Témoignage érotique : « Sous haute tension » part. 2

Sorelle Spet 26 octobre 2021

Ce témoignage érotique se fait à deux voix. La deuxième partie est portée par la voix masculine. Notre témoin partage sa vision, ses ressentis et ses sensations lors de la première baise avec sa partenaire. Entre regards coquins et caresses aussi dominantes que sensuelles, la tension sexuelle entre les deux peut en émoustiller plus d’un.e…

L’alchimie naissante

C’était une journée plutôt banale. Je n’avais rien de prévu jusqu’à ce que cette fille m’envoie un message. Elle me proposait de la rejoindre pour aller au Luxembourg avec elle. Banco ! Je l’avais déjà vu auparavant, mais c’est vrai qu’elle commençait à titiller ma curiosité, mon intérêt. En route vers le Luxembourg, le feeling passait super bien entre nous. Il n’y avait aucuns blancs dans nos conversations et je sentais que quelque chose commençait à s’établir entre nous deux.

Le moment était tellement agréable, je ne voulais pas qu’il s’arrête. Je lui ai proposé de poursuivre notre excursion et d’aller à Bastogne en Belgique. Ma marraine habitant là-bas, je savais que ce n’était pas excessivement loin. Une fois sur place, on se baladait et l’atmosphère était toujours la même. Il y avait un petit truc de spécial avec elle.

Clairement, ni elle, ni moi, ne voulions que ce moment s’arrête. C’est comme s’il nous fallait une excuse pour rester ensemble, et croyez-moi, nous l’avons trouvé. Sur le chemin du retour, nous nous sommes inconsciemment mis d’accord sur un prétexte pour faire perdurer l’instant et ce qu’il se passait entre nous. Je suis passé chez moi en vitesse pour récupérer quelques affaires et ma Play, avant de la rejoindre.

La soirée était tout aussi agréable que la journée : on discutait, on rigolait, on jouait à la Play. En bref, on se découvrait plus profondément, sans même se rendre compte que l’heure filait à grande vitesse. Je travaillais le lendemain et il était 2h du matin quand elle m’a demandé : « Je t’installe le lit dans le salon, ou tu viens avec moi dans la chambre ? ». Honnêtement, j’avais la flemme de tout déplacer et installer. Cette fille me plaisait vraiment bien, alors j’ai choisi la deuxième option.

La joueuse bandante

Une fois dans la chambre, notre petit jeu continuait. Il faut savoir que j’ai le regard très séducteur. Je le sais et je m’en sers à bon escient et encore plus lorsqu’une telle tension est présente avec une fille qui me plaît. En me glissant dans le lit, avec pour seul point de lumière le clair de lune, je ne voyais que son dos nu qui me faisait face. J’ai compris qu’elle était seins nus. Le seul tissu qui l’habillait était celui qui lui servait à recouvrir son intimité. Alors qu’on discutait, je me suis approché d’elle, pour épouser la position de son corps en cuillère, en me laissant aller aux rapprochements physiques.

Alors que je laissais glisser mes doigts le long de son corps chaud, je sentais qu’elle réagissait en s’abandonnant au plaisir de mes caresses. Tout en contrôle, j’ai saisi sa gorge. Ses réactions m’excitaient et n’ont fait qu’augmenter mon érection, d’autant plus que ses fesses venaient parfaitement effleurer mon gland. Je prenais plus de liberté en m’approchant de sa poitrine. Je n’avais jamais vraiment regardé ses seins et en les attrapant, j’ai pu constater qu’elle en avait une sacrée paire. Elle répondait à tous mes gestes. Sa respiration s’intensifiait, je sentais son cœur s’accélérer et sa peau frémir sous les frissons. Je me frottais à elle en faisant des petits mouvements de va-et-vient, en lui mordant l’oreille et en pinçant légèrement ses tétons, ce qui lui a décroché un soupir intense.

J’avais un barreau monstrueux. Si dur, que mon caleçon aurait pu craquer sous la pression de ma bite gorgée de sang. Après ces longs moments d’échauffements, de tension à tous les niveaux, j’avoue m’être demandé : « Mais quand est-ce que ça va partir ? ». J’essayais de lui faire comprendre que j’avais envie d’elle, d’être en elle, de la sentir. À ce moment, elle s’est redressée, s’est mise face à moi et m’a dit : « Je n’ai pas envie de tout gâcher. C’est trop bien ce qu’on vit et je ne veux pas aller trop vite. ». Évidemment, j’ai ressenti une petite frustration. Je ne pouvais que comprendre et respecter sa décision.  J’avoue que j’ai quand même jeté un œil vers ma bite en me demandant comment cette trique du futur allait redescendre

Je me suis résonné. Il devait être 3h du matin, je devais me lever à 6h, il était finalement temps de dormir. J’avais passé une très bonne soirée, mais il fallait être raisonnable. En me replaçant derrière elle, j’ai senti son cul se frotter légèrement à moi. Elle jouait et voulait me rendre fou. Je ne comprenais pas et ça ne faisait qu’accentuer ma frustration. La tension était insoutenable. Au risque de passer pour un chien, je ne pouvais faire autrement que lui dire : « La tension est trop forte entre nous. Donc, soit on le fait et on passe un bon moment tous les deux, soit je vais dans la douche et je me branle. ». Après ça, elle s’est penchée vers moi et a descendu progressivement mon caleçon. J’étais dans une incompréhension totale qu’elle a finie par effacer en me faisant comprendre que c’était le moment.

Jeux de mains jeux de coquins

Une fois que le feu vert donné, je l’ai retourné pour la mettre sur le ventre. La pénombre ne me laissait qu’apercevoir certaines zones de son corps : le galbe de ses fesses, sa taille fine, son dos lisse, jusqu’à son visage légèrement de profil. Face à ce spectacle, j’ai saisi ses deux fesses bombées pour les malaxer. J’ai déposé un peu de salive sur mes doigts pour humidifier sa chatte. C’était le premier contact direct et je me suis rendu compte que ma salive ne servait à rien. Elle était mouillée à un point, une véritable fontaine ! 

C’est la queue bien tendue, que je me suis aventuré dans son antre. J’avais l’impression que toute la chaleur de son corps était concentrée dans son vagin. Elle englobait mon gland, c’était si agréable. J’y suis allé progressivement. Je cherchais d’abord les sensations. D’abord mon gland, puis ma tige et jusqu’à la garde. Plus je m’enfonçais en elle, plus son attitude changeait. Je voyais qu’elle accueillait ma verge avec beaucoup de plaisir. Elle ouvrait suffisamment sa chatte pour que je m’y glisse et que les frottements soient plus précis. En me tendant son cul, elle m’offrait une vue imprenable sur ce mont. Je ne pouvais pas résister à l’envie de lui claquer les fesses. Une fessée pas trop douce, ni trop forte, mais juste assez pour la voir se tortiller d’excitation tout en la pilonnant.

J’ai progressivement accéléré le rythme. Mes coups de reins étaient plus francs. Je me penchais vers elle pour lui saisir la gorge et lui susurrer d’un ton ferme : « Donne-moi tes seins ». Elle s’est redressée pour assouvir ma demande. J’avais un sein dans chaque main et ma queue qui entrait et sortait de sa chatte de plus en plus rapidement et intensément. Je la sentais vibrer, se tortiller et ça me donnait envie d’y aller vraiment à fond. Nos deux corps étaient en sueur. Nous étions comme des animaux en train de forniquer. Plus elle gémissait, plus ma jouissance montait, jusqu’à l’explosion.

J’ai tout lâché en elle. Mes longs jets de sperme se sont logés dans son vagin. J’avais l’impression d’y avoir mis toute mon âme. Après de longues heures de caresses, de jeu, de stimulations, d’effleurements et de tension, on venait de vivre une baise démentielle et libératrice. Elle avait donné le ton de nos prochaines parties de jambes en l’air.

Qui sait, peut-être que je reviendrai pour raconter l’une des douches les plus chaudes de ma vie.

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