Un gendre gourmand
18 janvier 2023Au mois de septembre dernier, une « marche gourmande nocturne » a été organisée dans la région. C’est une tradition par chez nous. Elise, ma fille de 32 ans (j’en ai 55) faisait partie du staff d’encadrement. Elle m’a demandé si je voulais tenter les 12 kilomètres du parcours. Je lui ai répondu qu’il n’y avait pas de problème, mais que son père ne participerait pas. Ce à quoi ma fille a répliqué : » Pas de problème, Adrien va le faire avec toi. Il connaît le parcours, c’est lui qui l’a fléché » Adrien est le mari d’Elise. C’est un charmant garçon de 24 ans. Je m’appelle Hélène et voici mon histoire porno.
Mon partenaire pour le parcours
Nous sommes tous partis vers 21 heures, équipés de lampes électriques. Tout en marchant, nous discutions à bâtons rompus. Adrien, à un moment, m’a prise par le bras. Alors que nous traversions un petit bosquet, il a lâché mon bras et a posé sa main sur une de mes fesses. Et là, je ne sais toujours pas pourquoi, je l’ai laissé faire. Il s’est rendu compte que je ne lui opposais aucune résistance, alors il s’est enhardi. Il me caressait les fesses, et cela m’excitait. Sa main a peu à peu glissé dans mon survêtement. Il a chatouillé ma raie transpirante. Autant vous dire que, si mes fesses étaient glissantes de sueur, ma chatte, elle, était carrément trempée ! Soudain, il a retiré sa main et m’a supplié : « Viens, Marie, j’ai envie de toi… » – » On pourrait nous voir ! », ai-je bafouillé.
En contrebas du sentier, il y avait une cabane de pêcheur. Nous y sommes allés. A peine entrés, nous nous sommes embrassés à pleine bouche. Adrien s’est agenouillé devant moi, a enlevé mon pantalon de survêtement et ma petite culotte, et m’a léché bruyamment la chatte. J’ai joui sous sa langue juste au moment où, par-derrière, un de ses doigts s’enfonçait dans mon anus. Il s’est relevé pour m’embrasser encore et encore. A ce moment, je me suis aperçue qu’il avait sorti sa bite. Il s’était branlé tout en me léchant. Son gland était turgescent, écarlate ! Je l’ai pris dans ma bouche et sucé un moment. En même temps, je caressais ses couilles impeccablement rasées.
La cabane interdite
Il m’a relevée, m’a retournée et m’a allongée sur une petite table. Il s’est placé derrière moi pour m’écarter les fesses à pleines mains. Il m’a bouffé le cul, enfonçant sa langue très loin dans ma rondelle. Il fouillait ma chatte trempée de mouille avec ses doigts, et j’ai à nouveau joui sous l’effet de ses caresses bien cochonnes sur mon anus. Je n’en pouvais plus et je l’ai supplié de me baiser. Debout derrière moi, il a glissé sa queue au fond de ma chatte et s’est mis à coulisser. J’avais l’impression de le sentir grandir en moi. Il s’est soudain retiré et son gland a forcé mon anus. Je n’en espérais pas moins ! J’ai crié : « Vas-y, Adrien, encule-moi bien fort ! » Il était au plus profond de moi. Il m’a carrément défoncé le trou du cul sans aucun ménagement. J’ai gémi de plaisir quand le nectar chaud de mon gendre a inondé mes entrailles.
J’ai remercié Adrien pour le plaisir qu’il m’avait donné. Pour toute réponse, il m’a embrassée à pleine bouche. A l’arrivée, Elise nous attendait. « Alors, c’était comment ? » m’a-t-elle demandé. J’ai répondu en souriant : « Très agréable… Je suis même partante pour faire un autre parcours ! Si ton père n’est toujours pas décidé, je prendrais Adrien avec moi. » Elise a demandé à son mari s’il était ok pour m’accompagner à nouveau. Il a répondu d’une voix douce, en souriant : » Tu sais très bien que je ne peux absolument rien lui refuser... »
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