Kimy les bons tuyaux
20 août 2025Kimy, 23 ans, appelle un plombier à cause de sa machine à laver. Il n’y aura pas que la fuite qui va arroser le plombier !
Kimy nous fait part de son histoire de sexe amateur avec sa copine et…le plombier !
Franchement, je ne pensais pas qu’un jour, je vivrais un truc aussi cliché. Mais la vie, c’est comme ça : quand on a une machine à laver qui décide de pisser partout, on appelle un plombier.
Et parfois, ça dérape.
La séance a eu lieu une semaine avant mes règles. Je suis toujours surexcitée à ce moment-là. La nuit d’avant, on avait pourtant bien baisé avec ma meuf, mais ça ne suffisait pas. On est bi toutes les deux et en couple libre, on pratique l’échangisme, le triolisme, parfois le BDSM… Mais c’est tout de même moi qui ai le plus de besoins, donc un plombier, pourquoi pas ?
Quand le mec est arrivé, j’ai compris que ça pouvait bien tourner parce qu’il m’a direct dit : « Vous êtes la première belle demoiselle de ma journée ».
Lui, il n’était pas spécialement attirant, mais j’étais morte de faim, LOL ! En voyant l’état de la cuisine, il a dit : « Ah ouais, y a du boulot là… », avec un regard qui montrait que je l’intéressais plus que la machine. Ça commençait à ressembler à , alors autant que j’écrive la suite du scénario.
Show lesbien devant le plombier
Ma meuf est entrée dans la cuisine à ce moment-là. Elle venait de se réveiller et ne savait pas que le plombier était arrivé.
Elle portait juste un t-shirt long et même pas de culotte, à cause de toutes les activités manuelles de la nuit… Le mec l’a regardée de haut en bas, un peu gêné et excité à la fois. Élodie a froncé les sourcils, l’air de me dire : « Toi, tu vas encore me faire un plan chelou ! » Elle me connaît trop.
Pendant que notre cher plombier fouillait dans sa trousse à outils, moi, j’ai continué mon scénario. Je me suis approchée de ma meuf et j’ai commencé à l’embrasser en lui tenant le visage entre mes mains, un truc qu’elle adore. Elle a poussé direct un gémissement. Puis j’ai passé ma main sous son t-shirt et j’ai caressé ses fesses toutes douces, en remontant le tissu pour dévoiler sa jolie chatte.
On entendait le bruit mouillé de nos baisers et les soupirs qui montaient… Le plombier avait posé ses outils, il ouvrait grand les yeux !
Je l’ai maté d’un air provocateur tout en continuant d’embrasser et de caresser ma douce. Puis je l’ai entraînée dans notre chambre. Le mec a suivi en hésitant. Il allait falloir le pousser un peu… J’ai déshabillé ma meuf très lentement. Elle fermait les yeux tandis que je lui enlevais son t-shirt, à fond dans sa bulle…
J’ai compris que j’allais pouvoir me faire plaisir et lui faire plaisir, mais qu’elle n’avait envie que de moi, pas de lui. Ça m’allait quand même.
Des godes et des photos
J’ai installé ma douce sur le lit d’appoint, je me suis mise à poil et j’ai attrapé un jouet qui traînait encore de la veille. Un double dong que j’ai enduit de avant de commencer à la baiser tout doucement… Elle me regardait faire, pendant que le plombier avait sorti son téléphone pour nous photographier.
J’ai glissé le jouet entre mes cuisses et je me suis pénétrée aussi, en faisant des mouvements de bassin pour nous faire kiffer, Élodie et moi. Le plombier respirait de plus en plus fort.
Élodie montait doucement mais sûrement. Je me suis concentrée sur elle à fond, en la pénétrant bien et en jouant avec son clit’. Elle a fondu sous mes caresses, rien de tel pour me faire mouiller au max !
En plus, j’entendais notre cher plombier lâcher des « Putain les filles, putain ! »
J’ai fait jouir Élodie puis j’ai retiré le gode et je suis allée retrouver le mateur. Il s’était mis à poil, j’ai juste eu à me mettre à genoux pour qu’il me donne sa bite bien dressée !
Je n’avais pas baisé avec un mec depuis un moment et le goût m’avait manqué. Super agréable de le faire gémir à coups de langue et de jouer avec sa patience…
Je lui ai proposé de se mettre sur notre lit et je l’ai pompé un bon moment. Ma douce était à côté de nous, elle matait et prenait des photos. Je savais que ça l’excitait beaucoup de me voir sucer un inconnu.
Elle a suggeré que je me mette en 69 et le plombier s’est jeté sur ma chatte. J’ai dû le calmer un peu, il avait de la barbe et ça me piquait. Il a ralenti le rythme et a concentré ses coups de langue sur mon clit’.
Plan à 3 bisexuel
Voilà qui était mieux ! On s’est sucé mutuellement, toujours sous les yeux de ma meuf qui se touchait en même temps.
Quand j’ai eu envie que le mec me prenne, j’ai encore dû donner les consignes. Il était tout impressionné d’avoir deux belles meufs à poil rien que pour lui, une à baiser, l’autre qui regardait. Heureusement, il bandait très dur. Je me suis allongée et j’ai guidé sa queue en moi.
Il râlait toujours : « Putain, les filles ! »
J’avoue que la situation était très excitante, même pour moi qui suis habituée aux plans à trois. Ce qui me rendait ouf, c’était de voir Élodie qui kiffait me mater.
D’habitude, on partage, mais là, c’était moi qui prenais toute seule pendant qu’elle m’encourageait du regard et qu’elle frottait sa petite chatte sur le drap, à quelques centimètres de l’action…
Le mec poussait des râles d’animal à chaque fois qu’il me la mettait au fond, il kiffait autant que moi. Je l’ai encouragé : « Allez, baise-moi, vas-y ! Plus fort ! », et Élodie s’y est mise aussi, alors que c’est plutôt une timide : « Mets-lui bien, voilà ! Encore, encore ! »
Il grognait comme un porc et me bourrait de plus en vite, ma meuf se frottait au drap en gémissant et moi, j’encaissais en couinant de plaisir ! On a joui les uns après les autres, je n’ai même pas capté l’ordre tellement je suis partie loin…
Ensuite, on est restées à se câliner dans le lit avec ma meuf pendant que le plombier finissait les travaux.
Il a tout réparé nickel et ne nous a même pas fait payer. J’ai gardé ses coordonnées. On sait jamais, en cas de nouvelle fuite…