Avocats bi … caméristes

La rédaction 3 janvier 2025

Il y a cinq ans, j’ai intégré un cabinet d’avocats à Rennes. Paul et Olivier, les deux pénalistes, m’ont accueillie à bras ouverts et je me suis tout de suite sentie en confiance, le duo était en couple, des homos très discrets, mais … très gays ! Ma première année s’est déroulée dans une sérénité que je n’avais pas connue depuis longtemps au travail et mes employeurs m’ont conviée dans un restaurant huppé pour fêter l’évènement. Voici mon histoire de sexe amateur.

Fellation et gorge profonde

De retour au cabinet, nous étions déjà tous un peu pompettes, Paul m’a servi du champagne, a mis de la musique et m’a invitée à danser. Je me suis lovée dans ses bras musclés, célibataire, j’étais bien tout contre le corps d’un homme, fût-il aussi grande folle que possible. C’est dire mon étonnement lorsqu’il a tendu ses lèvres vers moi, j’ai jeté un regard interrogatif à Olivier qui nous observait, il m’a adressé un clin d’œil complice, j’ai collé ma bouche contre celle de son associé. Le chaste baiser s’est transformé en une pelle d’une sensualité incroyable, le piercing qu’il a sur la langue m’a excitée au plus haut point et j’ai compris que ma chatte mouillait à en tremper ma petite culotte. C’est là que j’ai senti ! Paul bandait, mais bandait vraiment, pas une demi-molle, une barre d’acier me rentrait dans le bas ventre, je n’en revenais pas !

S’en est suivi un déshabillage complet de lui et de moi, je ne me suis, à aucun moment, sentie mal ou exposée dans ma nudité, tout était naturel, Olivier s’est rapproché et nous a pris en photo, Paul avait un manche comme j’en avais rarement vu. Une queue longue, épaisse et qui semblait lourde, aussi lourde que la paire de couilles qui pendait juste en dessous. Je ne savais pas quoi faire d’autre que de me comporter exactement pareil qu’avec mes amants habituels, je me suis accroupie devant lui et je l’ai sucé. Sa bite était parfumée, un vétiver très léger, je l’ai accueillie en bouche, délicatement au départ, n’étant pas sûr d’être au niveau des compétences de son compagnon question turlute, puis, encouragée par les gémissements de Paul, je me suis lancée dans une gorge profonde.

Prise en levrette et doigté

Son érection s’est encore raffermie et il m’a alors allongée sur le sofa, très doux et très sensuel, il m’a écarté les cuisses et s’est mis à me lécher la minette et l’anus. J’étais déjà trempée, j’ai mouillé derechef, surtout quand il m’a doigtée. D’abord le vagin, juste à l’orée du trou, en petits cercles concentriques avant de me fouiller plus profondément puis cela a été le tour de mon œillet serré. Moi qui ne suis pas branché sodomie, je me suis détendue et j’ai vraiment goûté à ces caresses interdites. Lorsque Paul m’a enculée avec son index et son majeur, sa langue papillonnant sur mon bourgeon, j’ai eu un orgasme fulgurant. Mes muscles se sont crispés puis se sont mis à trembler et j’ai explosé.

Je n’ai tenté aucune initiative, je ne savais pas jusqu’où il désirait aller, Olivier prenait des clichés de nos corps entrelacés, Paul m’a invitée à m’installer en levrette. Je me suis exécutée avec plaisir, c’est vraiment ma position préférée. J’ai écarté au maximum les fesses et me suis laissée pénétrer par ce gros chibre qui bandait toujours aussi dur. Après l’avoir limée à fond, Paul a commencé à me masser le petit trou, j’ai vite compris où il voulait en venir et, bizarrement, je n’avais rien contre, j’en avais même très envie. Je souhaitais lui offrir tous mes orifices, je réclamais qu’il me sodomise et qu’il jouisse dans mon anneau vierge.

Sodomie chérie

La première pression a été la bonne, le gland est entré, la couronne s’est calée puis le reste de la colonne s’est fondue dans mon cul. J’ai porté ma main à la rencontre des bourses dures, glissé deux doigts dans ma chatte et me suis laissée dériver jusqu’au nirvana par les aller-retour de ce chibre énorme qui me défonçait la rondelle. Paul m’a conquise, m’enculant un coup en missionnaire, un coup de nouveau à quatre pattes ou bien encore me faisant monter sur lui pour m’empaler au rythme qui me convenait.

Olivier ne bandait pas, ne disait rien, il nous regardait en souriant, son rictus s’est accentué lorsqu’il a vu son amoureux sortir sa longue pine de mon anus élargi et lâcher de grands jets de sperme sur mes fesses, le foutre a coulé sur le cuir du canapé, j’étais aux anges. Depuis, le même rituel se reproduit chaque année, Paul est homosexuel trois cent soixante-quatre jours par an et me baise devant son compagnon pour mon anniversaire professionnel. Étrange certes, mais très excitant, non ?

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