Tente à fion

La rédaction 25 avril 2020

Amir, 27 ans, Tarbes.

Salut les interstron.ruistes, c’est Amir. J’écris ce courrier pour une princesse que j’aime depuis bientôt deux ans.

La première fois que j’ai vu Agnès, j’ai essayé de ne pas rougir. Je suis plutôt un macho à l’origine, et ça n’est pas mon genre de baisser la tête devant une demoiselle. Mais elle était si belle avec son sourire en coin, que j’ai su qu’elle allait me faire perdre la tête.

Je suis moniteur de colo et, cet été-là, j’avais été nommé chef de notre camps près de Perpignan. Pas mal de responsabilités, mais une chouette équipe, dont la coquine Agnès. Elle était complètement nulle avec les gamins, à toujours en perdre un ou à leur filer des gâteaux après le brossage de dents, mais c’était une vraie marrante. J’étais sous le charme de ses blagues, et son petit cul qu’elle moulait dans des shorts trop courts n’était pas pour me déplaire…

C’est lors d’une chasse au trésor dans les bois que j’ai compris que je lui plaisais aussi. Les gosses étaient éparpillés à courir la campagne et à chercher les indices tordus qu’Agnès avait préparés. « Tu aurais pu leur trouver des trucs plus simples, on ne va les récupérer que ce soir », ai-je lancé. « Oui, mais comme ça, on est tranquilles », a-t-elle répondu. Je l’ai regardée sans comprendre, quand à ma grande surprise elle a commencé à se désaper ! D’abord le haut, qu’elle a fait sauter vêtement par vêtement. Gilet, t-shirt, brassière… Putain, les nichons… Puis le bas, qu’elle a enlevé en ondulant comme un serpent. Elle me faisait un strip-tease de folie en pleine nature !

Elle a fini par faire descendre sa minuscule culotte blanche. Je devais avoir les yeux qui me sortaient de la tête. Son corps était démentiel : des nibards parfaits, un pétard de rêve et une chatte parfaitement épilée, lisse comme un bonbon que je voulais croquer. Elle a rigolé : « Ça sera pour ce soir, tu ne voudrais pas qu’on nous surprenne, si ? »

J’ai donc dû patienter jusqu’à ce que la nuit tombe et que le camp s’endorme. J’étais moi-même en train de ronfler à moitié, les couilles pleines et bien frustré de ne pas avoir osé embrasser Agnès, quand je l’ai enfin entendu se faufiler dans la tente. D’un coup, bien réveillé, je me suis littéralement jeté sur elle.

Jamais je n’avais mangé une femme avec autant de plaisir. La chatte d’Agnès était si délicieuse. Et pendant que je la léchais, la garce était en 69 à me gober les couilles. Heureusement que j’avais la bouche pleine parce que j’aurais eu du mal à ne pas crier, ma salope m’emmenait au septième ciel en dérapant entre mes prunes et mon derche. Quand elle en a eu assez que je lui aspire le clito, elle s’est tournée dans le bon sens et s’est mise à lécher les gouttes qui suintaient de ma teub. J’ai posé mes mains sur sa tête et j’ai indiqué la marche à suivre : « Pompe mon dard, ma catin ! »

Je ne voulais pas jouir dans sa bouche, j’avais peur qu’elle me trouve irrespectueux. J’ai sorti mon sexe. Nos corps se faisaient face, nous étions tout transpirants dans cette tente minuscule qui maintenant devait sentir le cul ! J’ai allongée Agnès sur le ventre et j’ai passé la main sous elle, sentant ses tétons dressés et sa chatte toute humide.

Je l’ai pénétrée d’un coup, fou de désir. Son bonbon était très étroit, mais il dégoulinait de mouille. J’ai murmuré à son oreille : « Tu es tellement douce, je voudrais te baiser toute la nuit… » Cette phrase a eu sur elle un effet terrible : elle a commencé à gémir de plus en plus fort, et je n’ai pas pu m’empêcher de la posséder plus vite, me relevant parfois un peu pour mater sa croupe de chaudasse, me recollant à elle bien vite pour mieux sentir ma queue au fond son trou.

Elle miaulait maintenant si fort que j’ai été forcé de lui plaquer ma main sur la bouche. Cela ne l’a pas stoppée dans son élan, bien au contraire : elle a joui avec des petits cris aigus que je n’ai pas pu retenir. J’ai éclaté en elle, lâchant tout le jus que je retenais depuis cet après-midi. Nous nous sommes ensuite endormis dans les bras l’un de l’autre.

Agnès, mon amour, je suis si heureux que nous ne nous soyons pas quittés. Ce n’est pas pendant une nuit que je veux te faire l’amour, mais toute la vie !

(Photo à la une : Getty Images)

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