Vengeance hispanique

La rédaction 31 août 2023

Après une rupture inattendue, Sara se console dans les bras d’un mec qu’il vient tout juste de rencontrer. Voici son témoignage (33 ans, Loiret)

Mon mec venait de me jeter et je ne savais plus où j’en étais. J’en voulais à la terre entière, surtout aux hommes. Mes copines m’ont payé un séjour tout compris à Alicante en Espagne, deux semaines de soleil et de recentrage sur moi et mes désirs. Mes envies ? Elles ont vite été cernées, elles ne concernaient que Miguel, le chef du village club où je me trouvais. Je vous raconte mon histoire de sexe ;

Un désir de vengeance

Beau, sculptural, un sourire carnassier qui me retournait l’utérus et une musculature digne d’Hercule en personne. En moins de trois jours, j’ai envoyé tous les signaux dont j’étais capable, ils balançaient tous le même message : moi, femelle en disponibilité, n’attends que tes coups de bite ! Au bout d’une semaine, ambiance salsa autour de la piscine, Miguel s’est approché de moi, la danse a été torride, elle s’est même finie sous les applaudissements des autres touristes. La suite a coulé de source, nous sommes partis dans ma chambre, moi, liquide, lui exsudant un parfum de désir animal.

À peine la porte franchie, ses bras épais m’ont emprisonnée, j’ai offert mes lèvres, il m’a dévorée toute crue, ses mains commençant à courir partout, sur mes seins, sur mes fesses, cherchant l’ouverture dans mon short serré. Mon bassin s’est collé au sien et j’ai tout de suite pris la mesure de sa masculinité, ça battait, ça forçait à travers le tissu, je sentais batailler son pieu contre ma chatte, et ce que je percevais était énorme. Nous nous sommes déshabillés à la vitesse de l’éclair, mes traces de maillot l’ont rendu fou, la taille de sa queue m’a affolée. L’expression “monter comme un taureau” prenait toute son évidence sous mon regard halluciné ?

Une bite XXL

Il a été adorable, une fois allongés côte-à-côte sur le lit, il a commencé à se caresser, sa bite dressée me semblait irréelle, un bloc massif qu’il astiquait en rythme. Je me suis aventurée à me toucher également, jamais je ne m’étais masturbée devant un homme. Je me suis sentie me liquéfier sous mes doigts, alors, quand il a saisi son téléphone et que j’ai compris qu’il nous prenait en photo, j’ai joui instantanément. Je ne savais plus où me mettre, j’étais aussi rouge que mes seins et mon cul étaient blancs.

La situation m’a excitée au-delà du possible, j’ai fini par me jeter sur sa bite, forçant mes mâchoires à s’ouvrir au maximum pour accueillir toute sa hampe dans ma bouche. Quand je l’ai entendu suffoquer, j’ai su que j’étais sur le bon chemin. J’ai salivé comme jamais, noyant son gland dans une mousse onctueuse tandis que je recevais ses sucs hyper salés. Je pensais arriver à le faire éjaculer ainsi, mais ses bras puissants m’ont contrainte à stopper ma pipe et il m’a installée en face de lui, cuisses écartelées, il ne quittait pas ma chatte des yeux et je m’imaginais très bien le spectacle que je lui offrais, celle d’une femme en chaleur, la fente gluante de désir, les seins gonflés par une fébrilité purement sexuelle.

Il a tordu sa queue pour poser son gland sur ma fleur et m’a laissée me couler sur son vit dur tel du granit. J’ai abaissé mon bassin d’un coup et j’entends encore mon cri, un cri long de femelle en rut, je me suis retrouvée empalée sur lui, ses grosses couilles plaquées contre mon petit trou sensible. J’ai voulu retenir mon deuxième orgasme, en vain. Il est monté en moi comme la foudre, je lui ai griffé les cuisses tellement c’était bon !

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Mais il n’était pas dit que je me laisserais aller ainsi, sans réagir. Je me suis dégagée de son étreinte et je me suis offerte en missionnaire. Miguel a dû se dire que j’abdiquais, ce qu’il ignorait, c’est que c’est dans cette posture que je maîtrise le mieux les muscles de mon périnée. Dès qu’il m’a prise d’assaut, l’étau de ma petite chatte s’est refermé sur sa queue à la façon d’un piège à loups, implacable, mordant comme l’airain.

Son corps s’est redressé, il a pris quelques photos supplémentaires de ma fente ouverte, mes lèvres venant lécher sa tige immense puis il a abandonné son appareil, se concentrant sur le défi que je lui offrais. Mes cuisses se resserraient sur son bassin quand je sentais une nouvelle vague monter. Non pas que je ne voulais pas jouir, mais je désirais le meilleur de cet homme et aussi, lui montrer quelle amante il avait contre lui pour quelques jours encore.

Il m’a tout donné, sa force brute, ses allants de tendresse, ses tentatives désespérées pour passer par ma petite porte, je l’ai aimé, je l’ai épuisé, il m’a baisée, il m’a limée, il m’a lavé de tout ce que j’avais subi, je suis repartie d’Espagne le cul déboulonné, l’esprit léger et depuis je croque les messieurs comme des pommes bien mûres.

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