Une partie de pénis ?!

La rédaction 8 décembre 2022

Aude revient tout émoustillée de sa leçon de tennis avec son beau professeur dont elle ne cesse de vanter les charmes à Franck, son petit ami. Pleine d’appétit, la gourmande blondinette va profiter du manche XXL de Franck pour réviser tous les coups tennistiques dans les moindres détails. Allez, hop, on monte au filet !

Je suis rentrée de mon cours de tennis, les muscles fourbus et la sueur encore fraîche. Il faut dire que mon entraîneur aux yeux de braise m’avait fait courir de long en large sur tout le terrain, sans me laisser une seule minute de pause !

Quand je suis arrivée dans ma chambre pour me changer, Franck était encore plongé dans son livre, il ne l’avait pas quitté depuis que j’étais partie. C’était moi la sportive du couple, lui, la partie cérébrale.

Nous nous complétions à merveille, et depuis notre première rencontre, je n’ai cessé de voir notre relation comme une évidence.

Ravie de le retrouver, je lui ai alors sauté dans les bras, me collant amoureusement à son torse puissant, tout en lui racontant par le menu mon cours de tennis. La façon dont je réussissais de mieux en mieux le service. La position de mes pieds, de mes hanches, de mon bassin, sur la ligne de fond de cours. Mon revers, à deux mains, qui gagnait en puissance. Je ne sais pas pourquoi, mais mon intonation s’est faite plus grave, mes mots prenaient des doubles sens coquins à chacune de mes inspirations, et mon regard s’est fait plus joyeux au moment où j’ai évoqué les compliments et les encouragements de mon entraîneur.

Franck m’écoutait avec son petit sourire en coin, mon préféré, celui qui annonce souvent une partie de baise torride. Mon visage se rapprochait du sien au fur et à mesure de mon récit, jusqu’à ce que je sente ses doigts relever tout doucement les plis de ma jupe blanche.

Ça y était, en quelques secondes à peine, il venait de déclencher dans mon corps un désir irrépressible. Nous nous sommes alors embrassés, longuement, j’ai pris sa tête dans mes mains, comme je l’avais fait souvent auparavant et j’ai senti avec beaucoup de délectation ses cheveux courts résister aux caresses de la pulpe de mes doigts.

Il était coiffé à la militaire, la nuque dégagée, l’oreille en évidence, et j’adorais ça.

Après notre long baiser, Franck s’est attaqué à mon polo ; très lentement, il a soulevé le fin tissu et a dégagé mon ventre à l’air libre. J’avais envie que les choses aillent encore plus vite. Alors, d’un coup sec, j’ai fait valser mon haut je-ne-sais-où dans la chambre, et j’ai retiré son pantalon. Sa braguette m’a donné un peu de fil à retordre, mais j’en suis vite arrivée à bout. Son pénis bandait déjà bien fort et je me suis mise immédiatement à le sucer.

J’aimais commencer nos jeux sexuels par cette petite gourmandise, cet apéritif délicieux, cette façon de le goûter si intime qui me donne des frissons dans tout le corps. On dit souvent que la fellation, ce n’est agréable que pour celui qui se fait sucer. Mais je trouve ça totalement faux ! J’adore sentir sur ma langue, et collé à mon palais, le parfum salé et fort de mon Franck, pouvoir mesurer à l’ouverture de mes lèvres le diamètre de sa bandaison.

C’est un des trucs qui m’excite le plus… j’avais tellement envie de lui que j’ai osé lui demander un fantasme que je n’avais jamais encore expérimenté : la sodomie. « Et si tu t’occupais de mon petit trou pour une fois, chéri ? »

Franck m’a regardé comme si je lui avais demandé la lune (ce qui était le cas, d’ailleurs !). « Mais tu n’as pas peur d’avoir mal ? » m’a-t-il demandé, un peu inquiet.

« Non, bien sûr que non ! Je suis tellement excitée qu’il me semble que n’importe quelle partie de mon corps, si c’est avec toi, saura me donner du plaisir… » Surpris que je sois aussi directe, Franck a avancé un doigt près de mon anus. Il m’a complimenté sur ma souplesse, sur ma dilatation, sur ma lubrification, aussi.

« Tu as le cul tout trempé, ma chérie. C’est normal ? » Cela devait certainement être le fleuve de ma chatte qui débordait près du lac de mon cul. J’étais prête, et  je comptais bien enfin tester cette pratique sexuelle dont je lisais des louanges dans tous les magazines féminins.

Je sentais qu’aujourd’hui, après que mon corps se fut détendu par ma performance tennistique, c’était le bon jour ! Le doigt de Franck s’est fait de plus en plus insistant. Alors qu’au début il caressait simplement la tex-ture de mes petits plis, il a commencé à introduire en moi la première phalange et à la plier, comme un crochet. La sensation était folle : je ne m’attendais pas à recevoir du plaisir à l’entrée de mon cul, c’était très perturbant.

Son doigt a poursuivi par des allers-retours de plus en plus appuyés, de plus en plus précis.

Je ne pouvais pas retenir des petits gémissements de plaisir, c’était si bon de sentir son majeur explorer ma zone interdite !

Heureusement que cela se passait avec Franck, d’ailleurs. Il faut beaucoup de confiance et beaucoup de complicité pour accepter qu’un autre être humain vous trifouille l’anus. Et beaucoup d’ouverture d’esprit pour exprimer du plaisir face à lui, dans ce moment-là ! Mais, avec le temps, et la vie de couple, plus rien ne nous paraît bizarre, les barrières tombent et l’exploration à deux s’invite dans le lit !

Alors que je me tortillais de plaisir sous l’habilité de ses doigts, j’ai vu au regard de Franck qu’il n’en pouvait plus. Sa bite, bandée à l’extrême, demandait à être fourrée quelque part.

Il s’est alors allongé sur le dos et m’a demandé de venir sur lui : « De cette façon, c’est toi qui contrôles ! Tu pourras doser ta progression et éviter une maladresse de ma part qui pourrait te faire mal. » Je me suis donc enfoncée au-dessus de lui, très lentement. Je voulais ressentir chacun de ses centimètres me pénétrer les fesses, que rien ne me soit épargné.

C’était une drôle de sensation, à nouveau, de sentir mon conduit s’élargir pour son membre. À la fois agréable, et en même temps, très énergivore pour mon corps. Comme si je devais fournir un effort surhumain pour pouvoir l’engloutir en moi. Enfin, j’ai réussi à l’envelopper jusqu’au bout et j’ai marqué une petite pause, afin de reprendre mes esprits. Entre l’amélioration de mes compétences au tennis et ma nouvelle prouesse sexuelle, de fortes émotions me submergeaient le cerveau et il fallait que je me calme. Que je reprenne mon souffle.

Franck avait tout de même envie de corser nos ébats.Il m’a prise par les cuisses et m’a soulevée au-dessus de lui. Il me pilonnait maintenant la chatte alors que j’étais en lévitation, prise en étau dans ses bras. C’était sublime ; mes yeux, ma tête, mes pensées, tout s’est envolé vers des contrées que je ne connaissais pas, où tout est plus fort – les émotions, les couleurs, le plaisir.

Puis il m’a retournée et a continué à me pilonner le cul, mais au-dessus de moi ! Je le sentais comme possédé par une fièvre nouvelle, le passage en anal lui avait manifestement donné le goût de l’initiative et de l’action. Ses bras se transformaient maintenant en de coquines menottes. Il posait sa main, lourde, sur mes poignets, mes épaules, mes hanches, pour me retenir captive de ses à-coups.Il voulait me baiser, il n’avait pas besoin de me le dire, tout son corps le criait.

Et moi, comme une joyeuse victime de ses envies, je me laissais faire en poussant des cris toujours plus forts.

C’était à la fois pour l’encourager, mais aussi parce que je ressentais des sensations qu’il me fallait extérioriser. Et puis je me suis mise à rire… je ne sais pas trop pourquoi ! Peut-être pour évacuer toute cette tension ? Peut-être pour me libérer de son emprise ? Franck, entre deux hoquets, m’a demandé de venir sur lui. Il voulait « contempler mon corps, bouffer mes petits seins ». Pas de souci ! Je l’ai enjambé et sa bite a à nouveau trouvé sa place dans mon cul serré. Il me caressait maintenant tout l’avant du corps, ses doigts manipulaient avec expertise mes petits tétons, mon ventre tendu, le haut de mes cuisses. Avec les années qui passent, Franck savait comment me toucher, sur quels boutons appuyer pour me faire décoller.

Et ça marchait ! Je sentais qu’un orgasme était imminent. Je me suis touché un peu le clitoris, juste sous ses yeux, et ça n’a pas raté ! Un long orgasme puissant, fort, profond m’a emportée et m’a fait totalement chavirer. Dès que j’ai joui, je me suis sentie obligée de sortir sa bite de mon cul, elle me faisait mal maintenant. Je sentais mes sphincters se serrer et se desserrer sans que je ne puisse plus rien contrôler.

C’était bon, si bon.

Franck avait toujours une bonne grosse trique et ne comptait pas en rester là.

Il s’est astiqué tout en me contemplant reprendre mes esprits petit à petit. Je me suis retourné sur le ventre, je voulais qu’il voie à quel point il avait dilaté mon anus avec sa bite, à quel point mon corps portait encore la trace de son passage.

Il a promené sa main gauche sur toutes mes courbes, pendant que la droite continuait à frotter frénétiquement son pénis. Puis tout d’un coup, il s’est mis à gicler, dans un grand râle qui transpirait de libération.

Son foutre s’est directement collé à mon petit trou, j’ai même senti quelques gouttes glisser lentement à l’intérieur. Il m’en avait mis la dose, mon Franck. Nul doute que cette exploration n’en restera pas à une première. Et nul doute qu’elle restera aussi gravée dans nos annales !

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