Crac-crac polak

La rédaction 1 novembre 2024

Alexandra, 31 ans de Trouville fait la rencontre de deux étudiants polonais. ils lui font découvrir les joies du sexe et de ses pratiques comme la sodomie

Voici mon histoire de sexe amateur. C’était il y a dix ans. J’ai repensé à cette aventure récemment alors que je me faisais draguer par deux beaux garçons. Petit retour en arrière que j’ai eu envie de coucher sur le papier et de partager avec les lecteurs d’UNION.

Triolisme et fellation

En tant que famille d’accueil pour des étudiants Erasmus, mes parents hébergeaient régulièrement de jeunes Polonais. Cette fois-là, c’était Piotr et Igor, deux très beaux garçons qui m’ont tout de suite plu et la réciproque était vraie. Je venais d’avoir vingt ans, je n’avais pas de petit copain, alors tout naturellement, nous nous sommes rapprochés. De doux baisers en premiers attouchements, nous avons basculé dans le sexe le plus débridé … à trois !

Leur truc, c’était que je fasse l’amour avec l’un pendant que l’autre nous prenait en photo. C’était le tour d’Igor d’être derrière l’objectif, il nous chauffait en disant des cochonneries dans les deux langues tout en affichant son beau pénis, il était encore mieux monté que Piotr qui avait déjà une bonne queue !

La petitesse du lit ne nous permettait pas toutes les fantaisies, suffisamment tout de même pour que je puisse me mettre à quatre pattes et accueillir le joli chibre bien proportionné en bouche. J’adore piper un mec, et ce depuis toujours. C’est à la fois doux et puissant, et cela me procure une sensation de pouvoir extrême. J’avalais donc sa verge déjà bandante, lui me tenant la nuque pour accompagner les mouvements de balancier de ma tête. Sa toison claire et bien entretenue me chatouillait délicatement le nez tandis que je glissais sa baguette de plaisir au plus loin au fond de ma gorge.

Après cette mise en bouche, quel que soit le garçon, j’avais le droit moi aussi à mon petit plaisir buccal. Chacun avait son style, Igor plus gourmand que gourmet, aplatissait sa grosse langue sur toute ma vulve qui devenait un cloaque de salive et de cyprine en quelques secondes. Piotr, en virtuose, dardait un appendice précis et très vif. L’orgasme était toujours au rendez-vous.

Triolisme et sodomie

Je déroulais ensuite un préservatif sur le chanceux qui allait me baiser, ce rituel a souvent le don de me faire mouiller, c’est très érotique de débobiner une capote sur un beau membre, que ce soit avec la bouche ou avec les doigts.

Une fois bien protégée, la queue ainsi enveloppée pouvait venir s’insérer dans mon orifice serré. Je n’avais eu que peu de relations sexuelles, de fait, ma chatte était un tunnel tout fin et très tonique. Cela me permettait de décupler mes propres sensations, mais aussi celles de mon amant. Piotr adorait que je sois dominante et que ce soit donc moi qui vienne sur lui. Ces positions ont de multiples avantages, lui pouvait me regarde m’agiter sur son manche, me peloter les seins ou me caresser le clitoris, ce qu’il ne manquait jamais de faire, et de mon côté, j’avais toute latitude pour adopter l’exact rythme qui me convenait pour me porter aux nues.

J’adorais ses mains, aussi, je m’arrangeais toujours pour que mes va-et-vient prennent trop d’ampleur, la bite sortait alors de mon vagin en rebondissant sur son ventre, quand je soulevais mes fesses bien potelées et l’observais remettre son bâton entre mes cuisses. Je pouvais répéter ce petit manège un nombre incalculable de fois, jusqu’à ce qu’il m’attrape par les hanches pour plaquer son bassin puissant sur mon cul et faire pénétrer son bel engin au plus profond de ma chatoune ouverte et lubrifiée à souhait.

De face, de dos, il me voulait sous toutes les coutures, profitant un coup de mes nichons qui les rendaient fous tous les deux ou de mon derrière ferme et de sa fine étoile plantée en son centre qu’ils reluquaient avec un intérêt exponentiel. Des doigts allaient parfois s’y perdre pour mon plus grand plaisir, sachant que je n’étais pas idiote et comprenais très bien que les garçons rêvaient d’y introduire autre chose de beaucoup plus gros.

Je ne me suis laissé faire qu’à la toute fin du séjour, d’abord par Piotr, puis par Igor, j’ai eu plus de mal avec ce dernier, mais il a tout de même réussi à rentrer son superbe chibre tout entier dans mon petit trou. Dilatation extrême de mon sphincter et énorme pied à l’arrivée, d’autant que cette fois-là, les Polonais s’étaient mis à deux sur moi, la queue de l’un dans le cul, l’autre me bouffant la chatte en aspirant mon clito, j’ai décollé comme jamais.

Ces deux Polonais, quand j’y repense, quels cochons ! Toujours à me peloter, à me doigter, de vrais obsédés. Mais je dois bien avouer qu’être le centre d’une telle attention, d’une telle tension sexuelle est flatteuse. D’ailleurs, j’ai cédé à pas mal de leurs caprices et je m’en félicite, grâce à eux, ma sexualité est libre et épanouie !

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