Le preux chevalier
14 novembre 2024Je m’appelle Kris, j’ai 41 ans et j’aimerais bien partager mon histoire de sexe amateur.
La belle en détresse
À mon âge, je ne pensais plus faire de rencontres comme celle dont je vais vous parler. Une jeune femme m’a bouleversé et touché au cœur. Je n’ai pas d’autres mots. Krystel est une fille de 26 ans, clairement je ne pensais pas qu’il était possible qu’une connexion comme la nôtre existe entre des gens si différents. Krystel est tout simplement une jeune femme que j’ai rencontrée dans un parc, car elle était en train de se faire harceler par un connard. Entre deux arbres, elle était en train d’appeler à l’aide à la cantonade alors qu’il lui tenait les poignets, et personne pour réagir…
Comme j’ai une corpulence qui en impose et la confiance qui va avec, je me suis interposé pour faire se carapater le malfrat qui avait importuné la demoiselle. Et là, j’ai croisé le regard de Krystel qui s’est allumé quand nous nous sommes observés. J’ai senti une énergie, comme un coup de foudre. Je me suis dit que j’étais un vieux con et que ça ne devait être que dans un sens, mais la belle m’a invitée à prendre un verre pour me remercier. Covid oblige, nous avons pris une bière à emporter et nous avons marché dans l’immense parc où nous nous trouvions. Impossible de nous arrêter de parler ou de nous dire au-revoir, il y avait une force d’attraction entre nous qui nous attirait comme des aimants, ou comme des amants… Je n’osais pas faire le premier pas, mais je n’en pensais pas moins.
Nous sommes arrivés près d’une cabane de matériel de jardinage. Krystel m’a dit qu’elle ne voulait pas me laisser repartir. Elle s’est adossée contre la porte en bois et m’a attiré contre son cœur en tirant sur mon col de chemise. Ma large bouche s’est fondue autour de ses lèvres délicates. Elle a cherché d’une main la poignée de la porte et m’a entraînée à l’intérieur. Nous nous sommes retrouvés dans le cabanon entourés de matériel, pelles et tondeuses. “Je te dois bien ça, pour ce que tu as fait…” “Non, mais tu me dois rien”, ai-je rétorqué.
Les prouesses de sa langue
“En fait je sais, j’ai envie, c’est tout. C’était très sexy ta manière de t’interposer.” Si j’avais su que mon geste pourrait aboutir à cette étreinte ! C’était là un heureux dénouement. “Tu es sûre, je suis pas trop vieux ?” “Non, j’adore les mecs plus expérimentés.” En moins de deux, Krystel était à mes pieds, à saisir ma bite, à la stimuler dans sa main, à la cajoler avec sa bouche ou à me gober les couilles. Mon cœur battait entre mes jambes et contre mes tempes. Son visage encadré de sa jolie chevelure châtain n’était que douceur, caresse et plaisir et je me perdais contre la tendresse de sa langue et de son palais.
Elle a posé son front contre mon ventre poilu tout en honorant ma bite et c’était un moment de pur érotisme. On entendait les oiseaux du parc et, dans mon chibre, je sentais le sang affluer. Mon amour et mon désir pour elle qui suintaient par tous les pores de ma peau. Elle m’a avalé, a fait l’amour à mon membre, a enlacé de sa langue mon gland et la base de mon sexe. J’ai été pris d’une folie et j’ai fait une photo de ses tendres attentions à mon égard. Elle m’a regardé avec encore plus de feu dans les pupilles, prenant son plaisir à me sucer encore plus crûment, animalement.
J’ai tiré une couverture qui était dans un coin sur le sol et, allongée, elle a encore tiré la langue pour que je pose ma queue dessus et que je prenne une photo de mon membre au-dessus d’elle. J’ai encore un peu trempé mon bout, mais elle me voulait à présent. Elle m’a dit qu’elle m’avait désiré à la seconde où je m’étais approché d’elle, et pas parce que j’étais son “sauveur”. Elle avait envie d’une aventure brûlante dans ce parc qui respirait la liberté. Elle m’a encore sucé quelques instants avec malice. Je n’avais jamais vu une femme aussi sûre d’elle.
Le buste tourné contre le plaid sous elle, elle a retiré son pantalon pour que je la prenne. J’ai soulevé son bassin pour porter son entrecuisse à ma bouche. Je l’ai léché, embrassé et préparé à mon entrée en elle. Son cul suspendu vers moi, dilaté par sa position, et sa chatte qui n’attendait que ça, m’ont fait oublier tout le reste autour de moi. À son feu vert, j’ai pénétré en elle avec fracas. Une bonne levrette claquée qu’elle m’a invité à effectuer entre deux gémissements. “Baise-moi, baise-moi, ça fait des mois que j’attends qu’un mec me fasse ça.”
L’instinct charnel de Krystel s’était déchaîné à mon contact. Je l’ai prise avec fermeté et passion, son cul et sa chatte vibrant de sa faim, enfin assouvie, de sexe. J’ai volé une photo de ce point de vue vertigineux, pour m’assurer que je n’avais pas rêvé. Elle s’est tournée pour m’accueillir entre ses jambes et j’ai immortalisé le contact de ma queue contre son abricot à la fente bien ferme. J’ai plongé encore dans cette intimité qui m’était offerte. Je me suis oublié dans les frottements de nos sexes, dans leur communion, dans ce cabanon, au milieu de ce parc qui avait accueilli notre torride rencontre.