Moi et ces trois belles queues
24 juillet 2022Après son divorce, Léa, 44 ans n’a pas cessé de coucher avec les amis de son ex. Dont trois à qui elle propose un plan à plusieurs (queues)…
Bonjour moi c’est Léa et ça c’est mon histoire de sexe. Un mari parti avec sa secrétaire de vingt ans de moins et tous les amis de mon ex se sont mis à me draguer ouvertement. Invitations au restaurant, bouquets de fleurs, déclarations enflammées !
Les trois P
Trois d’entre eux me plaisaient et je n’ai jamais eu le fantasme de la cougar. J’aime les hommes mûres et expérimentés. Alors après les avoir essayés chacun séparément, je leur ai fait une proposition plus qu’osée. Je désirais qu’ils me baisent tous en même temps, la pluralité masculine, elle, a toujours fait travailler mon imaginaire !
Les trois P (Pierrick, Patrick et Paul) m’ont donné rendez-vous chez l’un d’entre eux et le soir dit, je me suis présentée en talons aiguilles, string et petit haut noir, je ne portais que cela sous un imperméable. Quand ce dernier a glissé à mes pieds, j’ai vu trois paires d’yeux s’écarquiller et autant de pantalons se déformer sous l’effet de bandaisons des plus que prometteuses.
J’ai bientôt été cernée par mes prétendants, déjà amants mais jamais encore « mis en compétition » les uns devant les autres. Je n’ai pas été déçue. Émulation rime bien avec érection !
Trois queues à mon service…
On m’a portée jusqu’à un lit trônant dans une chambre à la décoration … d’un vrai mâle célibataire, mais peu m’importait, mes mousquetaires se sont tous déshabillés en un rien de temps et m’ont rejointe. Je me touchais en attendant les premiers assauts. J’ai d’abord été renversée les gambettes en l’air, chacun m’a gratifiée d’un cunni. Les yeux fermés j’ai oscillé entre la survenue du plaisir et essayé de savoir à qui était la langue qui me délivrait ses délices.
Mon premier orgasme a brouillé mon jugement pour tout dire. Juste le temps de réajuster mon masque, j’avais demandé à mes chevaliers servants de se relayer pour prendre des photos de notre soirée, et on m’a donné deux bites à téter. Les pénis changeaient dans mes mains et les glands qui investissaient ma bouche me conféraient des sensations diverses et des goûts variés.
Enfin, la partie pouvait sérieusement commencer, la première queue s’est frayé un chemin vers mon con qui coulait depuis un moment, c’était la plus épaisse et j’ai hoqueté tant la pénétration a été brusque et entière. Mais quel plaisir de se sentir ainsi désirée par trois mâles qui ne veulent qu’une chose : vous faire jouir le plus possible en mettent leur propre orgasme au second plan.
J’ai ainsi continué à pomper deux d’entre eux tandis que le troisième, jamais le même, venait honorer mon vagin, tantôt en me limant ave une lenteur diabolique, tantôt en me démontant avec une énergie d’enfer !
Giclée en trio
Chacun ayant déjà eu la chance de s’envoyer en l’air avec moi, mon faible pour la sodomie ne leur avait pas échappé. Un flacon de lubrifiant sur la table de nuit m’avait, depuis longtemps, confirmé leur intention de prendre mon anus comme cible.
Comme pour ma petite chatte, les salives se sont mêlées sur et dans mon cratère, on m’a introduit je ne sais combien de doigts devant et derrière.
Sur le dos, on m’a tenu les jambes très ouvertes et très hautes, on a écarté mon string si fort que j’en ai entendu le craquement des coutures. Ils ont disserté à voix haute sur la beauté de mes nymphes, sur la taille de mon clitoris, sur la souplesse de mon œillet, comme si je n’étais pas là.
Mon pubis a été massé, écrasant mon bouton de rose, quelques phalanges se perdant à l’intérieur de mon con entrebâillé et le premier gland a forcé le seuil interdit. La queue était grosse et elle m’ouvrait bien les fesses comme j’aime.
Tout en me faisant enculer jusqu’aux couilles, j’avais toujours une bite bien raide à sucer. J’avoue n’avoir pas été très assidue dans mes fellations tant le plaisir montait en moi. Mon bourgeon me donne des orgasmes bien sûr, mais je ne décolle jamais aussi fort que quand on me sodomise à fond.
Je ne sais combien de fois je suis partie dans les étoiles, mais les trois P transpiraient et le rythme des coups de boutoir ralentissait.
J’avais joui au-delà de mes espérances, je me suis donc agenouillée sur la moquette et j’ai pris mes gros seins à pleine main en les rapprochant l’un de l’autre, indiquant par un regard où je voulais recevoir les giclées de sperme. Ils ont juté presque en même temps, les trois ont des quantités de foutre à peine croyable, j’ai été nappée de leur crème et j’ai lapé mes nibards pour goûter ce blend particulier.
Désormais, nous fonctionnons un peu comme un club, nous nous voyions chaque dernier samedi du mois et je suis la plus épanouie des femmes !
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