À la claire fontaine…

La rédaction 23 juin 2018

Anita, 38 ans.

Dru, con dru ! Petit con ! Un beau petit con poilu ! Du con ! » Me dis-je, les doigts chatouillant ces mèches, ces boucles noires touffues, les fesses calées au fond du bidet, au moins, il ne risque pas la calvitie. Je passe et repasse ma paume dans cette herbe, puis y plonge mes doigts qui disparaissent à moitié. Comme c’est doux et bon ! Mon mont, bon con, émerge, vertical, forêt généreuse du pubis à l’ubac serré entre les gorges. Du majeur et de l’index de chaque main, je trace une voie, fendant l’herbe sur les côtés afin de découvrir la fente fière, dressée. Quatre lèvres, je passe mes doigts sur elles, entrebâillant les deux premiers volets, jouant sur leur sommet, à cheval sur leurs crêtes, les deux autres, petites, ont le jour devant elles. Je porte mes doigts à mes lèvres, puis dans la bouche. L’odeur du con, le parfum des poils, mêlé à ma salive ! Je m’en pourlèche.

Vite je plonge ces deux doigts, auxquels j’ajoute l’annulaire, vers les lèvres. Le bouton sort la tête. Je le salue du pouce en le frôlant. Qui a dit qu’un sexe féminin était laid ? Je suis une femme qui aime son sexe. Vive l’évolution ! Tous ces millénaires pour aboutir à cette perfection, cette vulve surmontée de ce bouton d’amour, clito, baromètre de tous les plaisirs. Si sensible ! J’ai du mal à comprendre comment font les femmes dans les pornos pour malmener si durement leur clitoris sans se faire mal. Cette chatte si raffinée, qui d’un doigt, d’un gode, d’un objet que la nature nous tend, légume ou mille autre encore, s’étend à qui mieux mieux.

J’aime sentir l’air qui y entre, celui que Noël m’envoie avant de pointer le dard de sa langue, ou le soleil ! De quelques centimètres, la queue à mesure qu’elle avance voit la vulve gonfler, grossir, s’étendre. C’est pour cela que, côté con, je me sens moins pénétrée, comblée, comme un trou à combler, que foutant moi-même cette bonne queue à mesure que ma chatte change à chaque centimètre de poussée.

C’est pour ça que je la préfère à l’arrière plus statique, même s’il est parfois agréable d’avoir l’impression d’être remplie, élargie avec une queue et un gros gode. C’est pourquoi une queue côté anus, qui passe dans le cul, est toujours, malgré tout, bonne à prendre. Mais mes fesses sont bien moins sensibles que le con, les cuisses, le pourtour du clitoris, malgré les caresses, les pinçons, les petites tapes, même si la raie est plus tendre et bien poilue chez moi autour du petit trou du cul.

J’aime prendre la queue de Noël dans le derrière – c’est bon, n’est-ce pas chère sœur ? – la sentir écarter le petit trou, mais le canal du cul n’est pas extensible – comme l’a fait remarquer une lectrice d’Union – et c’est sans doute les interdits autour de cette façon d’aimer qui la rend jouissive. J’ai remarqué que lorsque j’en parle à des amis et qu’ils me disent que c’est scandaleux – même si je doute alors qu’ils n’y aient pas goûté – j’ai plus de plaisir à demander « une petite cour arrière » à Noël lui racontant en rigolant que l’on m’a dit que c’était écœurant et que j’aimerais voir par moi-même. J’ai plus de plaisir par-là que je n’en ai l’habitude. Le côté cul est plus rustique de ce point de vue, c’est le côté cambrousse, le côté chatte, ce bel et beau con qui est le côté le plus élaboré de mon point de vue, le côté ville, plus sophistiqué.

Noël quant à lui me dit qu’il a du mal à trouver beau son membre. Sa queue, sa bite, surtout bandée raide, il trouve ça plutôt ridicule. L’homme, me dit-il, pense surtout à la vulve ou à son désir propre et il est moins regardant que la femme sous le nombril. Les hommes qui en touchent pour les hommes regarderaient moins, selon lui, la beauté de leurs queues que leur désir. Alors que moi, je trouve belle ma chatte, même si je n’ai pas envie de jouir. Lorsque l’autre jour Noël m’a glissé sa queue dans le trou du cul face au miroir, emboîtés, lui derrière moi assise sur lui, j’ai trouvé belle ma chatte, les lèvres écartées, l’entrée du vagin en vue, alors que Noël mon gode enfoncé dans son cul, trouve qu’une bite au-dessus du cul comblé n’a pas la même allure.

Quant à sa queue, j’aime bien qu’elle bande, bien sûr ! Mais je le trouve plus beau avec un petit robinet qui émerge de quelques centimètres de sa forêt bien fournie elle aussi. En tout cas, j’ai plus de plaisir à prendre sa queue entre mes lèvres, « petit rob’ », que raide d’entrée dans la gorge, posée d’abord sur la lèvre du bas, puis celle du haut la pressant vers le bout de ma langue. Du bout de langue qui agace le méat troussé, son gros gland, à proportion de la longueur modeste de son membre (mais quand on aime ce n’est pas la taille de la bite qui compte) moyenne, vers les 15 cm, pratique pour l’anus et l’exploration du derrière, en deçà en tout cas des 20 et 30 cm qui doivent excéder ce que la plupart des culs et des bouches doivent pouvoir engloutir.

J’aime branler ma chatte, mais j’aime encore mieux que les lèvres, la bouche de Noël se posent sur ma toison, ma fente, se promènent sur le clito bientôt bandé. Puis, il y ouvre ses fenêtres de sa langue, tandis que je branle son manche et me penche bientôt sur le côté, la tête entre ses cuisses poilues, pour le sucer, le nez dans ses poils. Dommage que sa langue soit trop petite, d’où l’intérêt d’avoir une grande langue, car, dans le cul, c’est bon aussi, mais malheureusement, sa langue ne va pas très loin une fois dans l’anus, le trou du cul passé ! Si bien que j’ai besoin bientôt de sa queue ou d’un gode pour aller plus en avant. Un petit jet sort distrait de cette chatte à cette pensée. Je reprends les doigts, passe sur les gouttes de pipi qui attendrissent les lèvres de ma chatte, en les essuyant dans la toison fournie, et après les avoir immergés dans ses poils, je les porte à mes lèvres et les suce.

L’autre jour, alors que je le suçai du bout de la langue et que sa verge commençait à grossir, j’ai senti mon bouton d’amour sortir de sa cache. La langue et le clito communiquent ! De même que parfois la chatte s’ouvre, les lèvres, volets, s’étirent vers le dehors, les quatre rideaux laissent voir la vulve. L’autre jour, j’ai vu mes lèvres s’ouvrir avant que la queue de Noël n’y vienne, puis, se fermer lorsque sa bite en est sortie rincée, comme un parapluie qui se ferme. Ça m’a ravie, excitée.

J’aime recevoir le jus dans mon con, loin sur ma jouissance. Parfois, je serre sa bite à la base et ses couilles, je la recule sur le bord du con et d’une main, je tire en arrière, que son gland soit bien découvert, et que je sente son foutre jaillir dans la vulve. C’est si bon ! C’est une de ces fois où il lança son jus dans ma chatte qu’il lui arriva quelque chose qu’il n’a plus réussi, m’a-t-il dit, à retrouver, il vous l’écrira sûrement mieux que moi. Alors que je le branlais de la paume et des doigts distraitement et sans vraiment y penser, pressés par nos langues dans nos bouches que nous sucions, la sortant raide chacun son tour de la bouche et qu’il me pressait fort les seins bien excités par la poussée de sa bite et son sperme à peine reçu, je ne devais pas arrêter, sa queue étant entre la mollesse et la raideur. Il était, me disait-il dans cet état précédent lorsque près de jouir, il n’a pas pu se retenir, alors même qu’il se sentait incapable de bander, ressentant pourtant un plaisir indicible dans cet état. C’est ainsi que, de longues minutes, je le branlais avant qu’il ne jouisse sans beaucoup de jus, n’ayant donc depuis réussi à ressentir ce même plaisir dans un état de demi-bandaison. Et heureusement pour moi, car je vois mal comment sa bite entre deux eaux, mi molle à jamais, pourrait venir vers ma chatte et mon cul ! Il est vrai qu’il venait à peine de m’envoyer son jus, donc il n’y a pas eu d’inquiétude.

Alors que j’écris ceci, levée de bonne heure pour la première fois depuis des lustres, car j’ai pas mal de trucs à faire, voici qu’il se pointe. Penché, il lit ! « Dis-donc ! Bon, donne-moi ça ! Je peux ? » En riant, je le déslipe, prend sa queue endormie, flatte sa brousse, y trempe mes doigts et suce sa bite au bord des lèvres, la décalotte, mordille son gland ! Tiens, l’effet clito ! Je sens mon bouton qui sort ! Dès qu’elle bande, je le reslipe, le tâte à travers le slip. Elle tient en diagonale, dans ma paume, ne dépasse pas du slip. Je lui promets de le sucer jusqu’à ce que son sperme jaillisse sur ma langue et ma bouche dès que j’aurai fini ce courrier.

Et alors qu’il a le dos tourné, je glisse ma main gauche dans ma culotte et passe un doigt dans ma fourrure, mes lèvres s’ouvrent, mon clito semble heureux que je ne l’oublie pas. Ah petit con ! Belle chatte, comme c’est bon de te donner mes doigts ! Mais je n’ai encore rien dit de ce que je voulais dire, c’est mouillant d’écrire ces sensations, autant que de lire interstron.ru.

C’est bon de promener mes doigts et ma paume dans mes mèches abondantes tout en titillant mes petites lèvres en écrivant ce mois d’été de l’an dernier où ce petit con était nu comme au premier jour, tondeuse et rasoir ayant remplacé le peigne qui démêle la touffe que les lectrices connaissent sans doute : se brosser la touffe, se faire une mise en plis… ! Tout comme la bite et le trou du cul de Noël qui s’étalaient nus sur une serviette parmi les herbes sauvages, au soleil, au bord d’un torrent en Isère au pied de Belledonne.

Nous étions crevés par la chaleur et la route, nous avions trouvé ce coin sauvage le soir tard, faisant comme si nous avions loupé le panneau camping interdit. On s’est dit : il suffit de se faire petits et de ne pas faire de feu et de monter la tente en hauteur pour éviter l’inondation au cas où l’eau monterait sans prévenir. Mais le matin, nous avons découvert que nous n’étions pas seuls, et que plus haut et en contrebas, d’autres avaient eu la même idée…

Sauf qu’il n’y en avait pas un d’habillé ! Nous étions dans un coin de nudisme sauvage et si nous voulions profiter encore de cette journée dans ce cadre fantastique, ils ne nous restaient plus d’autre choix que d’enlever le peu de vêtements que nous avions, chacun un short, un slip, une culotte et un soutien-gorge pour moi.

En reculant la tente dans les hautes herbes un peu plus haut sous un massif d’arbustes bien épais, avec une pierre plate pas bien loin pour s’allonger au bord du torrent, chauffée par le soleil, nous pouvions être hors de portée des yeux des autres vacanciers et nous mettre nus afin de ne pas froisser ceux qui passeraient par hasard par cet endroit.

La musique du torrent et le soleil nous firent bientôt oublier les autres campeurs. Allongés l’un à côté de l’autre après nous être vus nus et affairés, accroupis, la verge courbée et la chatte saillir entre mes cuisses, nous être vus nous laver à l’eau glacée du torrent, nous être bouchonnés, allant et venant pour faire du café, déjeuner, il n’en fallut pas beaucoup plus pour rapprocher nos lèvres, les presser, sucer nos langues, le soleil après l’eau froide nous chauffant. Je n’avais pas eu pas le plaisir de voir le zob, le rob’ de Noël endormi avant que ma main ou ma bouche ne s’en saisisse : il était déjà raide ! Et ma chatte avait déjà sa première mouille au moment où mes doigts la prenaient, sa bite, la pressaient délicatement du bout du gland. Mon autre main serrait ses couilles, puis les prenant dans ma main, couilles dans la paume et doigts enveloppant la hampe et le prépuce, sa langue fourrée dans ma bouche et ses mains plantées dans mes cheveux qui chatouillaient mes seins.

Je me saisis du sein gauche à la base, l’index sur le téton, puis le pouce le pinçant, je le remontai afin que mes cheveux se frottent bien à eux. La crème de la crème, ce que nous fîmes à cet instant, c’est se branler en duo, chacun une main sur la bite et le con et le cul de l’autre et l’autre main posée, entrelacée, suivant celle de son partenaire sur soi. C’est après avoir caressé le corps de mes seins, jusque sur le gland, la raie, prenant soin de glisser un clip en plastique sur les mamelons avec une pointe de quelques centimètres, genre tétine de biberon, assez souple pour que le téton soit sensible à la traversée de l’anus. (J’avais pris ma serviette et un gode au cas où, afin de perforer cet anus).

Passant le sein dans la raie lisse de Noël, je lui ai donné à sucer ces pointes érigées au sommet de ces deux belles poires enrichies de l’humeur de son trou du cul. Les branches d’arbres au-dessus de nous se balancèrent grâce à un coup de vent. Noël à nouveau me brouta partout, suça ma chatte, puis me tourna sur le côté, vint derrière moi et mis sa langue dans ma raie. Je regrettai la petitesse, non de sa queue, mais de sa langue. C’est sans doute cela qui m’excite encore plus, sa langue passée sur le trou du cul, je reste sur ma faim et j’ai besoin de sa queue toute entière ou d’un objet plus long et large. Il me semble que ma langue va plus loin dans son cul que lui dans le mien et que j’en ai donc une plus grande et large que lui !

Puis, le tenant sur le côté, je suçai sa queue et lui dit à l’oreille que ma chatte l’invitait à la visiter. Passant une jambe sur son flanc, je glissai le gland, tenu entre deux doigts, directement dans l’abricot. Je poussai, allai vers elle, la verge, vers lui, le gland, la rentrai à moitié et il fit alors après plusieurs échanges l’un vers l’autre, un mouvement du bassin qui me la fit découvrir en entier, jusqu’au fond.

Sans me désarçonner, je le couchai sur le dos et baisant son méat, je m’assis sur sa queue, mes mains sur ses joues, je l’embrassai, puis je libérai son chibre, je guidai sa main sur la mienne me saisissant de sa bite dure. Mon anus encore mouillé de sa salive l’aspira. C’était bon, avec le soleil qui cognait, dardait sur les fesses, quelques minutes délicieuses d’attente avant de le libérer de son foutre et jouir, dès que je l’aurais mis dans ma chatte à nouveau.

C’est au moment où mes lèvres s’ouvrirent pour le prendre en elles que Noël vit deux filles et un mec nus entre les branches plus bas, qui nous observaient entre des arbustes. « Faisons comme si de rien n’était » me dit-il et c’est sous leur regard, toujours accroupie, puis allongée dans les bras de Noël que je jouis, particulièrement détendue, et reçus sa semence, heureuse d’exprimer mon plaisir et d’entendre Noël faire de même sans excès, ni retenue.

À vrai dire, il était arrivé que l’on nous surprenne de loin sans que des promeneurs s’arrêtent, en plein exercice en forêt, mais c’était la première fois que des personnes assises et nues étaient face à nous lorsque nous faisions l’amour dans la nature, parlant entre elles et nous regardant comme une partie du paysage sans aucun geste sexuel.

Si bien que je fis ce dont j’avais envie et le suçai pour aspirer les dernières gouttes de foutre et l’embrassai, tant la situation nous paraissait simple et naturelle. Nous entendîmes des rires s’éloigner. Cette bonhomie et cette simplicité m’encouragèrent à proposer à Noël de continuer l’après-midi à nous fondre, nous foutre dans l’intimité du soleil.

« Moi aussi j’ai un derrière » me rappela Noël ! Noël secoua notre double gode bleu devant mes yeux, suça ses deux extrémités, me doigta et embrassa les lèvres saillantes qui s’ouvrirent, je pus voir ses lèvres et sa langue chatouiller ma chatte. J’enfilai mon double gode bleu et baisai son anus, le couvrant de baisers silencieux, profonds et variés, y glissant ma salive de ma langue. Ayant changé de position, je pouvais voir si nos voisins étaient présents à nouveau, Noël à genoux, les cuisses disjointes, je passai une langue dans sa raie, puis le gode buta à peine et son bout disparu dans son anus alors qu’une main rythmait le bout dans ma chatte et que l’autre pressait son manche, belle verge, sa bite dure et pinçai ses tétons dressés. Je mordillai sa nuque, écartant ses cheveux, tandis qu’il me dit combien il était heureux à cet instant, qu’il sentait ma vulve à travers le bout qui me sondait la chatte, et serrait son derrière et le relâchait, venait au-devant du gode et l’accompagnait au fond, le serrant à nouveau. Le pauvre était si dur, sa bite si raide, que je le branlai délicatement.
À chaque poussée, je le sentais à travers le gode en moi et son souffle venu de son nombril, venant au-devant de moi… Je jouis, sortis de son cul, son trou du cul se referma.

Je lui donnai le gode à sucer. Je l’invitai à se lever, me mettant sur les coudes, et à venir dans ma chatte, sa queue toujours très raide. Il entra délicatement, mes lèvres l’embrassant, et c’est à ce moment-là qu’observant derrière son épaule, je les vis à nouveau… Nos visiteurs étaient revenus. Je prévins Noël qui les reconnut en se retournant. Ils étaient deux garçons et deux filles cette fois, debout. Les sexes des garçons étaient au repos. Ils échangèrent quelques baisers, les deux garçons avec les deux filles.

J’allai vers la verge de Noël et celui-ci poussait, si bien que très vite, ma mouille conséquente augmenta, mon vagin s’élargit et se pressa en même temps, s’étendit et attira sa queue. Nos voisins se mirent à rire, les filles tenant entre le pouce et l’index les sexes des garçons avec des gestes du bras de bas en haut.

La queue très dure de Noël était la bienvenue à ce moment, faire l’amour au soleil, dans la nature, c’est si bon et enivrant tout simplement ! Je jetai ma vulve épanouie au-devant d’elle et bientôt je sentis le foutre de Noël jaillir en moi, avec la même sensation que ce matin, plus détachée encore du bon coup que nous étions en train de faire, presque au dehors, extérieure à nos enlacements et en même temps plus près de chaque mouvement que nous faisions.

Je gardai sa bite un temps long encore, goûtant chaque seconde, et je sentis mon plaisir, ma jouissance, jaillir devant sa queue. Nos campeurs étaient assis à présent, et ne semblèrent pas plus que ce matin accorder d’importance à ma bouche qui se saisit de la queue de Noël que je suçai amoureusement, qu’au torrent, au ciel, au reste du paysage, n’ignorant ni celui-ci, ni nos gestes. Si bien que tout ce que nous faisions semblait naturel.

L’après-midi n’était pas finie, mais bien qu’allant au plus court j’ai été longue déjà, même s’il y a encore à dire… le lendemain, nous reprîmes la route. Bonne nouvelle année aux lecteurs d’Union !

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