Lilly voulait aller … baiser !
23 octobre 2025
Comme dans la chanson des années 80, j’ai eu mon Tony qui s’appelait Hervé… et j’en étais totalement folle. Un peu plus âgé que moi et copain de mon frère, il ne voulait pas exaucer mon vœu : me dépuceler. Mais j’en avais la certitude, ce serait lui mon premier ! Un soir, j’ai demandé à ce qu’il m’emmène danser, mon père, rassuré, lui a même donné quelques dizaines de francs « au cas où » et lui a prêté sa voiture ! Voici mon histoire de sexe érotique.
Première pipe
Je n’arrêtais pas de poser ma main sur sa cuisse tandis qu’il conduisait. Il l’a repoussée une, deux, trois fois, puis a compris que rien ne me stoppait. Je me suis donc penchée sur lui et j’ai déboutonné son jean. Je fus heureuse de découvrir une bite bien dure, comme quoi, je lui plaisais bien finalement ! J’avais regardé plusieurs VHS pornos que mes parents planquaient dans leur table de nuit et je me suis alors appliquée à faire comme ce que j’avais vu, ouvrant la bouche, effaçant mes dents et léchant ce drôle de gros doigt sans ongle. Première surprise, les garçons mouillaient eux aussi ! Pas une mouille suave et iodée comme nous les filles, plutôt une sorte d’huile épaisse qui nappait ma langue et me faisait énormément saliver à cause de son goût salé. Je découvrirais plus tard que l’un des secrets d’une bonne pipe, c’est justement de saliver beaucoup pour envelopper la queue dans une gangue d’humidité bienfaisante. Seconde surprise, les garçons sont, parfois, très émotifs ! J’ai dû ouvrir de grands yeux étonnés, toujours penchée sur le chibre que je dégustais comme une glace, lorsque j’ai senti les premiers sursauts de la bête. Cette dernière, plus qu’apprivoisée, s’est laissée aller d’un coup dans ma bouche. Le foutre a jailli, un puissant geyser que je n’ai pu contenir. Hervé a agité son bassin, comme s’il me baisait le palais et la cascade de sperme a continué d’affluer. J’ai réussi à conserver les dernières giclées et j’ai avalé mes premières gorgées de foutre.
J’ai remis de l’ordre dans mes cheveux, lui s’est rebraguetté et nous avons été danser jusqu’au bout de la nuit. Sur le chemin du retour, c’est sa main qui s’est posée sur ma cuisse. Il était tard, mais j’avais envie de lui. Son regard brillant m’indiquait que lui aussi me désirait, enfin ! Nous nous sommes arrêtés devant chez ses parents et avons gagné sa chambre à pas de loup, là, nous avons pu nous dénuder totalement. Il a découvert pour la première fois ma chatte. À l’époque les jeunes filles ne s’épilaient pas. Sa queue émergeait, elle, d’un épais taillis brun. Il m’a demandé de lui exhiber ma fente et mon anus. Tout naturellement j’ai obéi, à quatre pattes, la tête en appui sur les draps, j’ai écarté au maximum mes fesses.
Perte de ma virginité
Je me savais mouillée à l’extrême mais lorsque je l’ai vu saisir un appareil photo, je me suis sentie dégouliner avec encore plus d’intensité. Il m’a mitraillée comme si j’étais une playmate, je me suis prise au jeu et j’ai pris la pose, jusqu’à ce que sa bite m’attire de nouveau. Je l’ai reprise en bouche. Cette fois-ci, Hervé n’a pas éjaculé, au contraire, plus je m’activais sur sa masculinité, plus il bandait dur et ses mains malaxaient mes seins, tripotant mes mamelons, triturant mes tétons, ce qui faisait résonner mon désir, loin au fond de mon ventre. Même mon anus était le siège de frémissements qui, d’habitude, s’épanouissaient au sein de mon vagin et mon clitoris.
Mais c’est quand j’ai reçu mon premier cunnilingus, que j’ai eu le plus gros choc de ma vie ! Mon Dieu ! Dès les premiers coups de langue, j’ai su que cette pratique accompagnerait ma sexualité tout au long de ma vie ! Je ne sais pas où Hervé, du haut de ses vingt-cinq ans, avait appris à prodiguer cette caresse intime, mais mon encéphale en garde le souvenir parfaitement intact, presque trente-cinq ans plus tard ! Ses mains me soutenant au niveau des creux poplités, il me soulevait haut les cuisses. Toute ma féminité lui était offerte et j’ai reçu les premiers baisers, non pas sur le con, mais tout autour, jusqu’à l’intérieur des fesses. J’ai cru que j’allais jouir sans même qu’il n’effleure mes trésors de sensualité. Puis, sa langue est venue laper toute ma raie et ma fente ! Un garçon était en train de lécher ma vulve … et mon petit trou ! Le troisième passage m’a été fatal, mon orgasme a été tel que j’en ai pleuré. J’ai mieux compris son éjaculation rapide lors de ma pipe pendant notre trajet.
Enfin, il a enfilé une capote et je lui ai offert ma virginité en souriant. Je n’ai pas joui de la pénétration pour cette première fois, mais Hervé, après avoir giclé dans son préservatif, m’a redonné du plaisir avec sa langue. Peut-être se reconnaîtra-t-il s’il lit ces lignes … j’aimerais bien retourner au bal à son bras !
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