Seul contre quatre jolies nanas
13 mai 2023Julien, 38 ans, passe la nuit avec quatre meufs bien chaudes qui vont lui sucer la bite à tour de rôle jusqu’à l’éjaculation.
Je m’appelle Julien, j’ai 38 ans. Ça peut sembler jeune, mais j’ai déjà un mariage et un divorce derrière moi, et je m’enterre dans mon célibat depuis un an et demi. J’aime le running, les bons verres de vin, la cuisine et les beaux hôtels, je ne manque jamais d’en faire profiter mes amis en postant des photos sur les réseaux sociaux !
À tel point qu’une chaîne de beaux restaurants m’a proposé de me faire faire le tour de la France, tous frais payés, en van, pour promouvoir ses meilleures adresses. Voici mon histoire de sexe !
Les quatre rien que pour moi
L’opportunité était trop belle ; être payé à arpenter les routes, à dîner aux meilleures tables de France et à prendre quelques photos, il faudrait être fou pour décliner ? Je suis un as des réseaux sociaux, et je sais qu’à ce jeu-là, il faut prendre en photo de superbes mannequins si on veut s’assurer une belle visibilité sur internet.
J’ai donc embarqué dans mon van quatresuperbes jeunes femmes, taille 34, minois de rêve, une blonde, une brune, une rousse, une métisse – pour que toutes les tendances capillaires soient représentées. Vous devinez la suite, n’est-ce pas ? Le premier jour a été très sage avec ces jeunes demoiselles, nous avons dîné dans un restaurant étoilé, service en trois plats, vin millésimé… Nous avons pris des photos que nous avons immédiatement postées sur internet et nous avons récoltés des tonnes de commentaires envieux.
Quatre culs et une queue
Les autres soirs ? Ils ont été beaucoup moins sages ! Enorgueillis de notre notoriété nouvelle et virtuelle, nous nous sommes lâchés de plus en plus, nous livrions des histoires personnelles, entre nous d’abord, puis à nos fans, nous racontions nos histoires de cul sans détour, sans honte et sans pudeur. C’est là que j’ai découvert le passé sexuel de mes partenaires de covoiturage.
En particulier celui de la blonde, qui n’a pas hésité à dévoiler par le menu sa performance avec deux autres femmes devant la France entière ! Elle a carrément dit « j’adore lécher des huîtres, je suis une vraie gourmande. » Et elle a accompagné cette déclaration d’une photo où elle avalait, gueule grand ouverte, le coquillage. Évidemment, avec ce genre de déclaration, nous avons dépassé tous les scores de notoriété virtuelle !
Mais je dois avouer qu’il n’y avait pas que notre communauté qu’elle avait su intriguer, elle m’avait bien échauffé l’entrejambe aussi avec ses histoires scabreuses. Et ses petites copines de voyage, aussi ! En rentrant à l’hôtel, nous nous apprêtions à rejoindre chacun nos pénates, les quatre filles dans une grande suite, moi dans une petite chambre, au rez-de-chaussée, mais j’ai senti que l’ambiance était au batifolage.
Aussi, je me suis montré de plus en plus tactile avec la blonde, qui a fini par me glisser à l’oreille « C’est trop triste Julien que tu sois tout seul dans ta chambre ! Viens nous rejoindre dans la nôtre, elle est plus grande. » Il n’en fallait pas plus pour me faire bifurquer de trajet. J’étais maintenant dans une chambre immense avec quatre sublimes femmes, une trique comme pas possible qui déformait mon pantalon, trois verres de bon vin dans le sang.
Les quatre sont à poils
En trois minutes, mon rêve érotique le plus fou s’est réalisé. Les quatre mannequins échauffées par la chaleur se sont foutues à poil, juste devant moi, exhibant leurs formes parfaites, leur corps de rêve. « Julien, tu penses que si tu nous prends nues en photo, ça va marcher sur les réseaux sociaux ? » Bien sûr que ça cartonnerait sur n’importe quelle plateforme ! Mais j’étais aussi ravi d’être le seul à avoir l’accès à ce spectacle charmant.
Elles ont commencé par se tripoter juste devant moi, en se tâtant les seins, en se roulant des pelles. Je crois bien que la blonde avait su créer des complexes chez ses petites camarades qui tentaient de redoubler d’inventivité pour montrer, elles-aussi, l’étendue de leurs talents. Elles se palpaient les fesses, se bouffaient les tétons, frottaient leurs vulves incandescentes sur leurs jambes menues.
Les quatre se partagent ma bite
J’étais le seul encore habillé, mais ça n’a pas duré. Je me suis foutu à poil en moins de deux et elles se sont extasiées devant la taille de mon engin. « Wouah Julien ! Tu nous avais caché que tu étais gaulé comme un taureau ? » Mon ex ne m’avait jamais fait un compliment sur mes dimensions, aussi, j’ai toujours cru que j’en avais une « normale ». Mais face à leurs yeux écarquillés, j’ai soudain pris la mesure de l’extraordinaire singularité de mon membre. Le croyez-vous ? D’elles-mêmes, elles se sont mises à quatre pattes devant moi, sur les genoux et se sont partagé ma queue !
Un coup à droite, un coup à gauche. Un petit aller-retour dans la brune. Puis dans la blonde. Puis dans la rousse. Mon sperme, concentré dans mes couilles, implorait que je le délivre. Mais j’essayais de me retenir, je ne savais pas si c’était très poli de leur juter à la gueule. En réalité, j’ai réussi à tenir à peu près deux minutes, la situation était trop excitante, et j’ai déversé toute ma semence sur leur joli visage en essayant d’arroser les quatre.
Elles en avaient un peu sur le menton, un peu sur les joues, un peu sur les lèvres et jouaient avec les quelques gouttes qui les décoraient. Ouf, j’avais réussi à bien répartir la crème. Je suis ensuite retourné dans mon lit, m’effondrer, assommé par ma performance et par l’éthanol qui me chauffait les oreilles.
Les autres soirs furent tout aussi magiques, chaque nuitée offrait son lot de belles surprises. Mais je conserve ces jolis secrets pour de futurs récits. Je sais qu’il ne faut pas tout donner tout de suite à ses fans si on veut les tenir en haleine, non ?
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