Mentor et à travers

La rédaction 23 février 2021

Lorsqu’elle préparait le concours pour devenir prof, Camille, 26 ans se rapproche de son mentor. Les deux intellos finissent par coucher ensemble.

Bonjour tout le monde, je m’appelle Camille et j’ai 26 ans. Voici mon histoire de sexe.

En 2016, j’ai raté le CAPES de Français à quelques points près, et ce, malgré un travail intensif. L’an passé, j’ai décroché l’écrit mais quelques semaines avant l’oral, j’étais tout simplement morte de stress. Heureusement, j’ai pu compter sur Michel, mon prof de littérature comparée.

Michel a 42 ans et dès mon premier cours avec lui, je l’ai trouvé attirant. Grand, plutôt mince, j’aimais l’air intello conféré par ses lunettes rondes et ses cheveux en bataille. Pendant toute l’année, on avait beaucoup échangé, mais toujours en restant professionnels : j’étais une prof en devenir et lui, un prof qui m’inspirait. C’est pour ça que je me suis tournée vers lui. Un samedi après-midi, alors que mes notes se brouillaient devant mes yeux et que mon cœur s’emballait à la pensée des épreuves, j’ai appelé

Michel, qui nous avait laissé son contact à la fin de l’année scolaire :

« Ah, Camille ! », a-t-il fait. « Je pensais justement à vous. J’ai quelques sujets blancs à faire passer aux volontaires, vous voulez venir les chercher chez moi vers 16 h ? » J’ai tout de suite été rassérénée par sa voix. Et j’ai débarqué chez lui, non sans m’être dûment maquillée et parfumée. Je suis entrée et sentie comme chez moi tout de suite : son appart’ était simple, mais rempli de livres. Parfait pour une intello comme moi ! J’ai d’abord cru que nous allions passer au salon, mais le prof s’est dirigé vers sa chambre. « Mon bureau est là, ça sera plus simple », a-t-il dit d’un air dégagé. J’ai opiné.

L’oral blanc s’est très bien passé : je maîtrisais le sujet et plus l’entretien avançait, plus je sentais les idées fuser. Mais quand j’ai eu fini de parler, Michel a toussoté, puis a lancé : « Le fond est bon. Mais la forme… Vous êtes tendue comme une arbalète, Camille ! ». Là, il s’est levé et s’est placé derrière moi, pour me masser doucement la nuque. J’ai fermé les yeux et poussé un long soupir. Très lentement, le prof est passé à mes épaules, puis est descendu jusqu’à mes seins, qu’il a pétri avec envie. Son souffle chaud dans le creux de mon cou s’est transformé en baiser, sa langue remontant ensuite jusqu’à mon oreille. J’en ai frémi jusqu’aux orteils. N’y tenant plus, je me suis retournée sur ma chaise et nous nous sommes embrassés avec passion. Toute la tension a quitté mon corps au moment où nous nous sommes redressés pour enlever un a un nos vêtements, découvrant nos corps dans la lumière de la fin d’après-midi.

La peau de Michel était douce et ses gestes, précis. Nous nous sommes allongés sur son lit et d’une main rassurante, il m’a dirigée vers son sexe parfaitement érigé. J’ai plongé, oubliant les concours, mon stress et mes problèmes de confiance en moi. Je n’étais plus qu’une suceuse appliquée, profitant des soupirs de mon amant et me délectant du précum sur son gland. Puis, me sentant de plus en plus excitée, je suis passée de la position allongée à la levrette, tout en m’activant sur le beau chibre qu’on me présentait. Michel a profité que ma croupe était dressée pour entrer ses doigts en moi, préparant ma chatte à le recevoir…

J’ai cru plusieurs fois que j’allais jouir sous ses caresses, tant la position m’excitait. Mais le prof a fini par m’attraper par les hanches et m’asseoir sur le lit. D’un air gourmand, il m’a dit : « Touche-toi ». Ce que j’ai fait, pendant qu’il se paluchait énergiquement. J’ai tenu deux minutes, avant de me jeter à califourchon sur lui et de lui rouler une pelle de dingue. Pendant que ma langue se perdait en lui, j’ai senti qu’il dirigeait son sexe vers mon antre. Je n’ai eu qu’à me laisser tomber dessus, m’empalant avec délice.

Nos va-et-vient n’ont pas duré : nous étions tellement excités que très vite, nos cris de jouissance se sont mêlés, l’orgasme nous faisant décoller simultanément. J’ai senti le jus de Michel se répandre en moi, pendant qu’il gémissait : « Oh, Camille, oui ! », et j’ai contracté mon sexe pour en faire jaillir les dernières gouttes, avant de m’écrouler sur son torse.
Une fois qu’il a eu repris son souffle, Michel s’est levé pour nous préparer un thé. En enfilant ma culotte, j’ai senti le sperme couler entre mes lèvres. La sensation m’a tellement excitée que je me suis assise sur la chaise et que je me suis masturbée le clito… J’ai quitté mon prof, légère comme une bulle de savon. Trois semaines plus tard, j’ai décroché mon concours et toutes ses félicitations.

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