Une antillaise me propose son cul !
13 juin 2024Hervé – 35 ans – Cher, adore baiser avec des antillaises. Il en fait la rencontre dans un club parisien et touche le gros lot lorsqu’elle lui propose de lui défoncer le cul !
Je ne sais pas vous, mais moi je suis fan des mélanges, en particulier entre chocolat blanc et noir. Cela vaut pour les pâtisseries comme pour le sexe. J’ai beau être pâle telle une aspirine, la taille de ma queue est de celle qu’on associe aux hommes de couleur … j’ai un énorme membre. Et devinez à qui cela plaît le plus ? Aux antillaises ! Aussi, je suis sur pas mal de forums de rencontres où je peux faire la connaissance de très belles créatures à la peau d’ébène. Voici mon histoire de sexe.
Un beau déhanché
Samantha est l’une d’elles. Nous nous sommes vus pour la première fois dans un club parisien très couru par la population caribéenne, j’ai tout de suite flashé sur elle et, après trois ou quatre zouks endiablés, l’affaire était entendue. Elle a voulu « vérifier » mon matériel aux toilettes, nous nous y sommes rendus et j’ai eu droit à l’une des meilleures pipes de ma vie.
La suite a coulé de source, nous nous sommes revus chez moi quelques jours plus tard, elle était toujours aussi chaude et aussi belle. Malgré le froid, elle portait une mini-jupe à faire bander un monastère tout entier. À peine était-elle entrée que nous nous sommes roulés pelle sur pelle, son bassin bougeait comme si elle dansait, je n’ai pas eu grand-chose à lui retirer pour qu’elle finisse entièrement nue à l’exception de son tee-shirt. Le lit nous tendait les bras, en s’allongeant elle m’a demandé de nous prendre en photo.
Un délicieux anulingus
Les premiers déclenchements ont eu lieu alors que Samantha avalait ma queue déjà bien bandée. Sa chevelure charbon en étoile sur l’anis de l’oreiller, ses grosses lèvres ourlées qui s’enroulaient sur mon gland, puis bientôt sur ma hampe qu’elle a prise jusqu’au fond de sa gorge. Je jouais avec ses seins volumineux qui tremblaient au rythme de ses coups de têtes. Elle m’a branlé, pompé, jusqu’à ce que je sois aussi dur que de la pierre. Un petit selfie de mon visage, content de moi et heureux, pendant que je lui broutais le minou. Sa chatte glabre était un vrai roudoudou, je me suis régalé de ses sucs en enfonçant ma langue au plus profond du fuchsia de son vagin ouvert. Même son petit trou de balle était délicieux, épicé et relevé comme j’aime, je lui ai fait un anulingus qui lui a arraché des cris de plaisir violent.
Je me suis servi d’un jouet oublié par une copine, le jaune fluo du vibromasseur rendait super bien et tranchait par rapport à la couleur sombre de sa peau. Je lui ai enfilé pour détendre le passage, son con était serré comme celui d’une vierge, elle m’avait pourtant avoué se faire baiser par des types munis de poutres encore plus volumineuses que la mienne !
Je n’en pouvais plus, il fallait que je possède cette fille, elle était trop belle, elle se malaxait les nichons devant moi pour m’exciter davantage, se doigtait, gigotait, mendiait mes coups de bite. Je l’ai attrapée par les chevilles et je l’ai tirée vers moi sur le lit, j’ai écarté ses cuisses, craché sur le bout de ma queue et j’ai passé mon gland le long de son sillon, il était trempé et ses nymphes gorgées d’un jus exotique hurlaient « baise-moi » !
L’orifice anale offert
Samantha a recroquevillé ses jambes, s’offrant à moi comme un petit batracien paralysé. Dès qu’elle a senti mon pieu la pénétrer, elle a repris vie, elle a glissé ses mains sous son cul, ses doigts sont venus chatouiller mes burnes, puis carrément malaxer mes couilles. Elle jouait avec comme avec de gros calots, j’ai décidé de m’amuser moi aussi. J’ai insinué ma paume sous ses fesses et j’ai cherché, et trouvé, l’orifice anal serré. Je m’attendais à me faire jeter, mais bien au contraire, Samantha a tout fait pour me libérer le passage et me permettre de lui doigter la pastille le plus profondément possible.
J’ai repéré son rythme, je me suis calé dans le creux du matelas et malgré les grincements du sommier et les coups de poing balancés dans la cloison par le voisin, je l’ai pénétrée comme un fou.Je soulevais tellement mes fesses que ma bite sortait complètement de sa chatte, sa mouille giclait par petits paquets à chaque fois que je lui refoutais tout au bout, ses cris se sont métamorphosés en longs gémissements très rauques. Elle a retenu sa respiration jusqu’au moment où elle a pris un pied qui m’a affolé. Ses yeux se sont révulsés, elle s’est mise à trembler de tous ses membres, puis le temps s’est arrêté et elle a joui longtemps, dans un grand silence avant de reprendre ses esprits et de couvrir mes lèvres de baisers brûlants.
J’ai éjaculé au fond de son nid douillet, le sperme a coulé, filet de chocolat blanc sortant d’un œuf sombre et velouté.
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