homo. Maniéré, serviable, jamais un mot ou un geste déplacé, bref, un amour ! Il vient dans mon bureau, m’apporte un mug de thé et entame une discussion sur un sujet lambda. Je sens bien qu’il tourne autour du pot, qu’il est mal à l’aise, qu’il cherche une occasion pour me dire la véritable raison de sa visite. Enfin, il me déballe son problème, il souhaite acheter un sextoy, mais n’ose se rendre dans un love store tout seul ! Je lui rappelle qu’internet existe, mais il veut « voir et toucher pour se rendre compte ». Voici mon histoire de sexe amateur.
Une fellation pour un collègue pas si gay
À la sortie du boulot, nous filons dans une enseigne spécialisée. Le choix fait, nous sortons du magasin et je le questionne sur ce qu’il va bien pouvoir faire avec un vibro, vu qu’il est gay !? Il explose de rire et me montre les photos de ses conquêtes féminines, aussi nombreuses que débridées ! Je ne lui laisse pas le temps de finir, c’est l’inondation dans ma culotte, je lui roule une pelle et l’entraîne chez moi. On arrache nos vêtements, je le suce, sa pine a un goût de fraise et de cerise, j’avale son sexe, il est mou, c’est une sensation agréable sur ma langue, comme un chewing-gum, doucement la queue se gorge de sang et de passion et elle devient toute dure et rigide entre mes lèvres. J’adore le ressenti, le lui dis, Théo me félicite pour mes talents de pipeuse et me demande où est la chambre.
Nous filons jusqu’au lit défait, j’ai honte, mais la nudité de nos corps et les désirs exacerbés font s’envoler tous les tracas. Le jouet que nous avons acheté ensemble finit par s’enfoncer dans la moiteur hospitalière de mon con ouvert pendant que Théo présente sa belle bite devant ma bouche avide de la recevoir à nouveau. Je suce sa jolie pine qu’il fait aller et venir pour que j’en savoure chaque parcelle, ses couilles butent contre ma joue, elles sont chaudes et je les sens pleines de jus, j’ai hâte de goûter son foutre, je l’anticipe sucré et abondant. Il pourrait me faire absolument tout ce qu’il veut, je suis sa chose pour l’heure, d’ailleurs c’est à cet instant qu’il extrait son portable de son jean posé sur l’oreiller et commence à me prendre en photo alors que je pompe voracement son pieu. J’accepte le défi, il m’a montré ses clichés tantôt, ce sont eux qui ont mis mon désir en marche, j’imagine déjà ses futures conquêtes mouiller en regardant les nôtres.
Fellation et femme fontaine
J’élargis plus grand la bouche, me force à une gorge profonde qui n’est vraiment pas ma tasse de thé, mais sa bite est relativement fine, pas trop longue, j’arrive à contenir les haut-le-cœur qui m’assaillent, Théo m’effleure les seins, il en fait rouler les pointes entre ses doigts, les étire, beaucoup, c’est terriblement sensuel et excitant. Il me donne bientôt ses bourses à lécher puis à gober, ses caresses ont abandonné ma poitrine et glisse lentement le long de mon nombril, en douces arabesques il atteint ma chatte glabre, il s’amuse sur mon mont de Vénus, frôle ma fente, agace mon clito avec légèreté, je suis tout ouverte pour lui, mouillée aussi. Ma cyprine coule et me chatouille, j’ai ses deux couilles dans la bouche quand il crispe deux doigts qu’ils m’enfoncent d’un coup au fond du vagin.
Je manque de m’étouffer, lui broies un peu les noix, mais il ne vacille pas et commence à labourer mon bas-ventre, index et majeur crochetant l’intérieur de cette serrure de chair, il y met une énergie et un rythme fou, je ne sais pas ce qu’il cherche à faire et soudainement, j’urine ! Ça sort de ma fente sans que je ne puisse rien y faire, c’est un ru inextinguible qui s’échappe et gorge les draps … je jouis comme jamais je n’ai joui ! Mais il n’arrête pas, j’ai comme une crampe qui me déchire le vagin, ça serre, ça se contracte, ça pulse … je suis au bout de ma vie, mon clitoris demande grâce alors qu’il n’a même pas été sollicité et, d’un coup, un véritable geyser est expulsé de mon méat, je crois m’évanouir, Théo lance un cri guttural et guerrier !
Il est venu, a vu et m’a vaincue, désormais par sa main à lui, je suis une femme fontaine ! Et dans quelles proportions ! Toute la couche sur laquelle nous sommes est trempée, imbibée, c’est une vraie marre dont le fond est creusé par mon propre cul, heureux de baigner dans ce jus chaud et réconfortant. Je ne sais même pas que j’ai crié et ai lacéré l’avant-bras de Théo tant mon orgasme a été olympien, je me jette sur la queue de Théo et le suce, le branle de toutes mes forces, il gicle fort sur mon visage, dans mon cou, sur ma langue ! J’avais raison, son sperme est sucré … je m’endors aussitôt.
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